Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Cette chronique familiale et rurale réalisée par Clio Barnard est si puissante qu’elle pourrait donner envie de partir au grand air avec Ruth Wilson vue récemment dans la série The Affair et dans How to To Talk to Girls at Parties.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
Ce troisième film de Clio Barnard vient confirmer l'immense talent de la réalisatrice anglaise, qui se renouvelle sans rien perdre de la force qui parcourait ses deux longs métrages précédents.
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Confrontation des sentiments sublimés par deux acteurs juste parfaits (Ruth Wilson et Mark Stanley en osmose complète), peinture sociale et politique agissant comme un écho des travers du libéralisme, anathème contre les violences sexuelles, Dark River ne laisse rien en chemin, traçant son sillon irrémédiablement, quitte à ce que les fruits qui en germeront laissent un goût amer.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télérama
par Jérémie Couston
Chiche en dialogues — à bon escient —, Dark River raconte avant tout le combat d’une sœur en quête de résilience et celui d’un frère torturé par la culpabilité. A l’image des toisons des moutons qui n’en finissent pas de repousser, les traumatismes des enfants sacrifiés ne cessent de ressurgir…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Dans le dernier acte, la cinéaste délaisse son minimalisme et se laisse tenter par un excès de symbolisme un peu pataud.
L'Obs
par François Forestier
Le scénario est parfois lacunaire (qu’est devenue la mère d’Alice ?), mais l’actrice principale, Ruth Wilson (aperçue dans "Suite française", en 2015), fait tout passer. Au total : un drame BBC, dans la bonne – et solide – tradition british.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par La Rédaction
Sombre, mais sobre et très juste, ce beau film nous entraîne jusqu'au drame pour finir par une petite éclaircie.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Après "Le Géant égoïste", Clio Barnard signe un drame social qui vaut moins pour son scénario, sans surprises et trop explicatif, que pour son atmopshère, celle des landes du Yorkshire qui avaient inspiré les sœurs Brontë et qui façonnent des personnages austères.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Anouk Féral
Clio Barnard (Le géant égoïste) s’empare sans sentimentalisme de ce marronnier des crispations familiales qu’elle situe dans le Yorkshire agricole. Une terre dont elle vient et qu’elle filme admirablement.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Thomas Choury
Il est donc d’autant plus dommageable que ce beau lyrisme ne serve, in fine, que de socle à un drame trop appuyé.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un drame familial, qui met en scène les rapports conflictuels d'un frère et d'une soeur sur fond d'héritage. Avec la campagne anglaise du Yorkshire pour décor, et une atmosphère violente qui ne crée la tension dramatique.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Dommage que son intrigue soit si prévisible et que ses flash-back alourdissent le récit, désamorçant quelque peu la tension.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
On croyait que le « sale petit secret » était l’apanage d’un certain cinéma français, mais c’est une manie internationale.
Le Figaro
par La Rédaction
Flash-back superflus, révélation prévisible, déjà oublié.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
La réalisatrice britannique Clio Barnard a choisi les splendides pâturages du Yorkshire pour asseoir son drame dont tous les curseurs esthétiques de carte postale ont été, hélas, poussés à fond : travellings interminables sur les paysages, folk mouillée...
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
20 Minutes
Cette chronique familiale et rurale réalisée par Clio Barnard est si puissante qu’elle pourrait donner envie de partir au grand air avec Ruth Wilson vue récemment dans la série The Affair et dans How to To Talk to Girls at Parties.
Positif
Ce troisième film de Clio Barnard vient confirmer l'immense talent de la réalisatrice anglaise, qui se renouvelle sans rien perdre de la force qui parcourait ses deux longs métrages précédents.
Rolling Stone
Confrontation des sentiments sublimés par deux acteurs juste parfaits (Ruth Wilson et Mark Stanley en osmose complète), peinture sociale et politique agissant comme un écho des travers du libéralisme, anathème contre les violences sexuelles, Dark River ne laisse rien en chemin, traçant son sillon irrémédiablement, quitte à ce que les fruits qui en germeront laissent un goût amer.
Télérama
Chiche en dialogues — à bon escient —, Dark River raconte avant tout le combat d’une sœur en quête de résilience et celui d’un frère torturé par la culpabilité. A l’image des toisons des moutons qui n’en finissent pas de repousser, les traumatismes des enfants sacrifiés ne cessent de ressurgir…
CinemaTeaser
Dans le dernier acte, la cinéaste délaisse son minimalisme et se laisse tenter par un excès de symbolisme un peu pataud.
L'Obs
Le scénario est parfois lacunaire (qu’est devenue la mère d’Alice ?), mais l’actrice principale, Ruth Wilson (aperçue dans "Suite française", en 2015), fait tout passer. Au total : un drame BBC, dans la bonne – et solide – tradition british.
Le Parisien
Sombre, mais sobre et très juste, ce beau film nous entraîne jusqu'au drame pour finir par une petite éclaircie.
Les Fiches du Cinéma
Après "Le Géant égoïste", Clio Barnard signe un drame social qui vaut moins pour son scénario, sans surprises et trop explicatif, que pour son atmopshère, celle des landes du Yorkshire qui avaient inspiré les sœurs Brontë et qui façonnent des personnages austères.
Première
Clio Barnard (Le géant égoïste) s’empare sans sentimentalisme de ce marronnier des crispations familiales qu’elle situe dans le Yorkshire agricole. Une terre dont elle vient et qu’elle filme admirablement.
Critikat.com
Il est donc d’autant plus dommageable que ce beau lyrisme ne serve, in fine, que de socle à un drame trop appuyé.
Le Dauphiné Libéré
Un drame familial, qui met en scène les rapports conflictuels d'un frère et d'une soeur sur fond d'héritage. Avec la campagne anglaise du Yorkshire pour décor, et une atmosphère violente qui ne crée la tension dramatique.
Le Journal du Dimanche
Dommage que son intrigue soit si prévisible et que ses flash-back alourdissent le récit, désamorçant quelque peu la tension.
Cahiers du Cinéma
On croyait que le « sale petit secret » était l’apanage d’un certain cinéma français, mais c’est une manie internationale.
Le Figaro
Flash-back superflus, révélation prévisible, déjà oublié.
Les Inrockuptibles
La réalisatrice britannique Clio Barnard a choisi les splendides pâturages du Yorkshire pour asseoir son drame dont tous les curseurs esthétiques de carte postale ont été, hélas, poussés à fond : travellings interminables sur les paysages, folk mouillée...