Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Positif
par Philippe Rouyer
Chaque plan est une merveille de cadrage tout en s'inscrivant dans une dynamique pétaradante qui emprunte à l'esthétique du western spaghetti, à Sam Peckinpah et aux polars violents des années soixante-dix.
Bande à part
par Pierre Charpilloz
Le duo d’esthètes Hélène Cattet et Bruno Forzani entrent dans la cour des grands avec un western corse.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Chronic'art.com
par Yal Sadat
"Laissez bronzer les cadavres" a le mérite d’avancer vers l’abstraction sans jamais perdre de vue ses crapules aberrantes, sans étouffer leur charisme ni leur verve.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
CinemaTeaser
par Renan Cros
Un trip orgasmique façon western sous acide, brutal et cosmique.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Culturopoing.com
par Olivier Rossignot
Objet purement fétichiste et film-vampire, "Laissez bronzer les cadavres" élève le mashup au rang d’œuvre d’art. En pillant les autres, c’est surtout la première fois que les réalisateurs réussissent autant à élaborer un univers personnel conçu autour du fantasme des modèles, du rêve "à partir" du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Simon Riaux
S'il ne parvient pas totalement à maîtriser une narration encore un évanescente, le duo Cattet-Forzani livre un véritable festin de cinéma, entre Sergio Leone et Sam Peckinpah.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un film sensuel et résolument hallucinogène, débordant d'humour et de générosité.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
La quête folle de l’or devient quasi métaphysique, et la passion pour le giallo des Cattet-Forzarni est libre de tout entrave : gros plans, images psychédéliques, musique de Morricone époque 1970, le film vire au western-spaghetti dans un bruit d’orchestre défoncé au LSD.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Mad Movies
par Gilles Esposito
Délaissant un temps le post-giallo au profit d'une série noire aux effluves de western italien, le duo dynamique réussit le tour de force de livrer une oeuvre qui pourrait passer pour plus "grand public" tout en restant farouchement expérimentale.
Paris Match
par Yannick Vely
Polar ensoleillé, déjanté et hallucinatoire qui remet à la mode les gants en cuir et les cranes de squelette, "Laissez bronzer les cadavres" a tout du film culte instantané que l'on envie de revoir sitôt le générique terminé.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Frédéric Strauss
Tout ramène à la création dans ce faux film d’action qui tend vers l’action painting et vise l’énergie d’un geste artistique brutal, en stylisant le polar jusqu’à l’abstraction.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par Vincent Ostria
Forzani et Cattet captent à merveille le potentiel iconique (pop et graphique) des pulp fictions d’antan, mais oublient d’insuffler la vie à leurs stéréotypes.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
C’est parti pour un jeu de massacre ininterrompu auquel participent de sévères figures de séries B voire Z : Stéphane Ferrara, Marc Barbé, Bernie Bonvoisin. Entre hommage et pastiche ! Furieux feu d’artifices !
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Jouant résolument la carte du giallo, le polar à l’italienne, le film fait parler la poudre, mais en profite surtout pour développer un jeu structurel et formel qui fait pencher le film de genre vers l’expérimentation artistique.
Le Parisien
par Michel Valentin
Le film, tiré d’un polar des années 1970, est fidèle aux idées radicales de l’écrivain de gauche Jean-Patrick Manchette et bénéficie des obsessions stylistiques de ses réalisateurs, sur le son et l’image notamment.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Une adaptation hallucinatoire, parfois éreintante, du polar de Manchette et Bastid.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Gérard Delorme
C'est donc un peu déroutant, mais il est facile de se laisser séduire (ou hypnotiser) par le rythme étrange et répétitif, parsemé de visions baroques qui témoignent de l'état d'esprit des occupants des lieux, dominés avec beaucoup d'autorité par Elina Löwensohn.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Jean-Emmanuel Deluxe
Le film de Cattet et Forzani retranscrit parfaitement l'atmosphère hallucinée imprégnée des folies orgiaques qui baignèrent jadis l'endroit.
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Dans tous les cas cet OVNI reste une expérience à vivre, aussi bien pour les amateurs d’art contemporain que pour les cinéphiles avertis qui en garderont assurément des images chocs imprimées sur la rétine.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Les cinéastes fétichisent à outrance le plan comme unité visuelle et oublient une pensée plus vaste et contrastée du montage, de l’espace et du hors-champ, jusqu’à retomber dans les attendus d’un vieux cinéma : défilé de trognes, esprit de sérieux, surenchère pyrotechnique.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Chaque plan, sublime, transpire l'amour du genre. Mais le film, mécanique et répétitif, est à suer d'ennui.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Jean-Sébastien Massart
Un tel formalisme, unique en France, ravira les amateurs du genre.
Le Monde
par Mathieu Macheret
L’écriture de Jean-Patrick Manchette est d’abord servie par une mise en scène puisant dans les films de Sergio Leone. Mais la maestria ébouriffante du duo Hélène Cattet-Bruno Forzani se retourne contre elle-même.
Libération
par Marcos Uzal
Techniquement maîtrisé, "Laissez bronzer les cadavres" se borne à réciter avec fétichisme les images de glorieux aînés, sans rien leur insuffler.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Le duo Cattet et Forzani (...) en met plein les yeux et les oreilles pour pallier la faiblesse d'une histoire qui tient essentiellement à une fusillade entre des braqueurs agités de la gâchette, des flics et d'autres protagonistes tout aussi unidimensionnels.
Le Figaro
par La Rédaction
Le résultat ne dépasse pas l'exercice de style un peu vain.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Positif
Chaque plan est une merveille de cadrage tout en s'inscrivant dans une dynamique pétaradante qui emprunte à l'esthétique du western spaghetti, à Sam Peckinpah et aux polars violents des années soixante-dix.
Bande à part
Le duo d’esthètes Hélène Cattet et Bruno Forzani entrent dans la cour des grands avec un western corse.
Chronic'art.com
"Laissez bronzer les cadavres" a le mérite d’avancer vers l’abstraction sans jamais perdre de vue ses crapules aberrantes, sans étouffer leur charisme ni leur verve.
CinemaTeaser
Un trip orgasmique façon western sous acide, brutal et cosmique.
Culturopoing.com
Objet purement fétichiste et film-vampire, "Laissez bronzer les cadavres" élève le mashup au rang d’œuvre d’art. En pillant les autres, c’est surtout la première fois que les réalisateurs réussissent autant à élaborer un univers personnel conçu autour du fantasme des modèles, du rêve "à partir" du cinéma.
Ecran Large
S'il ne parvient pas totalement à maîtriser une narration encore un évanescente, le duo Cattet-Forzani livre un véritable festin de cinéma, entre Sergio Leone et Sam Peckinpah.
Le Journal du Dimanche
Un film sensuel et résolument hallucinogène, débordant d'humour et de générosité.
Les Inrockuptibles
La quête folle de l’or devient quasi métaphysique, et la passion pour le giallo des Cattet-Forzarni est libre de tout entrave : gros plans, images psychédéliques, musique de Morricone époque 1970, le film vire au western-spaghetti dans un bruit d’orchestre défoncé au LSD.
Mad Movies
Délaissant un temps le post-giallo au profit d'une série noire aux effluves de western italien, le duo dynamique réussit le tour de force de livrer une oeuvre qui pourrait passer pour plus "grand public" tout en restant farouchement expérimentale.
Paris Match
Polar ensoleillé, déjanté et hallucinatoire qui remet à la mode les gants en cuir et les cranes de squelette, "Laissez bronzer les cadavres" a tout du film culte instantané que l'on envie de revoir sitôt le générique terminé.
Télérama
Tout ramène à la création dans ce faux film d’action qui tend vers l’action painting et vise l’énergie d’un geste artistique brutal, en stylisant le polar jusqu’à l’abstraction.
L'Humanité
Forzani et Cattet captent à merveille le potentiel iconique (pop et graphique) des pulp fictions d’antan, mais oublient d’insuffler la vie à leurs stéréotypes.
La Voix du Nord
C’est parti pour un jeu de massacre ininterrompu auquel participent de sévères figures de séries B voire Z : Stéphane Ferrara, Marc Barbé, Bernie Bonvoisin. Entre hommage et pastiche ! Furieux feu d’artifices !
Le Dauphiné Libéré
Jouant résolument la carte du giallo, le polar à l’italienne, le film fait parler la poudre, mais en profite surtout pour développer un jeu structurel et formel qui fait pencher le film de genre vers l’expérimentation artistique.
Le Parisien
Le film, tiré d’un polar des années 1970, est fidèle aux idées radicales de l’écrivain de gauche Jean-Patrick Manchette et bénéficie des obsessions stylistiques de ses réalisateurs, sur le son et l’image notamment.
Les Fiches du Cinéma
Une adaptation hallucinatoire, parfois éreintante, du polar de Manchette et Bastid.
Première
C'est donc un peu déroutant, mais il est facile de se laisser séduire (ou hypnotiser) par le rythme étrange et répétitif, parsemé de visions baroques qui témoignent de l'état d'esprit des occupants des lieux, dominés avec beaucoup d'autorité par Elina Löwensohn.
Transfuge
Le film de Cattet et Forzani retranscrit parfaitement l'atmosphère hallucinée imprégnée des folies orgiaques qui baignèrent jadis l'endroit.
aVoir-aLire.com
Dans tous les cas cet OVNI reste une expérience à vivre, aussi bien pour les amateurs d’art contemporain que pour les cinéphiles avertis qui en garderont assurément des images chocs imprimées sur la rétine.
Cahiers du Cinéma
Les cinéastes fétichisent à outrance le plan comme unité visuelle et oublient une pensée plus vaste et contrastée du montage, de l’espace et du hors-champ, jusqu’à retomber dans les attendus d’un vieux cinéma : défilé de trognes, esprit de sérieux, surenchère pyrotechnique.
L'Obs
Chaque plan, sublime, transpire l'amour du genre. Mais le film, mécanique et répétitif, est à suer d'ennui.
La Septième Obsession
Un tel formalisme, unique en France, ravira les amateurs du genre.
Le Monde
L’écriture de Jean-Patrick Manchette est d’abord servie par une mise en scène puisant dans les films de Sergio Leone. Mais la maestria ébouriffante du duo Hélène Cattet-Bruno Forzani se retourne contre elle-même.
Libération
Techniquement maîtrisé, "Laissez bronzer les cadavres" se borne à réciter avec fétichisme les images de glorieux aînés, sans rien leur insuffler.
Studio Ciné Live
Le duo Cattet et Forzani (...) en met plein les yeux et les oreilles pour pallier la faiblesse d'une histoire qui tient essentiellement à une fusillade entre des braqueurs agités de la gâchette, des flics et d'autres protagonistes tout aussi unidimensionnels.
Le Figaro
Le résultat ne dépasse pas l'exercice de style un peu vain.