Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Sarah Brunelière
Ce premier long métrage reprend la trame d’un drame sanglant qui, en 1985, a horrifié la Bulgarie. Un film d’épouvante à l’atmosphère pesante et convaincante, à mi-chemin entre réalisme et onirisme.
L'Ecran Fantastique
par Yann Lebecque
Fort heureusement, Makariev a fait appel à d'excellents acteurs bulgares qui donnent réellement corps à l'histoire et lui permettent de ne jamais sombrer dans le ridicule ou l'incongru, alimentant sans cesse notre curiosité en dévoilant à ryhtme lent les vérités cachées en préambule.
Première
par François Léger
Un résultat loin d'être parfait mais souvent glaçant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Nicolas Didier
Inspiré de meurtres mystérieux survenus dans les Balkans en 1985, ce film d'horreur bulgare — le premier de son auteur — est une vraie curiosité. Il aurait mérité d'être resserré, mais il distille, par sa lenteur même, une atmosphère suffocante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
(...) un film d'horreur virant vite à la coquille vide, faute de rythme et d'atmosphère.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Tout est à la fois emphatique et passe-partout : de la musique au décor, sans parler du sur-jeu d’un acteur américain de série B dans un rôle secondaire. Ça pourrait faire peur si ça ne se traînait pas si horriblement.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Jean-François Rauger
Deux heures de projection laissent ainsi le temps à un ennui profond de s’installer confortablement.
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Le jeune réalisateur bulgare refuse toutes les pistes imaginaires et s'enferme très vite dans un huis clos psychologique bavard, recourant aux codes les plus pute de l'horreur mainstream : une musique illustrative, des dialogues de soap old-school, des personnages féminins pour la déco et des jump scare à chaque soupçon d'ennui.
Libération
par Gilles Renault
A mi-chemin entre sornette d’alarme complotiste et atmosphère de conte maléfique flirtant avec le gothique, le récit, sans queue ni tête, tangue dangereusement vers la parodie (bande-son harassante, photographie kitsch, casting cheap), même si cette tournure n’a, selon toute (in)vraisemblance, rien d’intentionnel.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Les Fiches du Cinéma
Ce premier long métrage reprend la trame d’un drame sanglant qui, en 1985, a horrifié la Bulgarie. Un film d’épouvante à l’atmosphère pesante et convaincante, à mi-chemin entre réalisme et onirisme.
L'Ecran Fantastique
Fort heureusement, Makariev a fait appel à d'excellents acteurs bulgares qui donnent réellement corps à l'histoire et lui permettent de ne jamais sombrer dans le ridicule ou l'incongru, alimentant sans cesse notre curiosité en dévoilant à ryhtme lent les vérités cachées en préambule.
Première
Un résultat loin d'être parfait mais souvent glaçant.
Télérama
Inspiré de meurtres mystérieux survenus dans les Balkans en 1985, ce film d'horreur bulgare — le premier de son auteur — est une vraie curiosité. Il aurait mérité d'être resserré, mais il distille, par sa lenteur même, une atmosphère suffocante.
Studio Ciné Live
(...) un film d'horreur virant vite à la coquille vide, faute de rythme et d'atmosphère.
L'Humanité
Tout est à la fois emphatique et passe-partout : de la musique au décor, sans parler du sur-jeu d’un acteur américain de série B dans un rôle secondaire. Ça pourrait faire peur si ça ne se traînait pas si horriblement.
Le Monde
Deux heures de projection laissent ainsi le temps à un ennui profond de s’installer confortablement.
Les Inrockuptibles
Le jeune réalisateur bulgare refuse toutes les pistes imaginaires et s'enferme très vite dans un huis clos psychologique bavard, recourant aux codes les plus pute de l'horreur mainstream : une musique illustrative, des dialogues de soap old-school, des personnages féminins pour la déco et des jump scare à chaque soupçon d'ennui.
Libération
A mi-chemin entre sornette d’alarme complotiste et atmosphère de conte maléfique flirtant avec le gothique, le récit, sans queue ni tête, tangue dangereusement vers la parodie (bande-son harassante, photographie kitsch, casting cheap), même si cette tournure n’a, selon toute (in)vraisemblance, rien d’intentionnel.