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39 critiques presse
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Le costume de Jean-Luc Godard sied à merveille à Louis Garrel, bluffant quand il joue les maris jaloux et les artistes incompris.
Marianne
par Olivier de Bruyn
"Le Redoutable", avec sa reconstitution pop d'une époque agitée, son humour et sa délicatesse dans la description de ses deux amoureux transis puis désunis, entraîne dans son charme impertinent et sa mélancolie souterraine.
Première
par Christophe Narbonne
De même que "The Artist" était transcendé par l'interprétation tout feu tout flamme de Jean Dujardin, "Le Redoutable" doit sa réussite au talent fou de Louis Garrel, impérial en sosie zozotant de Godard qu'il joue très premier degré, sans cette légère distanciation adoptée par le récit.
20 Minutes
par Caroline Vié
Le réalisateur de "The Artist" n’angélise pas Jean-Luc Godard. Il le montre comme un homme brillant, dont la mauvaise foi est si monumentale qu’elle pourrait être exposée dans un musée.
Bande à part
par Jo Fishley
Il faut être amoureux du cinéma et aimer éperdument Godard pour avoir le désir de cette magie : Le Redoutable est aussi bien un exercice de prestidigitation, qui fait apparaître le Godard de mai 1968, sur un scénario filé à partir du livre de souvenirs d’Anne Wiazemsky, qu’une déclaration d’amour d’un cinéaste à un autre.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La Rédaction
Livrant un film drôle et impertinent, Hazanavicius a eu la bonne idée de ponctuer son récit de trouvailles de mise en scène : images en noir et blanc négatif, séquence sur la nudité gratuite au cinéma, dida scalies écrites sur les décors.
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet
Entre hommage et dérision, Le Redoutable se situe dans la meilleure veine de la filmographie du réalisateur, celle d’une comédie populaire exigeante n’oubliant pas d’être ludique et accessible.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Il fallait un cinéaste fétichiste et mordant tel que Michel Hazanavicius pour rendre cet hommage dément à un géant du cinéma, tour à tour précieux et ridicule, sans oublier de rincer à l'acide le mythe de l'intellectuel engagé et ses colifichets.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Eric Libiot
L'effet est là. Michel Hazanavicius, aux commandes de ce Redoutable, est un formidable conteur qui manie avec brio les ficelles de la mise en scène et le poil à gratter de l'ironie respectueuse.
La Croix
par Arnaud Schwartz
Spécialiste oscarisé du pastiche intelligent, l’auteur de The Artist signe une comédie irrésistible, accessible à tous, sur le mythique réalisateur de la nouvelle vague.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Hommage au réalisateur du Mépris ? Pied de nez moqueur en direction de l’auteur de La Chinoise ? On ne saura jamais vraiment le fond de la pensée d’Hazanavicius retrouvant ici la verve pasticheuse de La Classe américaine au service d’un être narcissique et destructeur.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Michel Hazanavicius trace avec brio le portrait du cinéaste à travers sa façon de faire du cinéma et en jouant tant avec son physique (dans lequel se moule un étonnant Louis Garrel) qu’avec ses tics, son (mauvais) caractère, son discours, ses saillies. Tout cela tracé de façon légère et enlevée, sans trop prendre Godard au sérieux : ce qui est, à coup sûr, le meilleur hommage qu’on puisse lui rendre.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Michel Hazanavicius rend au cinéaste un hommage facétieux et attendri.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Un portrait pastiche de Jean-Luc Godard insolent et savoureux.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Adapté du livre de la comédienne ("Un an après", 2015), "Le Redoutable" réjouit car il est le portrait amusé et amusant d'un homme pris dans ses contradictions politiques et sentimentales à un tournant décisif de sa vie et de sa carrière.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Louis Garrel était l'interprète idéal pour incarner ce Godard tourmenté, tête à lunettes et à claques. La brune Stacy Martin achève d'enchanter cet audacieux exercice.
Le Point
par Philippe Guedj
On s'était tellement ennuyé dans "The Search" qu'on est heureux de rire avec "Le redoutable", hilarante mise en boîte du virage politique de Jean-Luc Godard dans la France de Mai 68.
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Un biopic assez aigre sur le fond, mais également un cartoon plutôt astucieux et bien mené.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Une réussite que l'on doit aussi aux acteurs. Louis Garrel est un Godard d'autant plus convaincant qu'il est sous le regard de sa jeune épouse joliment incarnée par Stacy Martin. Sans oublier les seconds rôles réussis joués par Bérénice Bejo et Gregory Gadebois.
Positif
par Adrien Gombeaud
Le film peut ainsi se montrer drôle et léger pour décrire un artiste suicidaire, un couple fracassé, des amitiés brisées... Nous, spectateurs, savons que la guerre du Viêtnam s’achèvera, que le mur de Berlin s’effondrera, (...). Distance qui autorise Michel Hazanavicius à regarder ces événements avec tendresse et amusement.
Rolling Stone
par Jessica Saval
Faux biopic, vrai comédie, "Le Redoutable" est un morceau d'histoire des plus croustillant. Immanquable !
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Michel Hazanavicius est un formidable révélateur d'acteurs. Après Jean Dujardin dans "OSS 117", le réalisateur fait exploser le talent comique de Louis Garrel.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Louis Garrel zozote, histoire de trouver le masque adapté, sans tomber dans le mimétisme. Dégarni et un cheveu sur la langue, il incarne le pape de la Nouvelle vague avec la distance de l’affection raisonnée. On s’amuse beaucoup.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 2 semaines
par Claire Picard
Dans le rôle du cinéaste, Louis Garrel livre une partition désopilante, avec son cheveu sur la langue et ses postures langagières si spirituelles. Il en fait un personnage à la fois horripilant, pitoyable et attachant. Si le scénario pêche un peu par sa légèreté et patine par moments, on passe un bon moment.
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Un portrait irrévérencieux du cinéaste, bourré d'humour et de tendresse.
Télérama
par Guillemette Odicino
POUR : C’est dans son humour que le film s’avère le plus fidèle à Jean-Luc Godard, très blagueur lui-même. Puisque l’homme n’a eu de cesse de tout désacraliser, n’était-ce pas le plus bel hommage à lui rendre que de le désacraliser, à son tour, et d’en faire un héros réellement populaire ?
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Pas besoin d'être un cinéphile nostalgique pour être ému par cette histoire d'amour qui s'effiloche sous nos yeux.
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
De bric et de broc, "Le Redoutable" réussit à faire converger l’histoire du cinéma, l’hommage et l’humour Hazanavicien pratiquement avec cohérence. Réussite pour beaucoup à mettre au compte du duo Stacy Martin (Nymphomaniac) - Louis Garrel.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Sur un sujet qui se prêtait à tous les écueils, Michel Hazanavicius s’en tire avec tous les honneurs, comme par une pirouette dont il a le secret.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Septième Obsession
par Claire Micallef
Un biopic pied de nez, certes inoffensif mais pétillant, qui nous rappelle (attention, aberration anti-godardienne !) qu’un bon film d’auteur ne doit pas avoir honte d’être un agréable divertissement.
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Derrière les multiples couches de vintage, plus grand-chose ne vibre : ni l’ébullition paradoxale du moment, ni l’appétit d’invention du cinéma d’alors, ni la relation entre un artiste et son égérie.
CinemaTeaser
par Renan Cros
À chaque scène, chaque idée, le réalisateur semble suer sang et eau pour avoir l'air aussi désinvolte que son modèle.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Certes, on s’amuse aux clins d’œil à la Nouvelle Vague et à la diction savonneuse de Louis Garrel et l’on succombe au charme de Stacy Martin, qui fait plutôt penser à Chantal Goya, autre actrice godardienne. Mais, en fin de compte, ce principe appuyé de va-et-vient entre l’original et sa sage copie demeure peu productif.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
C’est là que le bât blesse. Car c’est une chose de montrer que Godard s’est mal comporté avec sa femme, c’en est une autre de fonder son point de vue sur le seul témoignage de celle-ci.
Libération
par Luc Chessel
Le film de droite déguisé en biopic élogieux, déguisé en foutage de gueule, déguisé lui-même en film de Godard, déguisé quant à lui en faux militant de gauche, etc.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Critikat.com
par Fabien Reyre
La parodie prend des airs de liquidation massive, où le comble consiste à désincarner le style godardien pour en faire un objet pop, reproduit ad nauseam jusqu’à ce qu’il soit définitivement vidé de son sens.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Soyons honnêtes : ériger à JLG une statue en bonne et due forme eût été une idée pire encore que cette espèce de tribute passif-agressif. Il valait mieux le laisser tranquille.
Transfuge
par Damien Aubel
Las, Hazanavicius se prend les pieds dans le tapis (rouge) et ce qu'il rêvait sans doute comme un "The Artist" colorisé aux chromatismes pop pétants sixties, un petit ballon d'hélium chatoyant et léger, exhale les effluves de formol de la taxidermie.
Télérama
par Frédéric Strauss
CONTRE : Tout est faux dans Le Redoutable : confessions maquillées à travers un Godard singé, simplifié. Un carnaval exaspérant
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Femme Actuelle
Le costume de Jean-Luc Godard sied à merveille à Louis Garrel, bluffant quand il joue les maris jaloux et les artistes incompris.
Marianne
"Le Redoutable", avec sa reconstitution pop d'une époque agitée, son humour et sa délicatesse dans la description de ses deux amoureux transis puis désunis, entraîne dans son charme impertinent et sa mélancolie souterraine.
Première
De même que "The Artist" était transcendé par l'interprétation tout feu tout flamme de Jean Dujardin, "Le Redoutable" doit sa réussite au talent fou de Louis Garrel, impérial en sosie zozotant de Godard qu'il joue très premier degré, sans cette légère distanciation adoptée par le récit.
20 Minutes
Le réalisateur de "The Artist" n’angélise pas Jean-Luc Godard. Il le montre comme un homme brillant, dont la mauvaise foi est si monumentale qu’elle pourrait être exposée dans un musée.
Bande à part
Il faut être amoureux du cinéma et aimer éperdument Godard pour avoir le désir de cette magie : Le Redoutable est aussi bien un exercice de prestidigitation, qui fait apparaître le Godard de mai 1968, sur un scénario filé à partir du livre de souvenirs d’Anne Wiazemsky, qu’une déclaration d’amour d’un cinéaste à un autre.
CNews
Livrant un film drôle et impertinent, Hazanavicius a eu la bonne idée de ponctuer son récit de trouvailles de mise en scène : images en noir et blanc négatif, séquence sur la nudité gratuite au cinéma, dida scalies écrites sur les décors.
Culturopoing.com
Entre hommage et dérision, Le Redoutable se situe dans la meilleure veine de la filmographie du réalisateur, celle d’une comédie populaire exigeante n’oubliant pas d’être ludique et accessible.
Ecran Large
Il fallait un cinéaste fétichiste et mordant tel que Michel Hazanavicius pour rendre cet hommage dément à un géant du cinéma, tour à tour précieux et ridicule, sans oublier de rincer à l'acide le mythe de l'intellectuel engagé et ses colifichets.
L'Express
L'effet est là. Michel Hazanavicius, aux commandes de ce Redoutable, est un formidable conteur qui manie avec brio les ficelles de la mise en scène et le poil à gratter de l'ironie respectueuse.
La Croix
Spécialiste oscarisé du pastiche intelligent, l’auteur de The Artist signe une comédie irrésistible, accessible à tous, sur le mythique réalisateur de la nouvelle vague.
La Voix du Nord
Hommage au réalisateur du Mépris ? Pied de nez moqueur en direction de l’auteur de La Chinoise ? On ne saura jamais vraiment le fond de la pensée d’Hazanavicius retrouvant ici la verve pasticheuse de La Classe américaine au service d’un être narcissique et destructeur.
Le Dauphiné Libéré
Michel Hazanavicius trace avec brio le portrait du cinéaste à travers sa façon de faire du cinéma et en jouant tant avec son physique (dans lequel se moule un étonnant Louis Garrel) qu’avec ses tics, son (mauvais) caractère, son discours, ses saillies. Tout cela tracé de façon légère et enlevée, sans trop prendre Godard au sérieux : ce qui est, à coup sûr, le meilleur hommage qu’on puisse lui rendre.
Le Figaro
Michel Hazanavicius rend au cinéaste un hommage facétieux et attendri.
Le Figaroscope
Un portrait pastiche de Jean-Luc Godard insolent et savoureux.
Le Journal du Dimanche
Adapté du livre de la comédienne ("Un an après", 2015), "Le Redoutable" réjouit car il est le portrait amusé et amusant d'un homme pris dans ses contradictions politiques et sentimentales à un tournant décisif de sa vie et de sa carrière.
Le Parisien
Louis Garrel était l'interprète idéal pour incarner ce Godard tourmenté, tête à lunettes et à claques. La brune Stacy Martin achève d'enchanter cet audacieux exercice.
Le Point
On s'était tellement ennuyé dans "The Search" qu'on est heureux de rire avec "Le redoutable", hilarante mise en boîte du virage politique de Jean-Luc Godard dans la France de Mai 68.
Les Fiches du Cinéma
Un biopic assez aigre sur le fond, mais également un cartoon plutôt astucieux et bien mené.
Ouest France
Une réussite que l'on doit aussi aux acteurs. Louis Garrel est un Godard d'autant plus convaincant qu'il est sous le regard de sa jeune épouse joliment incarnée par Stacy Martin. Sans oublier les seconds rôles réussis joués par Bérénice Bejo et Gregory Gadebois.
Positif
Le film peut ainsi se montrer drôle et léger pour décrire un artiste suicidaire, un couple fracassé, des amitiés brisées... Nous, spectateurs, savons que la guerre du Viêtnam s’achèvera, que le mur de Berlin s’effondrera, (...). Distance qui autorise Michel Hazanavicius à regarder ces événements avec tendresse et amusement.
Rolling Stone
Faux biopic, vrai comédie, "Le Redoutable" est un morceau d'histoire des plus croustillant. Immanquable !
Studio Ciné Live
Michel Hazanavicius est un formidable révélateur d'acteurs. Après Jean Dujardin dans "OSS 117", le réalisateur fait exploser le talent comique de Louis Garrel.
Sud Ouest
Louis Garrel zozote, histoire de trouver le masque adapté, sans tomber dans le mimétisme. Dégarni et un cheveu sur la langue, il incarne le pape de la Nouvelle vague avec la distance de l’affection raisonnée. On s’amuse beaucoup.
Télé 2 semaines
Dans le rôle du cinéaste, Louis Garrel livre une partition désopilante, avec son cheveu sur la langue et ses postures langagières si spirituelles. Il en fait un personnage à la fois horripilant, pitoyable et attachant. Si le scénario pêche un peu par sa légèreté et patine par moments, on passe un bon moment.
Télé 7 Jours
Un portrait irrévérencieux du cinéaste, bourré d'humour et de tendresse.
Télérama
POUR : C’est dans son humour que le film s’avère le plus fidèle à Jean-Luc Godard, très blagueur lui-même. Puisque l’homme n’a eu de cesse de tout désacraliser, n’était-ce pas le plus bel hommage à lui rendre que de le désacraliser, à son tour, et d’en faire un héros réellement populaire ?
Voici
Pas besoin d'être un cinéphile nostalgique pour être ému par cette histoire d'amour qui s'effiloche sous nos yeux.
aVoir-aLire.com
De bric et de broc, "Le Redoutable" réussit à faire converger l’histoire du cinéma, l’hommage et l’humour Hazanavicien pratiquement avec cohérence. Réussite pour beaucoup à mettre au compte du duo Stacy Martin (Nymphomaniac) - Louis Garrel.
Franceinfo Culture
Sur un sujet qui se prêtait à tous les écueils, Michel Hazanavicius s’en tire avec tous les honneurs, comme par une pirouette dont il a le secret.
La Septième Obsession
Un biopic pied de nez, certes inoffensif mais pétillant, qui nous rappelle (attention, aberration anti-godardienne !) qu’un bon film d’auteur ne doit pas avoir honte d’être un agréable divertissement.
Cahiers du Cinéma
Derrière les multiples couches de vintage, plus grand-chose ne vibre : ni l’ébullition paradoxale du moment, ni l’appétit d’invention du cinéma d’alors, ni la relation entre un artiste et son égérie.
CinemaTeaser
À chaque scène, chaque idée, le réalisateur semble suer sang et eau pour avoir l'air aussi désinvolte que son modèle.
L'Obs
Certes, on s’amuse aux clins d’œil à la Nouvelle Vague et à la diction savonneuse de Louis Garrel et l’on succombe au charme de Stacy Martin, qui fait plutôt penser à Chantal Goya, autre actrice godardienne. Mais, en fin de compte, ce principe appuyé de va-et-vient entre l’original et sa sage copie demeure peu productif.
Le Monde
C’est là que le bât blesse. Car c’est une chose de montrer que Godard s’est mal comporté avec sa femme, c’en est une autre de fonder son point de vue sur le seul témoignage de celle-ci.
Libération
Le film de droite déguisé en biopic élogieux, déguisé en foutage de gueule, déguisé lui-même en film de Godard, déguisé quant à lui en faux militant de gauche, etc.
Critikat.com
La parodie prend des airs de liquidation massive, où le comble consiste à désincarner le style godardien pour en faire un objet pop, reproduit ad nauseam jusqu’à ce qu’il soit définitivement vidé de son sens.
Les Inrockuptibles
Soyons honnêtes : ériger à JLG une statue en bonne et due forme eût été une idée pire encore que cette espèce de tribute passif-agressif. Il valait mieux le laisser tranquille.
Transfuge
Las, Hazanavicius se prend les pieds dans le tapis (rouge) et ce qu'il rêvait sans doute comme un "The Artist" colorisé aux chromatismes pop pétants sixties, un petit ballon d'hélium chatoyant et léger, exhale les effluves de formol de la taxidermie.
Télérama
CONTRE : Tout est faux dans Le Redoutable : confessions maquillées à travers un Godard singé, simplifié. Un carnaval exaspérant