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Ranik Pr29
3 critiques
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1,0
Publiée le 3 décembre 2024
Sans intérêt, un huis clos psychologique loupé dans un décor rouillé au milieu de nulle part où il ne se passe rien.Ah si,un canon qui tire des obus quelque part.
Il est bien frustrant qu'une prestation d'acteurs de cette excellence se fasse dans un cadre scénaristique aussi limité. Car franchement, un petit effort visant à approfondir le scénario, et à rendre plusieurs tenants et aboutissants de l'intrigue plus limpides, n'aurait pas été superflu. Tout au long de ce huis-clos pesant, les questions se multiplient, et ni les dialogues, ni la fin ne les éclairent vraiment. Quelle importance "La Grosse Bertha" a-t-elle exactement pour les deux parties en conflit? Quel intérêt d'avoir réservé un tel sort à l'équipe de remplacement? Pourquoi avoir envoyé un premier bâtiment avec ce qu'il contenait? Comment était-il manœuvré, par qui était-il envoyé? Quel est le mystère des réponses du satellite? Si le précédent film de Tanel Toom, "Truth and Justice", avait impressionné certains jurys, "Last Sentinel", n'a pas convaincu l'ensemble des cinéphiles normalement constitués, qui attendent encore que l'Estonien les surprenne agréablement.
"Sentinel" est un film que j'ai trouvé plutôt pas mal. L'histoire est sympa et les personnages sont plus ou moins attachants. Par contre ça tourne un peu en rond, je pense que ce long-métrage aurait mérité de durer moins longtemps. La fin du film est très décevante.
Ça se laisse regarder mais rien de vraiment interessant dans ce film bizarre et lent. L’histoire n’est pas très évidente à comprendre et le final n’est pas mieux!
On pourrait facilement s'ennuyer devant ce film, mais pour ma part ce fut une pause agréable dans la débauche de scène d'actions et de rires forcés des oeuvres de notre temps.
Loin de révolutionner le genre, Sentinel se pose toutefois comme un candidat sérieux et fait bien son travail malgré un dénouement évident à partir d'un certain momentspoiler: (avec toutefois un petit twist que je pourrais qualifier de poétique, en tant que technicien) .
À regarder lorsque l'on a envie à la fois de calme et de tension.
Alors non, le film n'est forcément mauvais comme l'indique la note de 1.5 qui signifie 'mauvais', car il possède une idée de base que je trouve originale et la qualité des images est plutôt bonne pour ce film a petit budget. Le problème est que c'est plat au final, fade et c'est dommage. Un huis clos raté. Dans un tout autre genre, mais qui reste un huis clos à très petit budget, j'avais adoré The man from earth.
Tout ça pour ça... Dans l'ensemble c'est plutôt bien réalisé, je m'attendais à bien pire. Le film est regardable, mais on attends, on attends, on attends un truc qui n'arrive jamais.
Quel scénario pauvre et mal bouclé. Un huis clos sans réelle intrigue, on s'ennuie vite. En 2024, ce serait bien d'arrêter de filmer des compteurs qui n'en finissent pas d'arriver à 100 %. On peut passer sans problème.
Un huit clos dans un avant poste oublié sur une planète submergée, cette aventure tourne en rond dans l attente des secours ou de la relève. Pas réellement intriguant. Le casting n est pas non plus trop au rendez-vous. On peut passer …
'Last Sentinel", film de science-fiction germano-britannique-estonien réalisé par Tanel Toom, sorti en 2023. Un petit film modeste, un huis-clos de science-fiction post-apocalyptique correctement réalisé. Une petite garnison isolée sur une base perdue dans un océan planétaire d'où n'émerge plus que deux îles. Filmé dans un des forts de Maunsell. Avec Kate Bosworth, Lucien Laviscount (Emily in Paris), Martin McCann et Thomas Kretschmann (Stalingrad, Le pianiste). Un peu comme "le désert des tartares", on y attend un ennemi qui ne vient pas, peut-être même qui n'existe pas, une relève incertaine, on y attend Godot qui ne vient pas et on finit par s'ennuyer un peu. Cependant ça se regarde, ce n'est pas si nul.
Sentinel réussit d'imposer une atmosphère anxiogène dans un milieu confiné où quatre militaires perchés sur une plateforme maritime, attendent la relève. Les personnages sont charismatiques et hauts en couleurs, l'ambiance est pesante, les différents s'accumulent et les ordres s’exécutent face à un commandant plus qu'autoritaire. Malgré quelques longueurs, Sentinel capte l'attention et enferme le spectateur dans une atmosphère confinée et solitaire. C'est une réussite mais pas total puisque j'ai trouvé la fin quelques peu inattendue et un tirée par les cheveux.
En 2063, un changement climatique incontrôlé et endémique a provoqué une augmentation catastrophique des températures et du niveau de la mer. Entourés par un océan sans fin à des milliers de kilomètres de chez eux, quatre soldats constituent le dernier bastion, défendant leur patrie contre l'invasion d'un ennemi qu'ils n'ont jamais vu. Seuls et incertains quant au sort qui les attend, la tension latente au sein de l'équipage s'intensifie lorsqu'un mystérieux bateau dérive à portée.