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FaRem
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2,0
Publiée le 30 avril 2023
"Last Sentinel" prend place en 2063 dans un monde différent de celui que l'on connaît en raison de la montée des eaux. Il ne reste que deux continents et ceux-ci sont en guerre. Un contexte qui n'a malheureusement que peu d'importance puisque tout le film se déroule dans une station militaire située au milieu de l'océan et habitée par quatre personnes. S'il s'agissait d'une simple plate-forme pétrolière avec des gens livrés à eux-mêmes pour une raison pour une autre, ce serait la même chose. Une fois que quelque chose d'extérieur vient perturber leur quotidien, les tensions se font sentir entre les membres. S'il y a bien quelques éléments mystérieux, tout le film tourne autour de ces tensions. Écrit par Malachi Smyth, qui avait réalisé "The Score", "Last Sentinel" a exactement les mêmes défauts avec un faux huis clos qui fait beaucoup de mystère pour pas grand-chose. C'est bien réalisé par Tanel Toom, qui réalise son premier film en anglais après le très bon "Tõde ja õigus", mais il ne peut pas faire de miracle avec un script aussi poussif. De plus, quel intérêt de faire un film si long avec si peu... Bref, une bonne prémisse, une solide cinématographie, mais il n'y a rien de palpitant à voir.
Un huit clos dans un avant poste oublié sur une planète submergée, cette aventure tourne en rond dans l attente des secours ou de la relève. Pas réellement intriguant. Le casting n est pas non plus trop au rendez-vous. On peut passer …
'Last Sentinel", film de science-fiction germano-britannique-estonien réalisé par Tanel Toom, sorti en 2023. Un petit film modeste, un huis-clos de science-fiction post-apocalyptique correctement réalisé. Une petite garnison isolée sur une base perdue dans un océan planétaire d'où n'émerge plus que deux îles. Filmé dans un des forts de Maunsell. Avec Kate Bosworth, Lucien Laviscount (Emily in Paris), Martin McCann et Thomas Kretschmann (Stalingrad, Le pianiste). Un peu comme "le désert des tartares", on y attend un ennemi qui ne vient pas, peut-être même qui n'existe pas, une relève incertaine, on y attend Godot qui ne vient pas et on finit par s'ennuyer un peu. Cependant ça se regarde, ce n'est pas si nul.
Tout ça pour ça... Dans l'ensemble c'est plutôt bien réalisé, je m'attendais à bien pire. Le film est regardable, mais on attends, on attends, on attends un truc qui n'arrive jamais.
C'est fort dommage que ce huis clos ne parvient pas à tenir notre haleine malgré un début prometteur, un synopsis suscitant l'intérêt et un bon jeu d'acteur. Je m'y attendais à quelque chose de psychologique et ce n'est malheureusement pas venu.
Sentinel réussit d'imposer une atmosphère anxiogène dans un milieu confiné où quatre militaires perchés sur une plateforme maritime, attendent la relève. Les personnages sont charismatiques et hauts en couleurs, l'ambiance est pesante, les différents s'accumulent et les ordres s’exécutent face à un commandant plus qu'autoritaire. Malgré quelques longueurs, Sentinel capte l'attention et enferme le spectateur dans une atmosphère confinée et solitaire. C'est une réussite mais pas total puisque j'ai trouvé la fin quelques peu inattendue et un tirée par les cheveux.
En 2063, un changement climatique incontrôlé et endémique a provoqué une augmentation catastrophique des températures et du niveau de la mer. Entourés par un océan sans fin à des milliers de kilomètres de chez eux, quatre soldats constituent le dernier bastion, défendant leur patrie contre l'invasion d'un ennemi qu'ils n'ont jamais vu. Seuls et incertains quant au sort qui les attend, la tension latente au sein de l'équipage s'intensifie lorsqu'un mystérieux bateau dérive à portée.
Alors non, le film n'est forcément mauvais comme l'indique la note de 1.5 qui signifie 'mauvais', car il possède une idée de base que je trouve originale et la qualité des images est plutôt bonne pour ce film a petit budget. Le problème est que c'est plat au final, fade et c'est dommage. Un huis clos raté. Dans un tout autre genre, mais qui reste un huis clos à très petit budget, j'avais adoré The man from earth.
Il est bien frustrant qu'une prestation d'acteurs de cette excellence se fasse dans un cadre scénaristique aussi limité. Car franchement, un petit effort visant à approfondir le scénario, et à rendre plusieurs tenants et aboutissants de l'intrigue plus limpides, n'aurait pas été superflu. Tout au long de ce huis-clos pesant, les questions se multiplient, et ni les dialogues, ni la fin ne les éclairent vraiment. Quelle importance "La Grosse Bertha" a-t-elle exactement pour les deux parties en conflit? Quel intérêt d'avoir réservé un tel sort à l'équipe de remplacement? Pourquoi avoir envoyé un premier bâtiment avec ce qu'il contenait? Comment était-il manœuvré, par qui était-il envoyé? Quel est le mystère des réponses du satellite? Si le précédent film de Tanel Toom, "Truth and Justice", avait impressionné certains jurys, "Last Sentinel", n'a pas convaincu l'ensemble des cinéphiles normalement constitués, qui attendent encore que l'Estonien les surprenne agréablement.
"Sentinel" est un film que j'ai trouvé plutôt pas mal. L'histoire est sympa et les personnages sont plus ou moins attachants. Par contre ça tourne un peu en rond, je pense que ce long-métrage aurait mérité de durer moins longtemps. La fin du film est très décevante.
Ça se laisse regarder mais rien de vraiment interessant dans ce film bizarre et lent. L’histoire n’est pas très évidente à comprendre et le final n’est pas mieux!
spoiler: C'est l'histoire d'un groupe de quatre soldats perdu au milieu de l'océan, océan qui recouvre maintenant 85 % de la terre suite à des inondations que l'homme a provoquées blablabla, comme d'habitude ont et des merdes et on a tous détruit ce qui ne m'étonne pas vraiment en 2060.
Il ne reste plus que deux morceaux de terre et évidemment, ces deux factions sont en guerre et cette plate-forme est placée en plein milieu avec une arme de destruction massive pour dissuader tout ce beau monde de ne pas s'attaquer mutuellement.
Et vu que leur quart doit durer deux ans et que personne ne vient les remplacer, ils commencent tous à se poser des questions et ça va partir en cacahuète.
Histoire/scénario : il est plutôt original, mais le film se passe un peu à huis clos, nous sommes toujours sur la plate-forme donc ne vous attendez pas à des décors variés, mais par contre le dérouler du film a déjà été vu mille fois, donc pas hyper intéressant.
Acteurs : On retrouve : — Kate Bosworth qui apparemment a joué dans Fallout la série et barbare, mais alors elle ne me dit pas grand-chose. — Thomas Kretschmann qui a joué dans le dernier Indiana Jones, mais pareil, je ne me souviens vraiment pas de lui. Les autres sont plus ou moins inconnus, à part deux ou trois rôles dans des films que je ne connais pas.
Effets spéciaux : une plate-forme entourée de flottes, je vous laisse deviner. Par contre, le décor rend plutôt pas mal.
VF/bande son : pas grand-chose à dire dessus, la VF est honnête et la bande son inexistante.
Je ne m'attendais pas à grand-chose en regardant ce film, mais vu que les films en ce moment, c'est plutôt les vaches maigres et bien je me suis dit allons-y, sur un malentendu ça peut passer, eh bien pas vraiment, le film n'est pas mauvais, mais il n'y a rien de bien passionnant, et on tourne vite en rond et comme d'habitude la fin ne nous apprend rien donc inutile.