Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
31 critiques presse
Télé 2 semaines
par Jérémy Mingot
Une pépite qui émeut autant qu'elle fait sourire.
Bande à part
par Helen Faradji
"The Florida Project" est tout simplement un film qui a du cœur. C’est assez rare pour le souligner.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Renan Cros
Un film vivant et foisonnant.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Adrien Dénouette
Ce programme de réenchantement par l’hystérie, sous l’angle d’un idéal anarchique, c’est l’une des définitions possibles de l’enfance. Pas n’importe laquelle : précisément celle de la liberté intégrale qui, de Tom Sawyer à la vibrionnante Moonee de ce "The Florida Project", occupe tous les vides du terrain de jeu pour ne pas rimer avec abandon.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Pierre Guiho
Filmant un quotidien sans perspective détourné par le sentiment d'éternité d'enfants virevoltants et mal élevés, Sean Baker construit un récit vif, souvent drôle et profondément attachant qui s'assemble par collages successifs jusqu'à son final lumineux.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Ce n'est pas un simple mélodrame cadré : c'est une petite odyssée revigorante, colorée, drôle, chatoyante, d'une douceur souvent magnifique, et portée par des acteurs fantastiques. Avec en prime, une conclusion qui transporte le coeur.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Un film à la fois poétique et difficile, mais qui nous enthousiasme par sa rare espièglerie.
Femme Actuelle
par La rédaction
Coup de coeur pour ce film plein d'humanité.
L'Express
par Eric Libiot
"The Florida Project" prend de l'ampleur et s'échappe du fourre-tout pour raconter, sans misérabilisme, la médaille d'un pays dont l'envers devient plus visible que l'endroit.
L'Humanité
par Dominique Widemann
Le réalisme de Sean Baker n'élude rien. A force d attention et de fantaisie, il déjoue tous les pièges de la complaisance.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Précipités au cœur d’une narration ivre de liberté, les acteurs non professionnels rivalisent de naturel et d’exubérance avec les bêtes de scène. Notamment Willem Dafoe harnaché à un rôle admirable autorisé à déverser des torrents d’humilité et d’humanité.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
(...) filmé à l'énergie, sans s'appesantir, sans juger, sans dispenser la moindre leçon sociale ou morale, enregistrant la réalité comme un rêve de monde merveilleux qui se serait détraqué.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le réalisateur porte un regard rempli de bienveillance et d’humanité sur des personnages attachants, qui ne baissent jamais les bras, dans cette chronique sociale à la fois cruelle et onirique, filmée à hauteur d’enfant et avec de vrais habitants du motel dans un souci de réalisme absolu.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Isabelle Régnier
En adoptant ainsi le point de vue de ses jeunes personnages, Sean Baker s'interdit d'en juger aucun, et c'est là la beauté du film.
Le Parisien
par Catherine Balle
C’est l’un des plus beaux films de l’année. "The Florida Project" raconte une histoire bouleversante avec des acteurs amateurs stupéfiants et dans des décors ultra-cinégéniques.
Les Fiches du Cinéma
par Jef Costello
À l’ombre d’un parc d’attractions mondialement célèbre, Moonee et sa mère tentent de survivre au quotidien. En jouant en virtuose avec ce contraste géographique, le nouveau film de Sean Baker est à la fois joyeux, effronté et déchirant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Un cocktail enragé de Floride, de chaos white trash, de Disney et de féminité guerrière, duquel se dégage un entêtant parfum d’apocalypse imminente.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Ça pourrait être glauquissime, c'est somptueux et déchirant. Coloré, pop, forcément décadent.
Positif
par Grégory Valens
[un] tableau sincère et touchant des laissés-pour-compte du rêve américain.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Un film gorgé de soleil et de vitalité qui dénonce le rêve américain.
Transfuge
par Sidy Sakho
Certains qualifieront sans doute de "misérabiliste" le regard porté sur les familles croisées dans ce triste décor, mais c'est ailleurs que dans la description naturaliste que se situe l'enjeu du film. Dans l'atmosphère de danger diffus qui semble planer autour de Moonee et des autres enfants, dans les mauvaises rencontres toujours possibles.
Télérama
par Cécile Mury
Rares sont les films qui captent aussi bien l'énergie volatile, la spontanéité crue de I'enfance, la toute puissance de son imaginaire.
Voici
par Lola Sciamma
Un feel good movie sur les laissés pour comptes du rêve américain, qui voit la vie en rose bonbon, et mené tambour battant par une fillette à l'énergie pétaradante.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Portrait incisif d’une Amérique des laissés-pour-compte, le film séduit son absence de concessions et confirme l’originalité d’un des meilleurs représentants du cinéma indépendant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Sean Baker (...) peint le glauque en couleurs, mais sans complaisance.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Filmé à hauteur d’enfants, "The Florida Project" réussit le tour de force de nous raconter sans pathos le quotidien de ces milliers de familles expulsées de chez elle, contraintes de se réfugier dans des motels où elles vivent dans des conditions précaires.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Séverine Danflous
L’euphorie visuelle et rythmique du film ne l’empêche pas d’aborder les questions cruciales. Et le regard empreint de tendresse du réalisateur refuse de juger des personnages prêts à tout pour s’arroger une part de l’american dream.
Le Figaro
par La rédaction
Ce film, qui pointe du doigt la précarité à travers une mère de famille démissionnaire, pèche par sa longueur.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Première
par Thomas Baurez
Il faut reconnaître à Sean Baker, une volonté farouche d’en découdre avec l’idée frelatée du rêve américain et de se placer juste à côté du soleil ("Tangerine" se situait dans une Los Angeles interlope) pour mieux en saisir ses contre-jours.
La critique complète est disponible sur le site Première
Libération
par Didier Péron
Le cinéaste passe directement de l'image rough de son baptême du feu à une esthétique pimpante et pop art étrangement datée dans sa volonté de décalage avec la déshérence sociale qu'elle entend embellir ou souligner.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
Freak show misérabiliste dépourvu du moindre regard critique et grossièrement écrit.
Télé 2 semaines
Une pépite qui émeut autant qu'elle fait sourire.
Bande à part
"The Florida Project" est tout simplement un film qui a du cœur. C’est assez rare pour le souligner.
CinemaTeaser
Un film vivant et foisonnant.
Critikat.com
Ce programme de réenchantement par l’hystérie, sous l’angle d’un idéal anarchique, c’est l’une des définitions possibles de l’enfance. Pas n’importe laquelle : précisément celle de la liberté intégrale qui, de Tom Sawyer à la vibrionnante Moonee de ce "The Florida Project", occupe tous les vides du terrain de jeu pour ne pas rimer avec abandon.
Culturopoing.com
Filmant un quotidien sans perspective détourné par le sentiment d'éternité d'enfants virevoltants et mal élevés, Sean Baker construit un récit vif, souvent drôle et profondément attachant qui s'assemble par collages successifs jusqu'à son final lumineux.
Ecran Large
Ce n'est pas un simple mélodrame cadré : c'est une petite odyssée revigorante, colorée, drôle, chatoyante, d'une douceur souvent magnifique, et portée par des acteurs fantastiques. Avec en prime, une conclusion qui transporte le coeur.
Elle
Un film à la fois poétique et difficile, mais qui nous enthousiasme par sa rare espièglerie.
Femme Actuelle
Coup de coeur pour ce film plein d'humanité.
L'Express
"The Florida Project" prend de l'ampleur et s'échappe du fourre-tout pour raconter, sans misérabilisme, la médaille d'un pays dont l'envers devient plus visible que l'endroit.
L'Humanité
Le réalisme de Sean Baker n'élude rien. A force d attention et de fantaisie, il déjoue tous les pièges de la complaisance.
La Voix du Nord
Précipités au cœur d’une narration ivre de liberté, les acteurs non professionnels rivalisent de naturel et d’exubérance avec les bêtes de scène. Notamment Willem Dafoe harnaché à un rôle admirable autorisé à déverser des torrents d’humilité et d’humanité.
Le Dauphiné Libéré
(...) filmé à l'énergie, sans s'appesantir, sans juger, sans dispenser la moindre leçon sociale ou morale, enregistrant la réalité comme un rêve de monde merveilleux qui se serait détraqué.
Le Journal du Dimanche
Le réalisateur porte un regard rempli de bienveillance et d’humanité sur des personnages attachants, qui ne baissent jamais les bras, dans cette chronique sociale à la fois cruelle et onirique, filmée à hauteur d’enfant et avec de vrais habitants du motel dans un souci de réalisme absolu.
Le Monde
En adoptant ainsi le point de vue de ses jeunes personnages, Sean Baker s'interdit d'en juger aucun, et c'est là la beauté du film.
Le Parisien
C’est l’un des plus beaux films de l’année. "The Florida Project" raconte une histoire bouleversante avec des acteurs amateurs stupéfiants et dans des décors ultra-cinégéniques.
Les Fiches du Cinéma
À l’ombre d’un parc d’attractions mondialement célèbre, Moonee et sa mère tentent de survivre au quotidien. En jouant en virtuose avec ce contraste géographique, le nouveau film de Sean Baker est à la fois joyeux, effronté et déchirant.
Les Inrockuptibles
Un cocktail enragé de Floride, de chaos white trash, de Disney et de féminité guerrière, duquel se dégage un entêtant parfum d’apocalypse imminente.
Paris Match
Ça pourrait être glauquissime, c'est somptueux et déchirant. Coloré, pop, forcément décadent.
Positif
[un] tableau sincère et touchant des laissés-pour-compte du rêve américain.
Studio Ciné Live
Un film gorgé de soleil et de vitalité qui dénonce le rêve américain.
Transfuge
Certains qualifieront sans doute de "misérabiliste" le regard porté sur les familles croisées dans ce triste décor, mais c'est ailleurs que dans la description naturaliste que se situe l'enjeu du film. Dans l'atmosphère de danger diffus qui semble planer autour de Moonee et des autres enfants, dans les mauvaises rencontres toujours possibles.
Télérama
Rares sont les films qui captent aussi bien l'énergie volatile, la spontanéité crue de I'enfance, la toute puissance de son imaginaire.
Voici
Un feel good movie sur les laissés pour comptes du rêve américain, qui voit la vie en rose bonbon, et mené tambour battant par une fillette à l'énergie pétaradante.
aVoir-aLire.com
Portrait incisif d’une Amérique des laissés-pour-compte, le film séduit son absence de concessions et confirme l’originalité d’un des meilleurs représentants du cinéma indépendant.
L'Obs
Sean Baker (...) peint le glauque en couleurs, mais sans complaisance.
La Croix
Filmé à hauteur d’enfants, "The Florida Project" réussit le tour de force de nous raconter sans pathos le quotidien de ces milliers de familles expulsées de chez elle, contraintes de se réfugier dans des motels où elles vivent dans des conditions précaires.
La Septième Obsession
L’euphorie visuelle et rythmique du film ne l’empêche pas d’aborder les questions cruciales. Et le regard empreint de tendresse du réalisateur refuse de juger des personnages prêts à tout pour s’arroger une part de l’american dream.
Le Figaro
Ce film, qui pointe du doigt la précarité à travers une mère de famille démissionnaire, pèche par sa longueur.
Première
Il faut reconnaître à Sean Baker, une volonté farouche d’en découdre avec l’idée frelatée du rêve américain et de se placer juste à côté du soleil ("Tangerine" se situait dans une Los Angeles interlope) pour mieux en saisir ses contre-jours.
Libération
Le cinéaste passe directement de l'image rough de son baptême du feu à une esthétique pimpante et pop art étrangement datée dans sa volonté de décalage avec la déshérence sociale qu'elle entend embellir ou souligner.
Cahiers du Cinéma
Freak show misérabiliste dépourvu du moindre regard critique et grossièrement écrit.