Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Transfuge
par Frédéric Mercier
Parfois, (Babinet) met en scène leurs rêves, imagine une comédie musicale et un petit film de science-fiction. Il réussit à ne jamais sombrer dans l'imagerie télé, la représentation figée, mortifère. Il casse les clichés ou s'en amuse, aidé de ses petits héros plein de bon sens.
Voici
par La Rédaction
Une étonnante, instructive et rafraîchissante plongée dans le regard de onze collégiens d'Aulnay-sous-Bois.
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce documentaire sait être aussi passionnant que drôle pour offrir un véritable concentré d’énergie. (...) Un vrai booster pour le moral (...) qui redonne foi en l’avenir de l’être humain.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Critikat.com
par Juliette Goffart
En substituant à tout regard lointain et stigmatisant sur les quartiers dits "sensibles" le point de vue intérieur de sa jeunesse, Olivier Babinet en réenchante le monde avec une joyeuse féérie.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Eric Libiot
Les gamins sont formidables, leurs propos pleins d'émotion et de justesse, la mise en scène soignée.
L'Humanité
par Vincent Ostria
La différence majeure avec le cinéma social actuel, c’est la beauté de l’image, très travaillée, la fantaisie des personnages et leurs épatantes et hilarantes réflexions. À la fois une chronique des cités et une série de vignettes hautes en couleur. Tableau euphorisant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Anne Crignon
Beau film construit sur les brèches du déterminisme.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Enfin de la banlieue, une image colorée, lumineuse. Ce film, cette claque salutaire, d’une revigorante fraîcheur.
Le Figaro
par Nathalie Simon
Olivier Babinet pose un regard juste sur des jeunes du « 9-3 ».
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Le résultat, assumant son point de vue empathique et fasciné, est un fort bel instantané de la France d’aujourd’hui entre rêves et réalités.
Le Monde
par Isabelle Regnier
Olivier Babinet signe un documentaire fantasque et émouvant autour d’un groupe de collégiens d’Aulnay-sous-Bois.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Les témoignages sont souvent touchants, drôles, parfois un peu longuets. Au milieu de ces mots d'enfants, le réalisateur glisse de jolis effets de mise en scène let des séquences de fiction enlevées, où les collégiens se révèlent de formidables comédiens...
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Onze collégiens nous entraînent avec humour, gravité, innocence parfois, singularité toujours, dans leur univers. Un voyage magnifique et édifiant.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Premier effet swag de "Swagger" : la cinégénie, la présence, la malice, l'intelligence de ces kids. Deuxième effet swag : sa façon de redéfinir ce qu'est un ado de banlieue, loin des habituelles images anxiogènes ou misérabilistes. Troisième couche de swag : cette audace dans le mélange de des genres, du docu et de la fiction, striant le réel le plus prosaïque par des embardées fantastiques.
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Et si le film n’adopte aucun discours sociologique, on est libre de tirer les conclusions que l’on veut. Que le cinéma soit venu réparer ce que d’autres ont abîmé, qu’il puisse se réenchanter ainsi dans un univers souvent figé dans des représentations caricaturales, en fait la bonne fée du conte.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Un séduisant portrait choral, qui se concentre sur des personnalités attachantes et ne se refuse rien.
Première
par Éric Vernay
À l'instar de ses attachants héros, ce docu hors norme brise les carcans avec un sacré style.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
"Swagger" ne pose pas un regard fantasmé sur la banlieue mais traduit de manière ludique les fantasmes de ceux qui y vivent.
Télérama
par Pierre Murat
Olivier Babinet filme Aulnay et Sevran, la nuit, comme des lieux mystérieux, beaux et dangereux. Sa caméra joue avec l'espace, elle semble s'envoler, par moments, avant de s'introduire par la fenêtre d'un immeuble, comme pour en percer les secrets.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Camille Bui
Paradoxalement, c’est peut-être la maladresse un peu artificielle d’un film qui ne se laisse pas radicalement aller à l’invention fabulatrice, qui rend celui-ci touchant, et, sous ses airs un peu poseurs, généreux.
La Croix
par Arnaud Schwartz
Jouant avec des codes dont ses interlocuteurs sont familiers, Olivier Babinet signe un documentaire étonnant et rafraîchissant (...). Il manque pourtant à cette œuvre singulière une progression dans le récit, une évolution des "personnages" qui auraient pu lui octroyer davantage d’épaisseur. Qu’importe : ils sont là et c’est beaucoup.
Le Figaroscope
par La Rédaction
Réaliste et touchant.
Positif
par Yann Tobin
Alors oui, le film est trop long, et plusieurs passages oniriques ou "joués" paraissent apprêtés en regard de la spontanéité des entretiens, il n'empêche que "Swagger" (...) tranche de façon tonifiante, sans angélisme ni fatalisme, avec les représentations médiatiques convenues de ces cités du "neuf-trois".
Transfuge
Parfois, (Babinet) met en scène leurs rêves, imagine une comédie musicale et un petit film de science-fiction. Il réussit à ne jamais sombrer dans l'imagerie télé, la représentation figée, mortifère. Il casse les clichés ou s'en amuse, aidé de ses petits héros plein de bon sens.
Voici
Une étonnante, instructive et rafraîchissante plongée dans le regard de onze collégiens d'Aulnay-sous-Bois.
20 Minutes
Ce documentaire sait être aussi passionnant que drôle pour offrir un véritable concentré d’énergie. (...) Un vrai booster pour le moral (...) qui redonne foi en l’avenir de l’être humain.
Critikat.com
En substituant à tout regard lointain et stigmatisant sur les quartiers dits "sensibles" le point de vue intérieur de sa jeunesse, Olivier Babinet en réenchante le monde avec une joyeuse féérie.
L'Express
Les gamins sont formidables, leurs propos pleins d'émotion et de justesse, la mise en scène soignée.
L'Humanité
La différence majeure avec le cinéma social actuel, c’est la beauté de l’image, très travaillée, la fantaisie des personnages et leurs épatantes et hilarantes réflexions. À la fois une chronique des cités et une série de vignettes hautes en couleur. Tableau euphorisant.
L'Obs
Beau film construit sur les brèches du déterminisme.
La Voix du Nord
Enfin de la banlieue, une image colorée, lumineuse. Ce film, cette claque salutaire, d’une revigorante fraîcheur.
Le Figaro
Olivier Babinet pose un regard juste sur des jeunes du « 9-3 ».
Le Journal du Dimanche
Le résultat, assumant son point de vue empathique et fasciné, est un fort bel instantané de la France d’aujourd’hui entre rêves et réalités.
Le Monde
Olivier Babinet signe un documentaire fantasque et émouvant autour d’un groupe de collégiens d’Aulnay-sous-Bois.
Le Parisien
Les témoignages sont souvent touchants, drôles, parfois un peu longuets. Au milieu de ces mots d'enfants, le réalisateur glisse de jolis effets de mise en scène let des séquences de fiction enlevées, où les collégiens se révèlent de formidables comédiens...
Les Fiches du Cinéma
Onze collégiens nous entraînent avec humour, gravité, innocence parfois, singularité toujours, dans leur univers. Un voyage magnifique et édifiant.
Les Inrockuptibles
Premier effet swag de "Swagger" : la cinégénie, la présence, la malice, l'intelligence de ces kids. Deuxième effet swag : sa façon de redéfinir ce qu'est un ado de banlieue, loin des habituelles images anxiogènes ou misérabilistes. Troisième couche de swag : cette audace dans le mélange de des genres, du docu et de la fiction, striant le réel le plus prosaïque par des embardées fantastiques.
Libération
Et si le film n’adopte aucun discours sociologique, on est libre de tirer les conclusions que l’on veut. Que le cinéma soit venu réparer ce que d’autres ont abîmé, qu’il puisse se réenchanter ainsi dans un univers souvent figé dans des représentations caricaturales, en fait la bonne fée du conte.
Ouest France
Un séduisant portrait choral, qui se concentre sur des personnalités attachantes et ne se refuse rien.
Première
À l'instar de ses attachants héros, ce docu hors norme brise les carcans avec un sacré style.
Studio Ciné Live
"Swagger" ne pose pas un regard fantasmé sur la banlieue mais traduit de manière ludique les fantasmes de ceux qui y vivent.
Télérama
Olivier Babinet filme Aulnay et Sevran, la nuit, comme des lieux mystérieux, beaux et dangereux. Sa caméra joue avec l'espace, elle semble s'envoler, par moments, avant de s'introduire par la fenêtre d'un immeuble, comme pour en percer les secrets.
Cahiers du Cinéma
Paradoxalement, c’est peut-être la maladresse un peu artificielle d’un film qui ne se laisse pas radicalement aller à l’invention fabulatrice, qui rend celui-ci touchant, et, sous ses airs un peu poseurs, généreux.
La Croix
Jouant avec des codes dont ses interlocuteurs sont familiers, Olivier Babinet signe un documentaire étonnant et rafraîchissant (...). Il manque pourtant à cette œuvre singulière une progression dans le récit, une évolution des "personnages" qui auraient pu lui octroyer davantage d’épaisseur. Qu’importe : ils sont là et c’est beaucoup.
Le Figaroscope
Réaliste et touchant.
Positif
Alors oui, le film est trop long, et plusieurs passages oniriques ou "joués" paraissent apprêtés en regard de la spontanéité des entretiens, il n'empêche que "Swagger" (...) tranche de façon tonifiante, sans angélisme ni fatalisme, avec les représentations médiatiques convenues de ces cités du "neuf-trois".