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Comme Jean-Charles Hue, Emmanuel Parraud part sur des terrains cinématographiquement repérables (le polar, le fantastique) pour mieux déterritorialiser le cinéma en le frottant à une parole, une temporalité et un imaginaire encore inexplorés.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Chantre des dérèglements de l’intrigue, Emmanuel Parraud dresse un portrait attachant d’une langue, le créole. Un voyage ineffable aux confins de La Réunion qui convoque, entre suspense et drame social, le mysticisme d’un Jacques Tourneur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Sac la mort se dilue quand il aurait pu se faire percutant, négligeant un peu la piste fantastique de la malédiction (le « sac la mort »). Reste que le jeu hors norme des comédiens en fait une curiosité.
Énergie parfois emballée de "Sac la mort", pas très cadré, développant volontiers sur le surplace quitte à mettre notre patience à l'épreuve, mais qui ne paie ce prix que pour faire ressentir à quel point l'héritage national honteux imprègne ici les ruelles boueuses et le tréfonds des cerveaux.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Dans ce paysage de chemins défoncés bordés de maisons de parpaing qui ne seront jamais terminées, les acteurs amateurs pourraient n’être que les figures d’un semi-documentaire. La dramaturgie simple et forte qu’impose le scénario les force à endosser la misère de leurs personnages et, pour le premier d’entre eux, une souffrance qui sourd de l’écran, comme si le sac la mort s’était déchiré.
"Sac la mort" raconte le cheminement mental d’un personnage convaincu d’être l’objet d’une malédiction, dans un bourg de La Réunion écartelé entre les vieilles superstitions et le monde moderne.
Tournée à La Réunion avec des acteurs non professionnels, cette fiction a le charme du cinéma de Pagnol : autour d'une table, on discute entre amis ; le rhum remplace le pastis et les dialogues en créole créent une musique joliment dépaysante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le film n’est pas antipathique, mais le manque de moyens se révèle dommageable, de même que le déficit de définition des personnages et le peu d’assurance des interprètes.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
L'Humanité
Un drame social pétri de vérité sensible.
Libération
Comme Jean-Charles Hue, Emmanuel Parraud part sur des terrains cinématographiquement repérables (le polar, le fantastique) pour mieux déterritorialiser le cinéma en le frottant à une parole, une temporalité et un imaginaire encore inexplorés.
Transfuge
Interprété par des acteurs en majorité non professionnels, le film trouve un juste équilibre entre documentaire et fiction.
aVoir-aLire.com
Chantre des dérèglements de l’intrigue, Emmanuel Parraud dresse un portrait attachant d’une langue, le créole. Un voyage ineffable aux confins de La Réunion qui convoque, entre suspense et drame social, le mysticisme d’un Jacques Tourneur.
Cahiers du Cinéma
Sac la mort se dilue quand il aurait pu se faire percutant, négligeant un peu la piste fantastique de la malédiction (le « sac la mort »). Reste que le jeu hors norme des comédiens en fait une curiosité.
Critikat.com
Énergie parfois emballée de "Sac la mort", pas très cadré, développant volontiers sur le surplace quitte à mettre notre patience à l'épreuve, mais qui ne paie ce prix que pour faire ressentir à quel point l'héritage national honteux imprègne ici les ruelles boueuses et le tréfonds des cerveaux.
Le Monde
Dans ce paysage de chemins défoncés bordés de maisons de parpaing qui ne seront jamais terminées, les acteurs amateurs pourraient n’être que les figures d’un semi-documentaire. La dramaturgie simple et forte qu’impose le scénario les force à endosser la misère de leurs personnages et, pour le premier d’entre eux, une souffrance qui sourd de l’écran, comme si le sac la mort s’était déchiré.
Les Fiches du Cinéma
"Sac la mort" raconte le cheminement mental d’un personnage convaincu d’être l’objet d’une malédiction, dans un bourg de La Réunion écartelé entre les vieilles superstitions et le monde moderne.
Studio Ciné Live
Un film étrange dont l'esthétique dépouillée consitue la plus grande qualité.
Télérama
Tournée à La Réunion avec des acteurs non professionnels, cette fiction a le charme du cinéma de Pagnol : autour d'une table, on discute entre amis ; le rhum remplace le pastis et les dialogues en créole créent une musique joliment dépaysante.
L'Obs
Le film n’est pas antipathique, mais le manque de moyens se révèle dommageable, de même que le déficit de définition des personnages et le peu d’assurance des interprètes.