Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Le magnifique "La jeune fille sans mains", distingué par le jury du Festival d’Annecy, tient davantage de l’expérience sensorielle et du poème filmé.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Culturopoing.com
par Miriem Méghaïzerou
Limpide comme la rivière qui fend la page, végétal comme la forêt où chemine la jeune fille, animal tel le diable polymorphe et minéral comme la roche qui donne un abri, l’onirisme de Laudenbach esquisse une topographie allusive, qui arrache le spectateur à la pesanteur.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Express
par Christophe Carrière
C'est excitant. Et jamais vu. Exceptionnel, donc.
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Véritable choc esthétique visuel et sonore, le film d’animation de Sébastien Laudenbach émerveille par sa sensualité païenne.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Bernard Génin
Un magnifique périple vers la lumière.
Télérama
par Cécile Mury
De cet implacable récit métaphorique sur la noirceur de la nature humaine, Sébastien Laudenbach tire un film d'animation lumineux, une oeuvre qui ne cesse de se réinventer sous nos yeux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Les images peintes avec une légèreté qui répond à la noirceur du propos, font de ce récit une chorégraphie aussi gracieuse que tragique.
L'Humanité
par Marie-José Sirach
Passées les premières minutes du film où l’on se sent déconcerté, la magie opère très vite, captivant le regard, projetant des paysages aquarellés qui donnent des profondeurs de champ insoupçonnées.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
Il y a un côté artisan, gracieux, dans ce choix minimaliste. Ce n’est pas toujours convaincant, mais c’est assurément poétique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Adaptation d’un conte des frères Grimm, le long métrage de Sébastien Laudenbach, véritable peinture animée, est d’une beauté étourdissante.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Un long périple vers la lumière mené de main de maître par un réalisateur qui s’oppose et résiste à l’imagerie traditionnelle calibrée, marketée, propagée par les mandarins du cinéma d’animation contemporain.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Adapté d’un conte des frères Grimm, d’où la cruauté n’est pas exempte, un film qui repose tout entier sur la force picturale du dessin et la fluidité de l’animation.
Le Figaro
par Nathalie Simon
La Jeune Fille sans mains s'inscrit dans cette mouvance où l'intérêt de l'histoire le dispute à la qualité et à la beauté des images.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Sébastien Laudenbach signe l’adaptation animée d’un conte des frères Grimm avec ce récit initiatique qui dénonce l’ambition et la cupidité. (...) Les contours à peine esquissés des personnages se confondent avec ceux des décors, une audace visuelle qui renforce le dynamisme de cette histoire vraiment peu ordinaire.
Le Monde
par Noémie Luciani
D’une sanglante histoire des frères Grimm, Sébastien Laudenbach tire un film d’animation croqué de main de maître.
Les Fiches du Cinéma
par Jef Costello
Cette belle adaptation d’un conte des frères Grimm se distingue par son graphisme très original et son approche naturaliste. Et sans moderniser le propos, le film met parfaitement en valeur les résonances contemporaines du récit.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Ce long-métrage d’animation, aux images en éternelle mutation et à l’abstraction totale, devrait ravir tous ceux qui, lassés des histoires préétablies, auront cette fois le plaisir de laisser toute latitude à leur soif d’imagination.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Louis Séguin
Tout montre bien qu’ici, on ne force pas le trait. Mais à force d’hésiter à être, les figures finissent par peiner à exister. Reste qu’une vraie appétence pour la féerie porte cette Jeune Fille sans mains.
Critikat.com
par Alain Zind
L’idée de la peinture pour contrer la précision photographique était un pari audacieux. Dommage que le cinéaste ne soit pas allé au bout dans son geste d’abstraction.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
"La Jeune Fille sans mains" est typiquement un de ces films d'animation qui n'arrachent pas la mobilité virtuelle des formes à leur essence fixe (...) Avec un sens très japonais du vide et du plein (on pense à Takahata) se joue ici tout un art de l'ellipse, du minimalisme et de l'écriture du manque.
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Le geste est d'une audace splendide, mais la forme prime trop sur le fond.
20 Minutes
Le magnifique "La jeune fille sans mains", distingué par le jury du Festival d’Annecy, tient davantage de l’expérience sensorielle et du poème filmé.
Culturopoing.com
Limpide comme la rivière qui fend la page, végétal comme la forêt où chemine la jeune fille, animal tel le diable polymorphe et minéral comme la roche qui donne un abri, l’onirisme de Laudenbach esquisse une topographie allusive, qui arrache le spectateur à la pesanteur.
L'Express
C'est excitant. Et jamais vu. Exceptionnel, donc.
Libération
Véritable choc esthétique visuel et sonore, le film d’animation de Sébastien Laudenbach émerveille par sa sensualité païenne.
Positif
Un magnifique périple vers la lumière.
Télérama
De cet implacable récit métaphorique sur la noirceur de la nature humaine, Sébastien Laudenbach tire un film d'animation lumineux, une oeuvre qui ne cesse de se réinventer sous nos yeux.
Voici
Les images peintes avec une légèreté qui répond à la noirceur du propos, font de ce récit une chorégraphie aussi gracieuse que tragique.
L'Humanité
Passées les premières minutes du film où l’on se sent déconcerté, la magie opère très vite, captivant le regard, projetant des paysages aquarellés qui donnent des profondeurs de champ insoupçonnées.
L'Obs
Il y a un côté artisan, gracieux, dans ce choix minimaliste. Ce n’est pas toujours convaincant, mais c’est assurément poétique.
La Croix
Adaptation d’un conte des frères Grimm, le long métrage de Sébastien Laudenbach, véritable peinture animée, est d’une beauté étourdissante.
La Voix du Nord
Un long périple vers la lumière mené de main de maître par un réalisateur qui s’oppose et résiste à l’imagerie traditionnelle calibrée, marketée, propagée par les mandarins du cinéma d’animation contemporain.
Le Dauphiné Libéré
Adapté d’un conte des frères Grimm, d’où la cruauté n’est pas exempte, un film qui repose tout entier sur la force picturale du dessin et la fluidité de l’animation.
Le Figaro
La Jeune Fille sans mains s'inscrit dans cette mouvance où l'intérêt de l'histoire le dispute à la qualité et à la beauté des images.
Le Journal du Dimanche
Sébastien Laudenbach signe l’adaptation animée d’un conte des frères Grimm avec ce récit initiatique qui dénonce l’ambition et la cupidité. (...) Les contours à peine esquissés des personnages se confondent avec ceux des décors, une audace visuelle qui renforce le dynamisme de cette histoire vraiment peu ordinaire.
Le Monde
D’une sanglante histoire des frères Grimm, Sébastien Laudenbach tire un film d’animation croqué de main de maître.
Les Fiches du Cinéma
Cette belle adaptation d’un conte des frères Grimm se distingue par son graphisme très original et son approche naturaliste. Et sans moderniser le propos, le film met parfaitement en valeur les résonances contemporaines du récit.
aVoir-aLire.com
Ce long-métrage d’animation, aux images en éternelle mutation et à l’abstraction totale, devrait ravir tous ceux qui, lassés des histoires préétablies, auront cette fois le plaisir de laisser toute latitude à leur soif d’imagination.
Cahiers du Cinéma
Tout montre bien qu’ici, on ne force pas le trait. Mais à force d’hésiter à être, les figures finissent par peiner à exister. Reste qu’une vraie appétence pour la féerie porte cette Jeune Fille sans mains.
Critikat.com
L’idée de la peinture pour contrer la précision photographique était un pari audacieux. Dommage que le cinéaste ne soit pas allé au bout dans son geste d’abstraction.
Les Inrockuptibles
"La Jeune Fille sans mains" est typiquement un de ces films d'animation qui n'arrachent pas la mobilité virtuelle des formes à leur essence fixe (...) Avec un sens très japonais du vide et du plein (on pense à Takahata) se joue ici tout un art de l'ellipse, du minimalisme et de l'écriture du manque.
Studio Ciné Live
Le geste est d'une audace splendide, mais la forme prime trop sur le fond.