Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Bande à part
par Olivier Pélisson
Ce récit filme avec bienveillance extrême et maturité la survie de l’individu face à l’inacceptable. Épatant et bouleversant. Un cinéaste est né.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Original et inspiré dans son aspect comique, Une semaine et un jour réussit vers la fin un basculement dramatique aussi inattendu qu’émouvant.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Réussir une comédie sur la vie après une mort n’est pas donné à tout le monde, Asaph Polonsky y parvient dès son coup d’essai et avec un ton bien à lui. Retenez son nom.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Mêlant l’émotion et le saugrenu, une oraison funèbre aussi désopilante que moralement peu correcte, où l’humour apparaît bien comme l’impolitesse du désespoir.
Le Parisien
par La Rédaction
Un film pudique, tout en retenue, qui parle du deuil avec finesse.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Luc Chessel
Une comédie dépressive a ainsi toutes ses chances de devenir un film rempli d’humanité, et un personnage aussi impassible qu’irritable (le père, joué par le comique israélien Shai Avivi) de retrouver une forme acceptable de rapport au réel.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Ariane Allard
incroyable mais vrai : on sort de ce film avec le sourire.
Transfuge
par Damien Aubel
(...) un premier long maîtrisé (...).
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Avec son scénario totalement maîtrisé et ses dialogues efficaces, Une semaine et un jour est un hymne à la vie généreusement humain.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Maël Mubalegh
Pour apprécier Une semaine et un jour à sa juste valeur, il faudra donc épouser la puérilité cafardeuse de son personnage principal afin d’être sensible à la pure comédie régressive voilée dans une étude de couple a priori très convenue.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Outre qu’il aborde une phase du deuil rarement évoquée par le cinéma, Une semaine et un jour se distingue par sa tonalité, entre drame et comédie. Jamais ses acteurs ne jouent sur le registre comique, mais l’humour naît des situations, de l’absurde qui affleure, de la fuite d’Eyal.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par La Rédaction
Très drôle dans sa première partie, ce premier film ronronne un peu avant un beau dénouement.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Mathieu Macheret
Par ce doux cheminement du biais et de l’incidence, le film émeut et atteint une forme de poésie psychanalytique qu’on pourrait dire éminemment « transitionnelle ».
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Optant pour un traitement burlesque, le réalisateur déconcerte avec ce récit d’un couple de quinquagénaires aux prises avec les sept jours de deuil de la tradition juive.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Rire de la mort est une entreprise aussi difficile que nécessaire, et Polonsky s’acquitte de cette désacralisation du deuil avec une alacrité inégale mais revigorante quand elle fait mouche.
Télérama
par Jérémie Couston
Un film de deuil dont on ressort étrangement ragaillardi...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Christophe Carrière
L'acteur principal est formidable. Le film, finalement assez prévisible, l'est moins.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Malgré des intentions louables et un souffle de liberté, il ne se passe pas grand-chose dans ce film qui manque de rythme et d’enjeu. Les personnages sont désincarnés, impossible de compatir à leur douleur.
Bande à part
Ce récit filme avec bienveillance extrême et maturité la survie de l’individu face à l’inacceptable. Épatant et bouleversant. Un cinéaste est né.
Cahiers du Cinéma
Original et inspiré dans son aspect comique, Une semaine et un jour réussit vers la fin un basculement dramatique aussi inattendu qu’émouvant.
L'Obs
Réussir une comédie sur la vie après une mort n’est pas donné à tout le monde, Asaph Polonsky y parvient dès son coup d’essai et avec un ton bien à lui. Retenez son nom.
Le Dauphiné Libéré
Mêlant l’émotion et le saugrenu, une oraison funèbre aussi désopilante que moralement peu correcte, où l’humour apparaît bien comme l’impolitesse du désespoir.
Le Parisien
Un film pudique, tout en retenue, qui parle du deuil avec finesse.
Libération
Une comédie dépressive a ainsi toutes ses chances de devenir un film rempli d’humanité, et un personnage aussi impassible qu’irritable (le père, joué par le comique israélien Shai Avivi) de retrouver une forme acceptable de rapport au réel.
Positif
incroyable mais vrai : on sort de ce film avec le sourire.
Transfuge
(...) un premier long maîtrisé (...).
aVoir-aLire.com
Avec son scénario totalement maîtrisé et ses dialogues efficaces, Une semaine et un jour est un hymne à la vie généreusement humain.
Critikat.com
Pour apprécier Une semaine et un jour à sa juste valeur, il faudra donc épouser la puérilité cafardeuse de son personnage principal afin d’être sensible à la pure comédie régressive voilée dans une étude de couple a priori très convenue.
La Croix
Outre qu’il aborde une phase du deuil rarement évoquée par le cinéma, Une semaine et un jour se distingue par sa tonalité, entre drame et comédie. Jamais ses acteurs ne jouent sur le registre comique, mais l’humour naît des situations, de l’absurde qui affleure, de la fuite d’Eyal.
Le Figaro
Très drôle dans sa première partie, ce premier film ronronne un peu avant un beau dénouement.
Le Monde
Par ce doux cheminement du biais et de l’incidence, le film émeut et atteint une forme de poésie psychanalytique qu’on pourrait dire éminemment « transitionnelle ».
Les Fiches du Cinéma
Optant pour un traitement burlesque, le réalisateur déconcerte avec ce récit d’un couple de quinquagénaires aux prises avec les sept jours de deuil de la tradition juive.
Les Inrockuptibles
Rire de la mort est une entreprise aussi difficile que nécessaire, et Polonsky s’acquitte de cette désacralisation du deuil avec une alacrité inégale mais revigorante quand elle fait mouche.
Télérama
Un film de deuil dont on ressort étrangement ragaillardi...
L'Express
L'acteur principal est formidable. Le film, finalement assez prévisible, l'est moins.
Le Journal du Dimanche
Malgré des intentions louables et un souffle de liberté, il ne se passe pas grand-chose dans ce film qui manque de rythme et d’enjeu. Les personnages sont désincarnés, impossible de compatir à leur douleur.