Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Cette adaptation offre à François Cluzet et Nicolas Duvauchelle un joli face-à-face.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Le récit originel demeure et est bien traduit du roman de Rufin, mais reste l’impression de voir un bon téléfilm au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Certes, cela sent peutêtre un peu son académisme, voire un cinéma que certains ne manqueront pas de taxer de désuet. Et pourtant, que les esprits fins ne fassent pas trop la fine bouche : sans avoir trop l’air d’y toucher et sans se priver de jouer sur l’émotion, Jean Becker dit des choses qui ne sont pas si académiques que ça.
Le Parisien
par La Rédaction
Du cinéma efficace à l’ancienne avec des acteurs et un chien qui imposent leur griffe.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
(...) François Cluzet en impose. Mais une mise en scène moins poussiéreuse, secondée par une direction d'acteurs plus exigeante, aurait décuplé l'impact de ce réquisitoire contre l'absurdité guerrière.
Télé Loisirs
par Maryvonne Ollivry
Convaincant et bien interprété.
Voici
par La Rédaction
Adaptation classique du roman humaniste de J.-C. Rufin.
L'Express
par Christophe Carrière
Le souci de cette adaptation du roman de Jean-Christophe Rufin ne réside pas dans la fidélité (indéniable) à la trame, mais dans son efficacité.
L'Obs
par Nicolas Schaller
La campagne française, des destins malmenés par la Grande Guerre et un chien qui attend inlassablement son maître à la porte de la prison : le réalisateur des " Enfants du marais " est en terrain familier. Aussi scolaire et désuet soit-il, son film atteint sa cible.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Dommage que cette histoire à la mise en scène classique soit aussi statique. Reste l’interprétation en intériorité de François Cluzet, toujours impeccable.
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Boudet
Jamais crédible, dépourvue du moindre souffle, cette adaptation du roman de Jean- Christophe Ruffin est d’une désuétude déconcertante.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Sophie Benamon
Si les deux comédiens sont parfaits, on peut regretter que l’adaptation trop sage de Jean Becker soit desservie par une langue empreintée et alourdie par des flashbacks.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Malgré les comédiens, formidables, le face-à-face, au cœur de cette adaptation du roman de Jean-Christophe Rufin, nous laisse sur notre faim. Son intensité est diluée dans les flash-back, comme le discours sur l’horreur de la guerre, qui reste un peu convenu. Mais le chef opérateur Yves Angelo donne au film une atmosphère séduisante (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Une histoire d’amitié entre un soldat et son chien qui manque sacrément de mordant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Figaro
par La Rédaction
Jean Becker a lourdement transposé à l'écran le roman de Jean-Christophe Rufin. Fausse bonne idée.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Libération
par Luc Chessel
(...) un ennuyeux drame sentimental.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Femme Actuelle
Cette adaptation offre à François Cluzet et Nicolas Duvauchelle un joli face-à-face.
Franceinfo Culture
Le récit originel demeure et est bien traduit du roman de Rufin, mais reste l’impression de voir un bon téléfilm au cinéma.
Le Dauphiné Libéré
Certes, cela sent peutêtre un peu son académisme, voire un cinéma que certains ne manqueront pas de taxer de désuet. Et pourtant, que les esprits fins ne fassent pas trop la fine bouche : sans avoir trop l’air d’y toucher et sans se priver de jouer sur l’émotion, Jean Becker dit des choses qui ne sont pas si académiques que ça.
Le Parisien
Du cinéma efficace à l’ancienne avec des acteurs et un chien qui imposent leur griffe.
Télé 7 Jours
(...) François Cluzet en impose. Mais une mise en scène moins poussiéreuse, secondée par une direction d'acteurs plus exigeante, aurait décuplé l'impact de ce réquisitoire contre l'absurdité guerrière.
Télé Loisirs
Convaincant et bien interprété.
Voici
Adaptation classique du roman humaniste de J.-C. Rufin.
L'Express
Le souci de cette adaptation du roman de Jean-Christophe Rufin ne réside pas dans la fidélité (indéniable) à la trame, mais dans son efficacité.
L'Obs
La campagne française, des destins malmenés par la Grande Guerre et un chien qui attend inlassablement son maître à la porte de la prison : le réalisateur des " Enfants du marais " est en terrain familier. Aussi scolaire et désuet soit-il, son film atteint sa cible.
Le Journal du Dimanche
Dommage que cette histoire à la mise en scène classique soit aussi statique. Reste l’interprétation en intériorité de François Cluzet, toujours impeccable.
Les Fiches du Cinéma
Jamais crédible, dépourvue du moindre souffle, cette adaptation du roman de Jean- Christophe Ruffin est d’une désuétude déconcertante.
Première
Si les deux comédiens sont parfaits, on peut regretter que l’adaptation trop sage de Jean Becker soit desservie par une langue empreintée et alourdie par des flashbacks.
Télérama
Malgré les comédiens, formidables, le face-à-face, au cœur de cette adaptation du roman de Jean-Christophe Rufin, nous laisse sur notre faim. Son intensité est diluée dans les flash-back, comme le discours sur l’horreur de la guerre, qui reste un peu convenu. Mais le chef opérateur Yves Angelo donne au film une atmosphère séduisante (...).
aVoir-aLire.com
Une histoire d’amitié entre un soldat et son chien qui manque sacrément de mordant.
Le Figaro
Jean Becker a lourdement transposé à l'écran le roman de Jean-Christophe Rufin. Fausse bonne idée.
Libération
(...) un ennuyeux drame sentimental.