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Un visiteur
0,5
Publiée le 7 avril 2020
Jamais vu un film avec autant d'incoherence... Rien ne va dans le film. On dirait que personne ne réfléchi jamais dans le film. (spoiler: mon moment préfèré quand meme: le moment où il casse la vitre de la porte du TGV. Comme si on pouvait casser une vitre de TGV avc son coude...spoiler: ) Je ne comprend pas comment on peut avoir vu le film et mettre une note au dessus de 2/5.
Point positif : on fini par en rigoler tellement c'est absurde
Le MEILLEUR film de ma VIE spoiler: À la fin, j'ai pleure toutes les larmes de mon corps, alors que je ne suis pas une personne qui pleure facilement devant des films
"Dernier train pour Busan" est un bon film avec des Zombies. J'ai bien aimé l'histoire qui se passe tout le temps dans un train pendant que les Zombies attaquent le pays, les personnages sont pas tous géniaux, un film un peu long, certaine scènes sont surfaite et j'ai pas été fan de l'histoire avec le père et sa fille j'aurais préféré voir la vie que du père ou la fille.
Le meilleur film Sud-Coréen que j'ai vu dans ma vie ! La réalisation est vraiment parfaite spoiler: et l'histoire père-fille est vraiment touchante et émouvante.
Pour le film : jeu d'acteur pas terrible, scénario pas mieux (aucune logique dans les actions des protagonistes, à savoir, fermer les portes, les bonnes portes, passer de sombre con égoïste à courageux altruiste en 2 minutes), et des effets spéciaux qui piquent les yeux.
Comme beaucoup je n'ai pas compris son excellente note, puis j'ai comparé la syntaxe et l'orthographe des commentaires à 5 étoiles versus ceux à une étoile.
Un film apocalyptique sorti tout droit de nos amis coréens, où la critique spectateur s'évertue à dire que le film est un chef d'oeuvre. Je n'irai pas jusque là. D'abord, il présente de belles qualités à commencer par un rythme prenant et une chronologie stressante. Cette montée en puissance est plaisante, où on s'attarde malgré tout à présenter les personnages principaux, à insister sur leurs traits de caractère. Un presque huis clos dans un train, où le film tend à montrer les deux facettes contradictoires de l'homme, partagé entre son humanité et son égoïsme. On dirait une copie de Snowpiercer ! Voilà le point central, figé sur une personne qui prend conscience, qui ouvre les yeux et ce changement engendre donc ce film. Rien de plus classique puisqu'il s'inscrit dans le cadre standard du film sans en dépasser. Là, c'est donc un point négatif. Car on devine la suite, on devine qui est méchant, on devine le prochain passage, et on devine même quelle fin sera destinée à quel personnage.
Dommage, car pourtant, on est en haleine, on ne sait pas ce qu'il se passe, ni pourquoi. Comme chacun des acteurs, on fait partie de ce voyage, certes évident pour bien des passages, mais qui nous transporte et nous fait vivre cette tension pendant plus de 180 minutes. Et tout monte en haleine jusqu'au final, qui n'a rien d'extravagant ni de mauvais. Une fin, comme il aurait pu y en avoir plein d'autres.
On est donc en face d'un film loin d'être mauvais, voire surprenant et agréable par moment, mais pas foncièrement bon sur la finalité. Amateurs de zombies, foncez ! Les autres ? Laissez-vous surprendre par ce thriller divertissant sans prétention.
Les amateurs du genre ne seront pas déçus. « Dernier Train pour Busan » est un film de zombie sud-coréen d’excellente tenue qui n’a de loin rien à envier à d’autres productions hautement plus calibrées, du moins sur le papier (je pense notamment à «World War Z»). Les séquences en huis clos dans le train sont parmi les plus maîtrisées de cette réjouissante surprise. Laissez-vous tenter par le voyage...
Encore un film de zombie pourrait-on dire... Mais voila les Coreens font toujours les choses un peu differents. Certe, c'est la tram principale du film, mais le realisateur se focalise sur l'aspect psychologique humain face a une catastrophe. Le tout enveloppe dans un film intense et haletant.
A la fois une oeuvre exemplaire et un renouveau bienvenu pour le sous-genre. Dernier Train pour Busan pêche pour son introduction mais enchaîne l'excellence dans son exécution une fois les zombies embarqués. Yeon Sang-ho alterne équitablement les phases d'actions et les phases de repos sans jamais laisser le statu-quoi se maintenir, pas une seule étape ne peut se traverser sans que les personnages où les figurants ne se fassent déchiqueter par les infectés (virtuellement invincibles) ou par leurs propres terreurs. L'écriture rend à la fois consistante la simplicité du sous-texte social et la progression des mentalités dans les situations à vif, réussissant l'exploit de faire fusionner les deux. Le réalisateur déborde d'idées pour exploiter au maximum les fonctionnalités de son décors, un simple train étroit regorge de possibilités pour amplifier la tension qu'il emploi avec beaucoup d'aisances, mais sa meilleure idée sera de se servir du danger comme catalyseur pour pousser ses survivants vers le bien ou le mal, le combat pour la survie pouvant facilement passer du massacre au moment de bravoure. Je retiendrai particulièrement ce film pour avoir osé ne faire aucun compromis sur l'importance de la bonté dans la balance à l'heure où les films d'horreur préfèrent jouer la carte du cynisme. Généreux et spectaculaire.
Ce film est un bon film de zombie coréen Dans beaucoup de film on a un début lent pour monter les personnage ici on monte droit au but directement sans temps mort. spoiler: le début est la biche zombie
On peut voir aussi de grande scène spoiler: comme les scène ou les zombie s'accumule, saute du train
Si on devait parler des personnage on a sok-woo qui délaisse sa fille soo-ahn. Soo-ahn veut donc aller chez sa mere et son père va l'accompagner.spoiler: a la fin son père a été mordu et on l'entend hurler parce qu'elle veut voir son pere on voit donc un bonne évolution de personnages
J'ai bien aimer ce film regardez le si vous aimez les zombies.
Un film de zombie tout droit venu de Corée du Sud. Reprenant certains aspects de narration Hollywoodien, ce film développe tout de même des axes très intéressant concernant des aspects négatifs des pays de Asiatiques comme la pression au travail et son importance, ou encore la réussite à l'école par exemple, qui sont des véritables problèmes là bas et entraine beaucoup de suicides. L'aspect du travail se démarque principalement chez le père de la jeune fille. Celui-ci ne pense qu'au travail (car il est haut gradé, courtier en bourse), et s'en sert parfois pour se sortir de situations complexes. Il apparait donc comme un anti-héros, jugeant parfois certaines personnes en disant qu'elles n'ont pas réussies leur vie. Et cela contrairement au mari de la mariée qui bien que personnage secondaire parvient à endosser le statut de héros. Sok-woo, le père, devra donc regagner le statut de père, et aussi de héros pour sa fille tout au long du film. Cela apporte une enjeu dramatique, en plus de la menace des zombies. Ceux-ci sont d'ailleurs originaux, par leur déplacements vifs et leur caractéristiques originales, qui servent à créer conflit dans un lieu si confiné que le train. D'ailleurs, les zombies sont filmés en mouvements et de manière assez novatrice. C'est pourquoi je ressort conquis de ce film de zombie qui change la donne.
Un très bon film de zombies en huis-clos dans un train, reflétant parfaitement les valeurs de sacrifice humain et où la peur fait faire les pires choses à la plupart des gens. Le propos est renforcé par la possible source de l'épidémie, donnant une critique sociale encore plus importante. J'ai beaucoup aimé le moment où après avoir lutté pour leur survie, le petit groupe est traité de "monstres" par ceux étant isolés bien tranquillement depuis le début de l'invasion et considérant les autres comme des pestiférés. Un contraste vraiment saisissant reflétant parfaitement l'égoïsme, évoquant le racisme et l'exclusion avec finesse, le tout dans un blockbuster. En bref, ce que l'on aurait aimé voir dans un "World War Z", il a fallu pour cela aller voir du côté de la Corée du Sud et tant mieux, les frontières s'ouvrent, n'en déplaise à certains des personnages.