Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
L'Obs
par Guillaume Loison
Présenté en séance de minuit au dernier Festival de Cannes, ce film a tout du blockbuster idéal. Il est intelligent, vif et combine brio formel (les attaques groupées de zombies sont impressionnantes) et enjeux humains.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par Renaud Baronian
Réussissant un bel équilibre entre scènes ultra-spectaculaires où des hordes de zombies envahissent l'écran et des séquences de huis clos étouffantes, « Dernier Train pour Busan » ne laisse pas une seconde de répit et s'impose déjà comme un grand film de genre.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Mad Movies
par Alexandre Poncet
Pour un dixième de son budget, Yeon Sang-Ho ridiculise "World War Z".
Première
par Eric Vernay
Malgré un budget CGI limité, le film dégage une puissance folle. Hyper inventif dans la gestion de l'espace, le conte politique parvient même à émouvoir avec le parcours d'un père découvrant qu'il passe à côté de sa fille par aveuglement cupide. Une pépite.
Télé 7 Jours
par Philippe Ross
Voilà un habile mélange entre le film de zombies et le film catastrophe, renversant, dans tous les sens du terme : un rythme frénétique, un suspense haletant, des personnages attachants, une mise en scène follement inventive, et un zeste d'humour et de critique sociale.
Voici
par Lola Sciamma
Au coeur de ce thriller spectaculaire, mâtiné de critique politique, la rédemption d'un père égoïste protégeant sa fille.
20 Minutes
par Caroline Vié
C’est gore, c’est drôle et ça a fait hurler de terreur les festivaliers cannois. Allez, prenez leDernier train pour Busan, vous ne le regretterez pas !
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Que ces retrouvailles entre série B artisanale et cinéma commercial soient célébrées par un cinéaste ayant longtemps mûri son art dans l’obscurité de la scène indépendante n’est pas anodin : c’est le symbole d’une renaissance du cinéma de genre coréen après des années d’agonie.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Un zombie movie spectaculaire et humain.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Le meilleur film de morts-vivants depuis "Zombie" (1978) de Romero.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Eric Libiot
Un train lancé à grande vitesse, une horde de zombies qui attaque les passagers... Une série B flippante à souhait pour ensoleiller l'été.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Vincent Ostria
C’est à la fois humoristique (voir comment les zombies on leurre parfois les zombies), humain et haletant. Pas un instant de répit dans cette œuvre de genre rondement menée.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Septième Obsession
par Alexandre Jourdain
Remarquable alliage que ce film de zombies teinté de mélodrame social.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Dans un huis clos, dont l’espace réduit reproduit la configuration sociale, un film d’action et d’épouvante qui métaphorise l’individualisme d’un monde lancé dans la course folle du profit.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Une nouvelle pépite du septième art coréen signée Yeong Sang-ho.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Une invasion de zombies dans un TGV est une idée de scénario stimulante qui permet de renouveler le genre, et au cinéaste Yeon Sang-ho de relever un défi de taille : filmer l'action dans l'espace clos d'un wagon.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Mathieu Macheret
Yeon Sang-ho enchaîne trouvailles plastiques et ingénieuses idées de mise en scène.
Libération
par Guillaume Tion
Le Sud-Coréen Yeon Sang-ho revigore la comédie d’horreur à coup de répliques mordantes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Hyper efficace.
Paris Match
par Yannick Vely
Plus inventif que «World War Z», plus original que tous les blockbusters américains que vous avez vus cet été, «Dernier Train pour Busan» mérite bien un billet en première classe.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Un mix parfait et spectaculaire entre le film catastrophe et le film de zombies.
TF1 News
par Romain Le Vern
Quelque part entre Snowpiercer et The Walking Dead, le rollercoaster de l'été.
Transfuge
par Ilan Malka
Les bons films d'horreur deviennent des denrées rares. En voici un qui, sans rien renouveler, fait preuve d'une efficacité certaine.
Télérama
par Cécile Mury
Ici comme chez Romero, le réjouissant jeu de massacre se fait conte politique. Pas seulement parce que l'épidémie est un effet secondaire de la spéculation autour d'une industrie biochimique manifestement peu fiable. Mais aussi parce que le film démontre, à sa manière ludique et ultra violente, que la seule chance de survie passe par l'entraide.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Josué Morel
"Dernier train pour Busan" s’impose comme le film de zombies le plus vigoureux de ces dernières années.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
par François Barge-Prieur
Cette énieme variation autour du film de zombies décline les codes du genre avec humour et efficacité. Un découpage précis et un montage efficace servent cet oppressant huis clos en mouvement.
Les Inrockuptibles
par Léo Soesanto
L'action est merveilleusement lisible et la tension savamment entretenue. (...) Un film-catastrophe, saupoudré de fines pincées d'humour, où l'on parle de la jeunesse perdue.
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Sans renouveler le film de zombies, "Dernier Train pour Busan" n’en demeure pas moins un spécimen honnête. Sa manière de télescoper fantastique et considérations sociales le rapproche du cinéma de Bong Joon-ho.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Chronic'art.com
par Louis Blanchot
Généreux dans l’effort mais brouillon dans l’exécution, le réalisateur égare progressivement son récit dans un spectaculaire et un lyrisme criards, dont la dimension boulimique occasionne certes quelques stupéfiants carambolages graphiques, mais donne surtout à penser que l’intéressé a eu les yeux plus gros que le ventre (...).
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Obs
Présenté en séance de minuit au dernier Festival de Cannes, ce film a tout du blockbuster idéal. Il est intelligent, vif et combine brio formel (les attaques groupées de zombies sont impressionnantes) et enjeux humains.
Le Parisien
Réussissant un bel équilibre entre scènes ultra-spectaculaires où des hordes de zombies envahissent l'écran et des séquences de huis clos étouffantes, « Dernier Train pour Busan » ne laisse pas une seconde de répit et s'impose déjà comme un grand film de genre.
Mad Movies
Pour un dixième de son budget, Yeon Sang-Ho ridiculise "World War Z".
Première
Malgré un budget CGI limité, le film dégage une puissance folle. Hyper inventif dans la gestion de l'espace, le conte politique parvient même à émouvoir avec le parcours d'un père découvrant qu'il passe à côté de sa fille par aveuglement cupide. Une pépite.
Télé 7 Jours
Voilà un habile mélange entre le film de zombies et le film catastrophe, renversant, dans tous les sens du terme : un rythme frénétique, un suspense haletant, des personnages attachants, une mise en scène follement inventive, et un zeste d'humour et de critique sociale.
Voici
Au coeur de ce thriller spectaculaire, mâtiné de critique politique, la rédemption d'un père égoïste protégeant sa fille.
20 Minutes
C’est gore, c’est drôle et ça a fait hurler de terreur les festivaliers cannois. Allez, prenez leDernier train pour Busan, vous ne le regretterez pas !
Cahiers du Cinéma
Que ces retrouvailles entre série B artisanale et cinéma commercial soient célébrées par un cinéaste ayant longtemps mûri son art dans l’obscurité de la scène indépendante n’est pas anodin : c’est le symbole d’une renaissance du cinéma de genre coréen après des années d’agonie.
CinemaTeaser
Un zombie movie spectaculaire et humain.
Franceinfo Culture
Le meilleur film de morts-vivants depuis "Zombie" (1978) de Romero.
L'Express
Un train lancé à grande vitesse, une horde de zombies qui attaque les passagers... Une série B flippante à souhait pour ensoleiller l'été.
L'Humanité
C’est à la fois humoristique (voir comment les zombies on leurre parfois les zombies), humain et haletant. Pas un instant de répit dans cette œuvre de genre rondement menée.
La Septième Obsession
Remarquable alliage que ce film de zombies teinté de mélodrame social.
Le Dauphiné Libéré
Dans un huis clos, dont l’espace réduit reproduit la configuration sociale, un film d’action et d’épouvante qui métaphorise l’individualisme d’un monde lancé dans la course folle du profit.
Le Figaro
Une nouvelle pépite du septième art coréen signée Yeong Sang-ho.
Le Journal du Dimanche
Une invasion de zombies dans un TGV est une idée de scénario stimulante qui permet de renouveler le genre, et au cinéaste Yeon Sang-ho de relever un défi de taille : filmer l'action dans l'espace clos d'un wagon.
Le Monde
Yeon Sang-ho enchaîne trouvailles plastiques et ingénieuses idées de mise en scène.
Libération
Le Sud-Coréen Yeon Sang-ho revigore la comédie d’horreur à coup de répliques mordantes.
Ouest France
Hyper efficace.
Paris Match
Plus inventif que «World War Z», plus original que tous les blockbusters américains que vous avez vus cet été, «Dernier Train pour Busan» mérite bien un billet en première classe.
Studio Ciné Live
Un mix parfait et spectaculaire entre le film catastrophe et le film de zombies.
TF1 News
Quelque part entre Snowpiercer et The Walking Dead, le rollercoaster de l'été.
Transfuge
Les bons films d'horreur deviennent des denrées rares. En voici un qui, sans rien renouveler, fait preuve d'une efficacité certaine.
Télérama
Ici comme chez Romero, le réjouissant jeu de massacre se fait conte politique. Pas seulement parce que l'épidémie est un effet secondaire de la spéculation autour d'une industrie biochimique manifestement peu fiable. Mais aussi parce que le film démontre, à sa manière ludique et ultra violente, que la seule chance de survie passe par l'entraide.
Critikat.com
"Dernier train pour Busan" s’impose comme le film de zombies le plus vigoureux de ces dernières années.
Les Fiches du Cinéma
Cette énieme variation autour du film de zombies décline les codes du genre avec humour et efficacité. Un découpage précis et un montage efficace servent cet oppressant huis clos en mouvement.
Les Inrockuptibles
L'action est merveilleusement lisible et la tension savamment entretenue. (...) Un film-catastrophe, saupoudré de fines pincées d'humour, où l'on parle de la jeunesse perdue.
aVoir-aLire.com
Sans renouveler le film de zombies, "Dernier Train pour Busan" n’en demeure pas moins un spécimen honnête. Sa manière de télescoper fantastique et considérations sociales le rapproche du cinéma de Bong Joon-ho.
Chronic'art.com
Généreux dans l’effort mais brouillon dans l’exécution, le réalisateur égare progressivement son récit dans un spectaculaire et un lyrisme criards, dont la dimension boulimique occasionne certes quelques stupéfiants carambolages graphiques, mais donne surtout à penser que l’intéressé a eu les yeux plus gros que le ventre (...).