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25 critiques presse
Bande à part
par Olivier Bombarda
Si le combat de Mendoza mené pour dénoncer la corruption de son pays est déjà connu, il se conjugue ici de manière exceptionnelle au talent de l’actrice Jaclyn Jose. Terriblement poignant.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
Ces plans très simples sont bouleversants.
20 Minutes
par Caroline Vié
La performance pleine d’humanité de Jaclyn Jose donne heureusement du relief à ce personnage contraint d’évoluer en eaux troubles pour subsister.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Franceinfo Culture
par Jean-François Lixon
Ce film sale dans son apparence, fort et violent dans le fond, rappelle un certain cinéma indépendant new yorkais des années 70 qui ne s'embarrassait pas non plus d'esthétique et qui finissait pourtant par s'en créer une.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Le film trouve sa matière dans la rue, dans la nuit, dans la vitesse, ça court, ça gueule, ça grince, ça pleure, c’est impressionnant, et même de l’ordre du tour de force. L’intrigue et ses développements importent moins que cette matière en fusion qui, brassée sans relâche tout au long du film, produit un sentiment d’urgence et de vérité.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
Réaliste, âpre, ce film n'en est pas moins très écrit, et sa mise en scène très maîtrisée. "Ma'Rosa" est un très beau portrait de femme.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le réalisateur philippin (...) dénonce ici les dérives d’une société en proie au crime en retraçant le destin d’individus en situation précaire qui se battent au quotidien pour leur survie, presque en temps réel. C’est ce qui fait la puissance de son cinéma entre fiction et documentaire.
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
S’il ne renouvelle pas son système formel, fondé sur un style quasi-documentaire, Brillante Mendoza le maîtrise parfaitement dans ce réquisitoire social en forme de polar.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Gilles Kerdreux
On sort lessivé de tant d'injustice et de bruit. Mais content d'avoir vu du cinéma qui, pour nous, a la couleur d'une fenêtre sur le monde.
Transfuge
par Sidy Sakho
(...) Brillante Mendoza renoue ici avec le meilleur de son cinéma.
Télérama
par Samuel Douhaire
Pour raconter cette course contre la montre, le cinéaste philippin a choisi de tout filmer caméra à l'épaule, comme un documentaire sur le vif. Ses longs plans-séquences aux cadrages sans cesse mouvants et ses images à gros grain produisent une saisissante impression de réel.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
Tout compte fait, "Ma’Rosa" vaut d’abord pour quelques plans échappés de la platitude de son scénario et directement branchés sur le pourrissement de la ville.
L'Express
par Eric Libiot
Chronique d'un pays par le petit bout de la lorgnette, filmée en urgence avec une belle maestria.
La Croix
par Arnaud Schwartz
La mise en scène nerveuse de Brillante Mendoza, son travail sur les sons, la foule, donnent une identité claire à son cinéma.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Sandrine Marques
Brillante Mendoza sculpte, dans la matière argileuse de son récit, un thriller économique qui se double de nouveau d’une dénonciation de la corruption et du patriarcat.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Caméra à l’épaule, comme à son habitude, Brillante Mendoza capte la misère et la corruption de façon répétitive, avec une héroïne qui brille par son impassibilité (ce qui lui a valu à Cannes un Prix d’interprétation légèrement surdimensionné).
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
"Ma'Rosa" n’est sans doute pas le film où Brillante Mendoza se montre le plus inspiré sur le plan esthétique (...). Du moins reste-t-il fidèle à une méthode qui a fait ses preuves : fait divers à la source du récit, acteurs privés de scénarios, mélange d’amateurs et de professionnels, tournage à plusieurs caméras dans les lieux réels.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Ce film nous plonge dans le quotidien des quartiers populaires philippins. Son actrice a décroché le prix d'interprétation au dernier Festival de Cannes. C'est de la Palme-réalité.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Malgré la violence du film, sa description d'un monde impitoyable et extrêmement dur, où la vie n'a guère de valeur; il y a aussi une galerie de personnages extraordinaires (...) Pour toutes ces scènes, où la comédie parvient à s'infiltrer de la lumière, de l'humanité au cœur d'un monde extrêmement sombre, "Ma'Rosa" est un film saisissant et intense.
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Pour ceux qui ne connaissent pas déjà ce style coup de poing, c’est diablement efficace ; les autres trouveront sans doute l’affaire plus convenue.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Voici
par La Rédaction
Un drame social, dont l'aspect éprouvant est accentué par les plans filmés caméra à l'épaule.
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Mendoza filme un Manille suffocant et détrempé avec tendresse, mais pêche par une mise en scène parfois horripilante.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Fabien Reyre
Mendoza retrouve ses travers habituels : tension construite sur une surexploitation de la violence (...), personnages interchangeables et caricaturaux, et chantage émotionnel (...).
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Bienvenue aux Philippines, terre patrie, sacrément humide, de Brillante Mendoza ! Ce même Mendoza qui, il y a quelques années, nous enseignait l’art de la manchette auprès d’une bande de kidnappeurs dépeceurs. Cette année, Ma’Rosa met en scène une famille de pauvres dealers coincés par des policiers encore plus ripoux que ceux qu’on voit à la télé.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Loin de transcender le réel, Mendoza se vautre dedans. Dommage, car le cinéaste philippin parvient tout de même à saisir des blocs de vérité brutes qui donnent à voir la violence de son pays.
Bande à part
Si le combat de Mendoza mené pour dénoncer la corruption de son pays est déjà connu, il se conjugue ici de manière exceptionnelle au talent de l’actrice Jaclyn Jose. Terriblement poignant.
Positif
Ces plans très simples sont bouleversants.
20 Minutes
La performance pleine d’humanité de Jaclyn Jose donne heureusement du relief à ce personnage contraint d’évoluer en eaux troubles pour subsister.
Franceinfo Culture
Ce film sale dans son apparence, fort et violent dans le fond, rappelle un certain cinéma indépendant new yorkais des années 70 qui ne s'embarrassait pas non plus d'esthétique et qui finissait pourtant par s'en créer une.
L'Obs
Le film trouve sa matière dans la rue, dans la nuit, dans la vitesse, ça court, ça gueule, ça grince, ça pleure, c’est impressionnant, et même de l’ordre du tour de force. L’intrigue et ses développements importent moins que cette matière en fusion qui, brassée sans relâche tout au long du film, produit un sentiment d’urgence et de vérité.
Le Figaro
Réaliste, âpre, ce film n'en est pas moins très écrit, et sa mise en scène très maîtrisée. "Ma'Rosa" est un très beau portrait de femme.
Le Journal du Dimanche
Le réalisateur philippin (...) dénonce ici les dérives d’une société en proie au crime en retraçant le destin d’individus en situation précaire qui se battent au quotidien pour leur survie, presque en temps réel. C’est ce qui fait la puissance de son cinéma entre fiction et documentaire.
Les Fiches du Cinéma
S’il ne renouvelle pas son système formel, fondé sur un style quasi-documentaire, Brillante Mendoza le maîtrise parfaitement dans ce réquisitoire social en forme de polar.
Ouest France
On sort lessivé de tant d'injustice et de bruit. Mais content d'avoir vu du cinéma qui, pour nous, a la couleur d'une fenêtre sur le monde.
Transfuge
(...) Brillante Mendoza renoue ici avec le meilleur de son cinéma.
Télérama
Pour raconter cette course contre la montre, le cinéaste philippin a choisi de tout filmer caméra à l'épaule, comme un documentaire sur le vif. Ses longs plans-séquences aux cadrages sans cesse mouvants et ses images à gros grain produisent une saisissante impression de réel.
Cahiers du Cinéma
Tout compte fait, "Ma’Rosa" vaut d’abord pour quelques plans échappés de la platitude de son scénario et directement branchés sur le pourrissement de la ville.
L'Express
Chronique d'un pays par le petit bout de la lorgnette, filmée en urgence avec une belle maestria.
La Croix
La mise en scène nerveuse de Brillante Mendoza, son travail sur les sons, la foule, donnent une identité claire à son cinéma.
La Septième Obsession
Brillante Mendoza sculpte, dans la matière argileuse de son récit, un thriller économique qui se double de nouveau d’une dénonciation de la corruption et du patriarcat.
Le Dauphiné Libéré
Caméra à l’épaule, comme à son habitude, Brillante Mendoza capte la misère et la corruption de façon répétitive, avec une héroïne qui brille par son impassibilité (ce qui lui a valu à Cannes un Prix d’interprétation légèrement surdimensionné).
Le Monde
"Ma'Rosa" n’est sans doute pas le film où Brillante Mendoza se montre le plus inspiré sur le plan esthétique (...). Du moins reste-t-il fidèle à une méthode qui a fait ses preuves : fait divers à la source du récit, acteurs privés de scénarios, mélange d’amateurs et de professionnels, tournage à plusieurs caméras dans les lieux réels.
Le Parisien
Ce film nous plonge dans le quotidien des quartiers populaires philippins. Son actrice a décroché le prix d'interprétation au dernier Festival de Cannes. C'est de la Palme-réalité.
Les Inrockuptibles
Malgré la violence du film, sa description d'un monde impitoyable et extrêmement dur, où la vie n'a guère de valeur; il y a aussi une galerie de personnages extraordinaires (...) Pour toutes ces scènes, où la comédie parvient à s'infiltrer de la lumière, de l'humanité au cœur d'un monde extrêmement sombre, "Ma'Rosa" est un film saisissant et intense.
Libération
Pour ceux qui ne connaissent pas déjà ce style coup de poing, c’est diablement efficace ; les autres trouveront sans doute l’affaire plus convenue.
Voici
Un drame social, dont l'aspect éprouvant est accentué par les plans filmés caméra à l'épaule.
aVoir-aLire.com
Mendoza filme un Manille suffocant et détrempé avec tendresse, mais pêche par une mise en scène parfois horripilante.
Critikat.com
Mendoza retrouve ses travers habituels : tension construite sur une surexploitation de la violence (...), personnages interchangeables et caricaturaux, et chantage émotionnel (...).
La Voix du Nord
Bienvenue aux Philippines, terre patrie, sacrément humide, de Brillante Mendoza ! Ce même Mendoza qui, il y a quelques années, nous enseignait l’art de la manchette auprès d’une bande de kidnappeurs dépeceurs. Cette année, Ma’Rosa met en scène une famille de pauvres dealers coincés par des policiers encore plus ripoux que ceux qu’on voit à la télé.
Studio Ciné Live
Loin de transcender le réel, Mendoza se vautre dedans. Dommage, car le cinéaste philippin parvient tout de même à saisir des blocs de vérité brutes qui donnent à voir la violence de son pays.