Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
L'Obs
par Nicolas Schaller
Et ce premier long-métrage d'un cinéaste à suivre, relève-t-il de la chronique réaliste ou de l'horreur bis ? C'est de cet entre-deux mystérieux et brillamment métaphorique, que ce cousin indé new-yorkais du suédois "Morse", présenté à Un Certain Regard à Cannes, tire son identité, sombre et romantique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Malgré quelques complaisances dans l’exploitation de la violence gore, l’inscription originale et réussie du film de genre dans une réalité sociale liée à un quotidien et à un personnage parfaitement ordinaires : troublant…
Transfuge
par Damien Aubel
Une idylle touchante, quasi maternelle, qui est l'autre polarité, positive, solaire, de la psyché de Milo.
Télérama
par Jérémie Couston
Débarrassé du folklore et des effets spéciaux qui ont fait les riches heures du genre, ce remarquable premier film mise au contraire sur son prosaïsme social pour ouvrir des brèches de mystère et de mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Pierre Vedral
À la fois lugubre et mélancolique, ce premier essai est un bel objet cinématographique qui laisse une forte impression.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Axel Scoffier
Derrière son inscription rigoureuse dans une généalogie maîtrisée, le film manque de radicalité et semble se contenter d’entretenir son positionnement « amoureux » sans chercher à creuser véritablement sa place.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Xanaé Bove
Version ghettoïsée du génial Morse de Tomas Alfredson, Transfiguration mêle savamment le film naturaliste sur les ghettos américains, le drame, le film de vampires, voire même de méta vampires et creuse le terreau social avec ce background dur et âpre.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Si ce premier film aux plans soignés révèle la sensibilité de son auteur, sa mise en scène un peu plate, son rythme lent et son sujet difficile le réservent à un public très intéressé par le mal-être adolescent. Ou par les vampires.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
L’originalité du film de Michael O’Shea consiste à orienter le genre vampire vers le réalisme social et à montrer la cinéphagie au sens propre du terme, comme un métabolisme, le geste consistant à bouffer des films contaminant la réalité, degré ultime, fou et déviant de la condition de spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Jérémy Piette
Le film ne donne pas toutes les clés, et c’est aussi sa force. La goule junior se fait témoin de divers rapports de pouvoir au sein d’un monde clivé, avec ses alliances et ses violences, nous remémorant par là même que les succubes n’ont pas une unique et même forme.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Adrien Gombeaud
"Transfiguration" laisse le souvenir effiloché de séquences poétiques éparses, d'une belle photo granuleuse de Sung Rae Cho et d'une partition hantée de Margaret Chardiet.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le film semble se croire plus intelligent que le genre auquel il se réfère.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Mathieu Macheret
Michael O'Shea mêle maladroitement les codes du film d'horreur et du teen movie.
Les Fiches du Cinéma
par Amélie Leray
Découvert à Cannes en 2016, “Transfiguration” fait preuve d’une mise en scène honorable. Mais la lourdeur de son propos et la vacuité de son scénario rendent le film pénible.
L'Obs
Et ce premier long-métrage d'un cinéaste à suivre, relève-t-il de la chronique réaliste ou de l'horreur bis ? C'est de cet entre-deux mystérieux et brillamment métaphorique, que ce cousin indé new-yorkais du suédois "Morse", présenté à Un Certain Regard à Cannes, tire son identité, sombre et romantique.
Le Dauphiné Libéré
Malgré quelques complaisances dans l’exploitation de la violence gore, l’inscription originale et réussie du film de genre dans une réalité sociale liée à un quotidien et à un personnage parfaitement ordinaires : troublant…
Transfuge
Une idylle touchante, quasi maternelle, qui est l'autre polarité, positive, solaire, de la psyché de Milo.
Télérama
Débarrassé du folklore et des effets spéciaux qui ont fait les riches heures du genre, ce remarquable premier film mise au contraire sur son prosaïsme social pour ouvrir des brèches de mystère et de mélancolie.
aVoir-aLire.com
À la fois lugubre et mélancolique, ce premier essai est un bel objet cinématographique qui laisse une forte impression.
Critikat.com
Derrière son inscription rigoureuse dans une généalogie maîtrisée, le film manque de radicalité et semble se contenter d’entretenir son positionnement « amoureux » sans chercher à creuser véritablement sa place.
Culturopoing.com
Version ghettoïsée du génial Morse de Tomas Alfredson, Transfiguration mêle savamment le film naturaliste sur les ghettos américains, le drame, le film de vampires, voire même de méta vampires et creuse le terreau social avec ce background dur et âpre.
La Croix
Si ce premier film aux plans soignés révèle la sensibilité de son auteur, sa mise en scène un peu plate, son rythme lent et son sujet difficile le réservent à un public très intéressé par le mal-être adolescent. Ou par les vampires.
Les Inrockuptibles
L’originalité du film de Michael O’Shea consiste à orienter le genre vampire vers le réalisme social et à montrer la cinéphagie au sens propre du terme, comme un métabolisme, le geste consistant à bouffer des films contaminant la réalité, degré ultime, fou et déviant de la condition de spectateur.
Libération
Le film ne donne pas toutes les clés, et c’est aussi sa force. La goule junior se fait témoin de divers rapports de pouvoir au sein d’un monde clivé, avec ses alliances et ses violences, nous remémorant par là même que les succubes n’ont pas une unique et même forme.
Positif
"Transfiguration" laisse le souvenir effiloché de séquences poétiques éparses, d'une belle photo granuleuse de Sung Rae Cho et d'une partition hantée de Margaret Chardiet.
L'Humanité
Le film semble se croire plus intelligent que le genre auquel il se réfère.
Le Monde
Michael O'Shea mêle maladroitement les codes du film d'horreur et du teen movie.
Les Fiches du Cinéma
Découvert à Cannes en 2016, “Transfiguration” fait preuve d’une mise en scène honorable. Mais la lourdeur de son propos et la vacuité de son scénario rendent le film pénible.