Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Bande à part
par François-Xavier Taboni
Alternant régulièrement les scènes féminines et masculines, les réalisateurs tissent une intimité immédiate avec les protagonistes de leur film. Et, miraculeusement, se façonne devant nous, de manière évidente, une œuvre qui aborde quelques grandes questions agitant nos sociétés contemporaines.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Obs
par Jérôme Garcin
Pas de commentaires, pas d’interviews, pas d’analyse anthropologique : seulement une manière de commedia dell’arte en bord de mer où, tous milieux sociaux et générations confondus, la vie prend le soleil, se baigne, pique-nique, chante, roupille, s’ennuie, s’oublie, vieillit et ignore obstinément l’actualité – y compris la crise migratoire.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Paris Match
par Alain Spira
Souvent aussi drôle que du Dino Risi, ce documentaire parfois répétitif (il dure deux heures) est une ode maritime à une certaine vieillesse qui a conservé toute sa jeunesse. Une sorte d'utopie bien réelle, une rêverie nonchalante, pleine de bruit et de douceur...de vivre.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Jean A. Gili
Le documentaire (...) retient par sa capacité à saisir des sentiments fugaces, des allusions à peine esquissées, des gestes suspendus. Un seul défaut, mais il est de taille, deux heures d'images, dont certaines parfaitement gratuites ou trop esthétisantes, finissent par émousser l'attention et détourner de la gravité du propos.
Transfuge
par Nathalie Dassa
C'est sans doute le plus fort dans ce "film de plage", qui nous invite à réfléchir sur les vestiges d'une époque révolue, l'incongruité de cette démarcation, les identités, les comportements, les générations et surtout le temps qui passe auprès de ces retraités au crépuscule de leur vie.
Télérama
par Guillemette Odicino
Les images d'archives rappellent, par moments, la situation frontalière et cosmopolite de la ville, mais c'est en se coulant dans le rythme indolent du documentaire et en s'attachant à cette vingtaine de vieux visages anonymes (...) que se dessine l'âme de Trieste (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Un documentaire multicolore, prétexte à un regard bienveillant sur l’humanité.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Une tragicomédie sur la nature humaine. Tout ça donne lieu à une œuvre singulière qui n‘aurait sans doute pas déplu à Ferreri et Fellini.
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
En racontant le quotidien de la dernière plage d’Europe où l’on sépare encore hommes et femmes, à Trieste, les réalisateurs pointent les différences entre les genres, tout en évoquant en filigrane l’histoire de cette ville-frontière.
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Le film fait preuve d’une langueur irrésolue et appréciable, dictée par les lieux, quand elle ne menace pas de faire verser l’ensemble dans l’anecdotique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Pas mal, bien qu'un poil redondant.
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Quand cette petite « comédie-humaine-à-l’italienne » rencontre presque par accident une dimension géopolitique, elle trouve sa singularité qui rachète son faux rythme nonchalant.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Il est question du temps, celui – perdu – de la splendeur austro-hongroise, celui – actuel – de la répugnance pour un monde cosmopolite où il faut cohabiter avec des gens d’autres couleurs. Malgré la qualité de la mise en scène, la compagnie des baigneurs se fait pesante.
Bande à part
Alternant régulièrement les scènes féminines et masculines, les réalisateurs tissent une intimité immédiate avec les protagonistes de leur film. Et, miraculeusement, se façonne devant nous, de manière évidente, une œuvre qui aborde quelques grandes questions agitant nos sociétés contemporaines.
L'Obs
Pas de commentaires, pas d’interviews, pas d’analyse anthropologique : seulement une manière de commedia dell’arte en bord de mer où, tous milieux sociaux et générations confondus, la vie prend le soleil, se baigne, pique-nique, chante, roupille, s’ennuie, s’oublie, vieillit et ignore obstinément l’actualité – y compris la crise migratoire.
Paris Match
Souvent aussi drôle que du Dino Risi, ce documentaire parfois répétitif (il dure deux heures) est une ode maritime à une certaine vieillesse qui a conservé toute sa jeunesse. Une sorte d'utopie bien réelle, une rêverie nonchalante, pleine de bruit et de douceur...de vivre.
Positif
Le documentaire (...) retient par sa capacité à saisir des sentiments fugaces, des allusions à peine esquissées, des gestes suspendus. Un seul défaut, mais il est de taille, deux heures d'images, dont certaines parfaitement gratuites ou trop esthétisantes, finissent par émousser l'attention et détourner de la gravité du propos.
Transfuge
C'est sans doute le plus fort dans ce "film de plage", qui nous invite à réfléchir sur les vestiges d'une époque révolue, l'incongruité de cette démarcation, les identités, les comportements, les générations et surtout le temps qui passe auprès de ces retraités au crépuscule de leur vie.
Télérama
Les images d'archives rappellent, par moments, la situation frontalière et cosmopolite de la ville, mais c'est en se coulant dans le rythme indolent du documentaire et en s'attachant à cette vingtaine de vieux visages anonymes (...) que se dessine l'âme de Trieste (...).
aVoir-aLire.com
Un documentaire multicolore, prétexte à un regard bienveillant sur l’humanité.
La Voix du Nord
Une tragicomédie sur la nature humaine. Tout ça donne lieu à une œuvre singulière qui n‘aurait sans doute pas déplu à Ferreri et Fellini.
Les Fiches du Cinéma
En racontant le quotidien de la dernière plage d’Europe où l’on sépare encore hommes et femmes, à Trieste, les réalisateurs pointent les différences entre les genres, tout en évoquant en filigrane l’histoire de cette ville-frontière.
Libération
Le film fait preuve d’une langueur irrésolue et appréciable, dictée par les lieux, quand elle ne menace pas de faire verser l’ensemble dans l’anecdotique.
Studio Ciné Live
Pas mal, bien qu'un poil redondant.
Cahiers du Cinéma
Quand cette petite « comédie-humaine-à-l’italienne » rencontre presque par accident une dimension géopolitique, elle trouve sa singularité qui rachète son faux rythme nonchalant.
Le Monde
Il est question du temps, celui – perdu – de la splendeur austro-hongroise, celui – actuel – de la répugnance pour un monde cosmopolite où il faut cohabiter avec des gens d’autres couleurs. Malgré la qualité de la mise en scène, la compagnie des baigneurs se fait pesante.