Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
GQ
par Toma Clarac
Auréolé d'un beau prix Un Certain Regard à Cannes, "Olli Mäki" est un petit sommet de film de boxe en noir et blanc. Le premier depuis "Raging Bull" ?
La critique complète est disponible sur le site GQ
Bande à part
par Isabelle Danel
Loin des biopics tonitruants, cette évocation sans drame d’un (plus si) jeune homme à la croisée des chemins entre la gloire nationale et internationale et le bonheur cosy d’une vie maritale emporte l’adhésion à force de drôlerie, de chaleur et d’humanité.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Kuosmanen fait valoir une espèce de force apaisante qui garantit à ses personnages une puissance inaliénable et magique. La pureté de son geste (…) est sans doute pour beaucoup dans le mélange désarmant de charme et de douceur qui accompagne cet éloge tranquille des vertus de l’inaliénation.
L'Express
par Eric Libiot
Le noir et blanc est granuleux à souhait, le comédien, Jarkko Lahti, étonnant, le film se balade entre les gouttes d'un suspense éventé très tôt.
L'Humanité
par Dominique Widemann
Un premier long métrage très réussi nous vient de Finlande sous la forme d’un film de boxe romantique. Il s’inspire d’une histoire vraie.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
En noir et blanc, un film tout de justesse et de tendresse, qui oppose à la loi de la compétition la liberté toute simple du sentiment.
Le Monde
par Noémie Luciani
Le superbe noir et blanc en pellicule 16 mm de Juho Kuosmanen s’empare avec une sensibilité et une douceur inouïes de cet héroïsme discret, faisant de cet hymne à la joie de vivre insoucieux des lauriers un merveilleux moment de ce rare cinéma capable de nourrir l’âme autant qu’il l’apaise.
Le Parisien
par Tanneguy De Kerpoisson
Un conte moderne qui apprend à choisir entre les caresses et les coups de poing.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Mathias Averty
Avec la précision d'un boxeur sur le ring, Juho Kuosmanen fait virevoleter sa caméra monochrome autour de son personnage et traduit sans peine son irrésistible besoin de liberté - d'amour aussi -, à travers une mise en scène adroite et bourrée d'idée.
Transfuge
par Frédéric Mercier
C'est l'anti "Raging Bull" par excellence. Un film qui caresse au lieu de chercher à vous mettre KO.
LCI
par Romain Le Vern
Faites l’amour, pas la boxe. Film en mode mineur mais humble et touchant.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Le récit progresse au rythme flegmatique de son héros. La superbe image en noir et blanc et en 16 mm fait renaître les années 1960 sans effet appuyé. Si Jarkko Lahti a une décennie de trop pour incarner Olli Mäki à cette époque, il rend compte avec subtilité de l’état d’esprit de ce boxeur qui refusait de mettre KO ses adversaires.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Jolie comédie mélancolique tournée en noir et blanc, comme à l’époque de la nouvelle vague tchèque.
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Du moment de sueur, d’entraînement et de concentration extrême que constitua le combat pour le titre mondial de boxe poids plumes en 1962 du boxeur finlandais Olli Mäki, le réalisateur donne une subtile lecture existentielle.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Loin d'être figé dans le chromo, le film est aussi vif que mélancolique, mis en chair par des acteurs superbes, en phase avec le sujet : l'histoire d'un type qui choisit de vivre selon son désir plutôt que de se plier aux fantasmes d'autrui, qu'ils soient financiers, nationalistes ou star-systémiques.
Positif
par Fabien Baumann
Malgré le noir et blanc, malgré la boxe, "Olli Mäki" ne verse jamais dans aucune poésie. Il est pourtant une scène exceptionnelle, par sa vitesse et sa cruauté - et c'est le combat. Kuosmanen touche alors, en quelques plans stupéfiés, un sentiment rare : le ravissement de décevoir, le contentement de l'échec.
Télérama
par Pierre Murat
Les silhouettes sont truculentes, la photo en noir et blanc, superbe, et l'ambiance rétro est habilement — un rien trop — reconstituée : on se croirait dans un film du Milos Forman des débuts ("Les Amours d'une blonde"), mais sans Forman, son humour, sa verve. De la belle image, mais pas du très bon cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Sur le ton d’une chronique intimiste et sportive, ce biopic décalé est une critique féroce du culte de la compétition et du dépassement de soi.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
On attendait une success story édifiante, avec des valeurs comme le dépassement de soi, on se retrouve avec un récit plombé par les longueurs, sans émotion ni relief. Reste le choix esthétisant du noir et blanc.
Libération
par Luc Chessel
"Olli Mäki" se contredit par une esthétique trop soignée.
La critique complète est disponible sur le site Libération
GQ
Auréolé d'un beau prix Un Certain Regard à Cannes, "Olli Mäki" est un petit sommet de film de boxe en noir et blanc. Le premier depuis "Raging Bull" ?
Bande à part
Loin des biopics tonitruants, cette évocation sans drame d’un (plus si) jeune homme à la croisée des chemins entre la gloire nationale et internationale et le bonheur cosy d’une vie maritale emporte l’adhésion à force de drôlerie, de chaleur et d’humanité.
Cahiers du Cinéma
Kuosmanen fait valoir une espèce de force apaisante qui garantit à ses personnages une puissance inaliénable et magique. La pureté de son geste (…) est sans doute pour beaucoup dans le mélange désarmant de charme et de douceur qui accompagne cet éloge tranquille des vertus de l’inaliénation.
L'Express
Le noir et blanc est granuleux à souhait, le comédien, Jarkko Lahti, étonnant, le film se balade entre les gouttes d'un suspense éventé très tôt.
L'Humanité
Un premier long métrage très réussi nous vient de Finlande sous la forme d’un film de boxe romantique. Il s’inspire d’une histoire vraie.
Le Dauphiné Libéré
En noir et blanc, un film tout de justesse et de tendresse, qui oppose à la loi de la compétition la liberté toute simple du sentiment.
Le Monde
Le superbe noir et blanc en pellicule 16 mm de Juho Kuosmanen s’empare avec une sensibilité et une douceur inouïes de cet héroïsme discret, faisant de cet hymne à la joie de vivre insoucieux des lauriers un merveilleux moment de ce rare cinéma capable de nourrir l’âme autant qu’il l’apaise.
Le Parisien
Un conte moderne qui apprend à choisir entre les caresses et les coups de poing.
Première
Avec la précision d'un boxeur sur le ring, Juho Kuosmanen fait virevoleter sa caméra monochrome autour de son personnage et traduit sans peine son irrésistible besoin de liberté - d'amour aussi -, à travers une mise en scène adroite et bourrée d'idée.
Transfuge
C'est l'anti "Raging Bull" par excellence. Un film qui caresse au lieu de chercher à vous mettre KO.
LCI
Faites l’amour, pas la boxe. Film en mode mineur mais humble et touchant.
La Croix
Le récit progresse au rythme flegmatique de son héros. La superbe image en noir et blanc et en 16 mm fait renaître les années 1960 sans effet appuyé. Si Jarkko Lahti a une décennie de trop pour incarner Olli Mäki à cette époque, il rend compte avec subtilité de l’état d’esprit de ce boxeur qui refusait de mettre KO ses adversaires.
La Voix du Nord
Jolie comédie mélancolique tournée en noir et blanc, comme à l’époque de la nouvelle vague tchèque.
Les Fiches du Cinéma
Du moment de sueur, d’entraînement et de concentration extrême que constitua le combat pour le titre mondial de boxe poids plumes en 1962 du boxeur finlandais Olli Mäki, le réalisateur donne une subtile lecture existentielle.
Les Inrockuptibles
Loin d'être figé dans le chromo, le film est aussi vif que mélancolique, mis en chair par des acteurs superbes, en phase avec le sujet : l'histoire d'un type qui choisit de vivre selon son désir plutôt que de se plier aux fantasmes d'autrui, qu'ils soient financiers, nationalistes ou star-systémiques.
Positif
Malgré le noir et blanc, malgré la boxe, "Olli Mäki" ne verse jamais dans aucune poésie. Il est pourtant une scène exceptionnelle, par sa vitesse et sa cruauté - et c'est le combat. Kuosmanen touche alors, en quelques plans stupéfiés, un sentiment rare : le ravissement de décevoir, le contentement de l'échec.
Télérama
Les silhouettes sont truculentes, la photo en noir et blanc, superbe, et l'ambiance rétro est habilement — un rien trop — reconstituée : on se croirait dans un film du Milos Forman des débuts ("Les Amours d'une blonde"), mais sans Forman, son humour, sa verve. De la belle image, mais pas du très bon cinéma.
aVoir-aLire.com
Sur le ton d’une chronique intimiste et sportive, ce biopic décalé est une critique féroce du culte de la compétition et du dépassement de soi.
Le Journal du Dimanche
On attendait une success story édifiante, avec des valeurs comme le dépassement de soi, on se retrouve avec un récit plombé par les longueurs, sans émotion ni relief. Reste le choix esthétisant du noir et blanc.
Libération
"Olli Mäki" se contredit par une esthétique trop soignée.