Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Critikat.com
par Maël Mubalegh
C'est à une (...) oscillation entre syncope et discrétion du montage que "Personal Affairs" doit sa vivacité pénétrante : chaque saynète se trouve reliée aux autres par un principe de collision et de correspondance qui anime le microcosme éclaté du récit, réunissant les corps avant de les séparer.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Marie Soyeux
Ce film – malgré quelques faiblesses – réussit la gageure d’être à la fois pas du tout et totalement politique. Ce n’est pas rien, surtout pour un premier.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Avec une kyrielle de petites histoires, Maha Haj compose un film ironique et charmeur plutôt que militant, une comédie stylée semée d’instants burlesques bien que tragiques.
Libération
par Marcos Uzal
Difficile, vu d’ici, de juger du degré de réalisme ou de la pertinence de cette douceur, mais on constate que le film contourne élégamment les clichés en nous donnant à voir Ramallah comme nous ne l’avions jamais vu.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Obs
par François Forestier
C’est léger et charmant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Sandrine Marques
Saisissant le prétexte d’un film choral pour embrasser une situation politique complexe, l’Israélienne Maha Haj travaille la notion de frontière en profondeur.
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Pour son premier film, Maha Hak signe un film choral mélancolique qui analyse les tensions et frustrations d’une famille palestinienne.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Filmé en plans fixes, de manière très cadrées, pince-sans-rire et burlesque, "Personal Affairs" rappelle parfois le formalisme du cinéma d'Elia Suleiman. Même si l'on se trouve moins du côté de Buster Keaton que de celui de Billy Wilder. Le film est admirablement composé, rythmé, maîtrisé.
Transfuge
par Ilan Malka
Malgré ses faiblesses de rythme, ce coup d'essai a de belles qualités. La plus belle est sa façon de jouer avec l'inabouti.
Télérama
par Pierre-Julien Marest
Ce film choral, cette comédie légère évoque le thème des frontières, géographiques et psychologiques. C'est un pari risqué que de rendre passionnante l'apathie généralisée. Maha Haj ne démérite pas et signe une suite de portraits touchants et délicats.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Thomas Sotinel
La réalisatrice, Palestinienne d’Israël, impose à ces vies ordinaires une contrainte : le conflit israélo-palestinien qui aiguise la sensation d’étrangeté en leur propre pays que ressentent les personnages. Elle fait avec un esprit de système trop développé pour que son film ne s’en ressente pas.
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Ce portrait d'une famille palestinienne sous tension souffre de séquences trop anecdotiques pour convaincre. Sauf à la fin, où des scènes surréalistes et poétiques viennent réveiller l'ensemble.
Critikat.com
C'est à une (...) oscillation entre syncope et discrétion du montage que "Personal Affairs" doit sa vivacité pénétrante : chaque saynète se trouve reliée aux autres par un principe de collision et de correspondance qui anime le microcosme éclaté du récit, réunissant les corps avant de les séparer.
La Croix
Ce film – malgré quelques faiblesses – réussit la gageure d’être à la fois pas du tout et totalement politique. Ce n’est pas rien, surtout pour un premier.
Le Journal du Dimanche
Avec une kyrielle de petites histoires, Maha Haj compose un film ironique et charmeur plutôt que militant, une comédie stylée semée d’instants burlesques bien que tragiques.
Libération
Difficile, vu d’ici, de juger du degré de réalisme ou de la pertinence de cette douceur, mais on constate que le film contourne élégamment les clichés en nous donnant à voir Ramallah comme nous ne l’avions jamais vu.
L'Obs
C’est léger et charmant.
La Septième Obsession
Saisissant le prétexte d’un film choral pour embrasser une situation politique complexe, l’Israélienne Maha Haj travaille la notion de frontière en profondeur.
Les Fiches du Cinéma
Pour son premier film, Maha Hak signe un film choral mélancolique qui analyse les tensions et frustrations d’une famille palestinienne.
Les Inrockuptibles
Filmé en plans fixes, de manière très cadrées, pince-sans-rire et burlesque, "Personal Affairs" rappelle parfois le formalisme du cinéma d'Elia Suleiman. Même si l'on se trouve moins du côté de Buster Keaton que de celui de Billy Wilder. Le film est admirablement composé, rythmé, maîtrisé.
Transfuge
Malgré ses faiblesses de rythme, ce coup d'essai a de belles qualités. La plus belle est sa façon de jouer avec l'inabouti.
Télérama
Ce film choral, cette comédie légère évoque le thème des frontières, géographiques et psychologiques. C'est un pari risqué que de rendre passionnante l'apathie généralisée. Maha Haj ne démérite pas et signe une suite de portraits touchants et délicats.
Le Monde
La réalisatrice, Palestinienne d’Israël, impose à ces vies ordinaires une contrainte : le conflit israélo-palestinien qui aiguise la sensation d’étrangeté en leur propre pays que ressentent les personnages. Elle fait avec un esprit de système trop développé pour que son film ne s’en ressente pas.
Studio Ciné Live
Ce portrait d'une famille palestinienne sous tension souffre de séquences trop anecdotiques pour convaincre. Sauf à la fin, où des scènes surréalistes et poétiques viennent réveiller l'ensemble.