Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
L'Obs
par François Forestier
Le message politique est simple : liberté pour les femmes. La réalisation, elle, est directe : dialogues importants, images de la ville noyée dans le brouillard, dramatisation en douceur. Le visage de l'actrice principale, Sahar Dolatshahi, possède une force d'émotion rare : il suffit de la voir, tout le film est déjà là.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
Niloufar dirige un atelier de confection à Téhéran jusqu'à ce que ses enfants la poussent à aller vivre à la campagne. Un beau portait de femme et le récit d'une révolte tout en finesse.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Le film séduit par son écriture très fine, précise, et par la qualité de ses acteurs. Puissante, émouvante (et sublime), Sahar Dowlatshahi s’inscrit dans le sillage des actrices magnifiques révélées par le cinéma iranien.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Ariane Allard
Un beau portrait de femme.
Télérama
par Frédéric Strauss
Un discours efficace et fort, porté par la délicatesse des portraits de Niloofar et de sa jeune nièce, qui se fait son alliée. Espoir d'une génération nouvelle, d'une (r)évolution à venir...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Toute la sobriété du cinéma iranien pour toucher au plus près les frustrations et les rancœurs qui rongent. De beaux personnages de vie et de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Lumineuse, l’actrice Sahar Dowlatshahi compose une femme attachante et drôle, qui joue son va-tout mais déconcerte au final en semblant pouvoir s’accommoder de tout.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Thomas Aïdan et Séverine Danflous
Le film charrie une énergie significative et pleine d’intensité.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un beau portrait de femme, cherchant à s’émanciper de ces deux contraintes que sont le pouvoir familial et le droit d’aînesse.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Ce portrait de la société iranienne, présenté à Cannes en 2016 dans la section Un certain regard, s’appuie sur un propos moderne et une héroïne attachante entourée de comédiens impeccables. Il a aussi le bon goût de ne pas tomber dans le misérabilisme. Son classicisme formel peut lui donner un air de déjà-vu.
Les Fiches du Cinéma
par Corentin Lê
À travers un sujet universel - le portrait d’une femme opprimée -, le film dévoile, via ses procédés d’écriture, une incommunicabilité contemporaine.
Paris Match
par Yannick Vely
Si la "mécanique" du scénario n'est pas d'une folle originalité avec des seconds rôles très "marqués" - la soeur manipulatrice, le frère endetté et violent, la nièce gentille et attendrissante -, "Un Vent de liberté" apporte une réponse féministe au dilemme moral.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Christophe Narbonne
Comme dans un drame de Farhadi, donc, chacun a ses raisons et elles sont toutes valables aux yeux de la morale - à géométrie variable. La caméra de Behzadi est cependant plus insistante que celle de son illustre compatriote. Joli film néanmoins.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Thomas Choury
Là où il aurait pu faire résonner les différents liens qui unissent les membres de la famille de manière dense et complexe, Un vent de liberté se contente d’un constat faible d’une société hypocrite et encore conservatrice dans les esprits.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
Le message politique est simple : liberté pour les femmes. La réalisation, elle, est directe : dialogues importants, images de la ville noyée dans le brouillard, dramatisation en douceur. Le visage de l'actrice principale, Sahar Dolatshahi, possède une force d'émotion rare : il suffit de la voir, tout le film est déjà là.
Le Figaro
Niloufar dirige un atelier de confection à Téhéran jusqu'à ce que ses enfants la poussent à aller vivre à la campagne. Un beau portait de femme et le récit d'une révolte tout en finesse.
Les Inrockuptibles
Le film séduit par son écriture très fine, précise, et par la qualité de ses acteurs. Puissante, émouvante (et sublime), Sahar Dowlatshahi s’inscrit dans le sillage des actrices magnifiques révélées par le cinéma iranien.
Positif
Un beau portrait de femme.
Télérama
Un discours efficace et fort, porté par la délicatesse des portraits de Niloofar et de sa jeune nièce, qui se fait son alliée. Espoir d'une génération nouvelle, d'une (r)évolution à venir...
aVoir-aLire.com
Toute la sobriété du cinéma iranien pour toucher au plus près les frustrations et les rancœurs qui rongent. De beaux personnages de vie et de cinéma.
La Croix
Lumineuse, l’actrice Sahar Dowlatshahi compose une femme attachante et drôle, qui joue son va-tout mais déconcerte au final en semblant pouvoir s’accommoder de tout.
La Septième Obsession
Le film charrie une énergie significative et pleine d’intensité.
Le Dauphiné Libéré
Un beau portrait de femme, cherchant à s’émanciper de ces deux contraintes que sont le pouvoir familial et le droit d’aînesse.
Le Journal du Dimanche
Ce portrait de la société iranienne, présenté à Cannes en 2016 dans la section Un certain regard, s’appuie sur un propos moderne et une héroïne attachante entourée de comédiens impeccables. Il a aussi le bon goût de ne pas tomber dans le misérabilisme. Son classicisme formel peut lui donner un air de déjà-vu.
Les Fiches du Cinéma
À travers un sujet universel - le portrait d’une femme opprimée -, le film dévoile, via ses procédés d’écriture, une incommunicabilité contemporaine.
Paris Match
Si la "mécanique" du scénario n'est pas d'une folle originalité avec des seconds rôles très "marqués" - la soeur manipulatrice, le frère endetté et violent, la nièce gentille et attendrissante -, "Un Vent de liberté" apporte une réponse féministe au dilemme moral.
Première
Comme dans un drame de Farhadi, donc, chacun a ses raisons et elles sont toutes valables aux yeux de la morale - à géométrie variable. La caméra de Behzadi est cependant plus insistante que celle de son illustre compatriote. Joli film néanmoins.
Critikat.com
Là où il aurait pu faire résonner les différents liens qui unissent les membres de la famille de manière dense et complexe, Un vent de liberté se contente d’un constat faible d’une société hypocrite et encore conservatrice dans les esprits.