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John Connor
13 critiques
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2,5
Publiée le 20 août 2023
2 notes a mettre selon moi: 5 etoiles et 0 pour "fausse allusion", total 2;5 etoiles pour moi.
5 etoiles car film reussi selon moi. Neanmoins, certaine scene du le film fait allusion a la religion Chretienne et donne un mauvais message a mes yeux. Le Dieu de Jesus est notre Dieu, notre Pere et Il n a aucune similitude avec le createur "mechant" du film. Je le dis car il me parait important de le signaler et de "mettre en garde" face cet "tromperie".
Un film vraiment incroyable. J'avais déjà adoré le 1er, mais j'avais été très déçu du 2éme que je trouvais vraiment mauvais. Quel plaisir de voir ce qu'ils ont fait avec le 3éme opus!
Malgré quelques longueurs, le film conclut (?) d'une bien belle ma l'été cette trilogie. La bande son est une fois de plus magistrate, quoique un peu trop présente par moment. Cela reste malgré tout un des meilleurs Marvel depuis la saga Thanos. Si je dois trouver un défaut, c'est le méchant du film qui est caricatural, sans charisme et mal interprété. Pour le reste, le casting assure parfaitement.
« Pas besoin de sermon d’un taré impuissant en manque d’amour maternel qui justifie sa conquête de l’Univers. »
Un scénario haché et lacunaire en explications et résumés des épisodes antérieurs, un visuel trop sombre malgré les fulgurances esthétiques des effets spéciaux, une interprétation banale voire exécrable lorsque paraît Sylvester Stallone à peine capable d’aligner deux syllabes à la suite, ce troisième volet tant attendu des Gardiens de la Galaxie démarre en mode wtf.
Peu à peu, on comprend néanmoins que la quête sera cette fois le sauvetage de Rocket, avec des flash-back sur la genèse du personnage et c’est sans conteste la partie (courte) la plus intéressante de l’ensemble qui, lui, est creux, rarement drôle, bourré d’effets spéciaux dans d’interminables scènes inutiles de combat pour combler le vide.
Ajoutons une avalanche de références jusqu’au plagiat et des événements prévisibles et on se demandera pourquoi ce film a reçu tant d’éloges de la critique.
Ce troisième et dernier volet des Gardiens de la Galaxie n’est qu’un film Marvel de plus, sans âme, dans une série qui s’enlise inexorablement depuis Black Widow.
Je suis un bon client des super héros (The boys). Je suis, comme d'habitude, conquis par la narration, à la fois complexe et drôle. La réa est presque parfaite :-) Cet épisode est consacré à un "Créateur de l'évolution" et "Rocket". Le rôle de David Bautista est toujours aussi bon. (je suis fan de cet acteur) Pratt, Saldana, Iwuji, Gillan, ... ils sont tous excellents dans leurs rôles. On sent un peu trop la CGI comme par le passé. personne n'est parfait. A l'arrache pour sortir le film dans les temps. J'ai passé un très bon moment 8/10
Ces derniers temps, j'ai été déçu par la baisse de qualité chez les productions du MCU. J'attendais chaque film avec impatience jusqu'à peu et mon intérêt pour ces films a grandement baissé. Depuis la fin de la phase 3, on nous a habitué à si inintéressant qu'un film moyen nous paraît sortir du lot.
Pour cela, j'en attendais beaucoup de ce dernier épisode des gardiens de la galaxie, peu être même trop. Étant fan de ce qu'a fait jusqu'a là James Gunn avec cette équipage, j'espérais que ce film redorerait le blason Marvel et qu'il puisse offrir une fin digne de ce nom à nos marginaux préférés.
À l'époque, j'avais été conquis par ces personnages hauts en couleur et totalement déjantés. James Gunn a le don de nous faire apprécier une équipe de "freaks" et de créer une réelle alchimie au sein d'un groupe. Chaque personnage a la place pour s'exprimer et on ne peut de ce fait que s'émouvoir devant la fin de cette équipe qu'on a tant chérie.
Cependant, je n'ai pas été aussi emballé que je l'espérais. Sans doute j'en attendais trop de ce dernier film. J'ai trouvé qu'il y avait quelques longueurs. Je ne suis pas autant entré dans l'histoire que je l'aurais voulu. Certes, les origines de Rocket sont tristes et touchantes mais je m'attendais à encore plus bouleversant dans sa mise en scène. Il reste quand même dans ces scènes de flashback un amour sincère pour les marginaux qui ne peut pas laisser insensible. Et ça fait du bien de voir traiter sur grand écran la thématique de la maltraitance animale en fond.
Pour le reste de l'aventure, on reste toujours resserré sur la petite équipe, puisqu'il n'est point question de sauver une ville, un pays ou une planète, mais juste de sauver un membre de l'équipage, un ami. C'est agréable à ce titre de pouvoir suivre la fin de cette saga sans avoir vu les récents films Marvel. Ce dernier opus se suffit à lui-même avec les deux autres films de James Gunn. (Spoiler : Les événements s'enchaînent pour secourir Rocket sans grande surprise, mais on suit cela avec plaisir.)
Les scènes d'action sont bien chorégraphiées et les effets spéciaux sont plutôt convaincants. Petit bémol pour moi au niveau du choix de musique. J'étais fan des musiques 70's des deux premiers films qui apportaient une ambiance si réussie. Là on touche à d'autres décennies et à des musiques plus récentes, qui collent bien au message pour une partie mais qui collent moins à l'ambiance. Aussi, au niveau de l'humour, même si certaines séquences valent le détour, j'ai été moins conquis que par le passé. Peut-être que la dynamique entre les personnages ne se renouvelle pas trop et que certains gags étaient plus attendus pour ma part.
Il en reste un film sympathique, avec une belle fin pour cette équipage qui nous aura tant touché et fait rire. Mais un film pas aussi emblématique que j'aurais espéré.
Bon effets spéciaux en général, toujours bonne bande-son et l'action/humour est bien présent. Quant au scénario, ils l'ont sûrement oublié dans un coin de la galaxie parce que franchement, ils sont à cours d'idées. Certe, je suis content d'en apprendre plus sur Rocket, mais l'histoire ne vole pas hyper haut. Will Poulter est complétement inutile et joue mal, cependant, j'ai beaucoup aimé le jeu d'acteur du grand méchant (c'est lui qu'ils auraient dû utiliser à la place du médiocre Jonathan Majors). Un film divertissant mais que je ne garderai pas en mémoire.
Scénario décevant après 1h30 ça commence à être mieux et plus fun, c'est bien Disney qui s'en empare et qui en fait un film pour un public d'adolescents.
Si l'objectif était de faire un film de plus pour dire d'en faire un de plus, c'est réussi.
Ce film n'a aucun intérêt... Et dire que j'ai lu que c'était l'un des meilleurs Marvel depuis très longtemps ! EXPLDR :D
Vous retirez tous les dialogues inutiles, il ne reste plus grand chose du script. L'humour de bac à sable, le "parler pour ne rien dire", etc. Vous retirez toutes les scènes sans intérêts, il ne reste plus grand chose non plus. Ce film dure 2h30. Facilement réduit à 30 minutes. Sans oublier les rôles complètements caricaturés, qui pour moi, gâchent complètement l'univers des Gardiens, mais aussi et surtout de Marvel.
Le scénario n'a franchement pas grand intérêt ! Et pondre un film de 2h30 rien que pour ça, franchement, c'est long ! Trop long. Beaucoup trop long !!!
Bref, Disney continue, à mes yeux, la dégringolade vers le nullissime.
tellement longtemps que j'attends un film MCU potable (a peu près le premier Avenger) et on a enfin un film pas tournée sur les enfant avec même du sang ! chose inédite depuis que Disney a repris le mcu . j'ai beaucoup aimé ce film
J'attendais avec impatience la suite des aventures des gardiens, et j'ai été déçu.
Je trouve que les personnages sont devenus ridicules au possible, à la limite d'une caricature d'eux-mêmes. Adam Warlock est ridicule et Ayesha est à la limite de la figuration. Je n'ai toujours pas compris leur utilité dans le film.
L'histoire n'a aucun intérêt pour moi, je n'ai que faire de l'histoire des origines de Rocket, c'est un personnage qui m'indiffère au plus haut point.
Au final, un histoire facilement oubliable, qui ne m'a apporté aucune émotion et qui est beaucoup trop longue.
Les gardiens de la galaxie vol.3 fait partie de ces rares trilogies réussie (au même titre que retour vers le futur). Les Gardiens sont un peu l’équivalent au cinéma de ce qu’était la bande de potes de « Friends », on connait la personnalité de chaque personnage et retrouver les mimiques de nos héros est un plaisir indéniable (mention particulière pour le duo formé par Drax et Mantis à hurler de rire). L’action et surtout l’humour sont toujours au rendez-vous, auquel il faut ajouter une galerie de monstres tout droit sorti d’un bestiaire de Star Wars ou d’un jeu vidéo. Cette trilogie est vraiment à part dans l’univers Marvel, souvent trop formaté et il est sûr que le réalisateur, James Gunn, manquera à Marvel autant que ces personnages, nous manquerons, car on quitte les gardiens de la galaxie, dont ce serait le dernier volume, avec déjà de la nostalgie.
Ce troisième opus des Gardiens de la Galaxie (et dernier pour l'équipe telle qu'on la connaît), est une conclusion honnête, bien plus qualitative que de nombreux récents Marvel, et qui ravira tout fan de la première heure qui vient simplement serrer les mains de ses héros favoris une dernière fois. Pour les autres, on apprécie l'aspect plus sombre du scénario, qui mêle expériences cruelles sur les animaux (oui, on a pleuré, inutile de nier), enfants parqués et maltraités, eugénisme et génocides... Les scénario ose mettre les pieds dans le plat, sans détourner le regard, ce qui nous a plutôt surpris (dans le bon sens) pour une production Disney. En revanche, on atteint le point de non-retour sur la playlist musicale : elle est infernale. On ne compte pas le nombre de morceaux entamés, sans raison apparente (ne colle pas au rythme de la scène, ne dit rien de particulier des émotions ou de la tension du moment), et qui s'arrête net quelques dizaines de secondes plus tard (tronqué à 10%). Ce qui était une composante fun de la saga est devenu un jouet pouet-pouet que le réalisateur nous agite sous le nez pour nous rappeler qu'on est dans Les Gardiens, et qui nous barbe très vite (une sorte de Baby Driver sans la finesse du découpage sonore). De même que l'humour toujours un peu gamin de cette écurie, sans toutefois qu'on n'en ait eu une rasade interminable (on pense à un certain Thor 4...), et avec ponctuellement des gags qui nous ont eu (Nebula qui essaie d'ouvrir une portière de voiture). Côté aventures, on dira simplement que le scénario est assez hasardeux (on ne saisit pas toujours très bien les déductions "il faut aller à tel endroit" / "trouver tel code"), trop long (la dernière heure se fait sentir, malgré la belle bataille en plan-séquence qui nous réveille en sursaut), et avec beaucoup d'origin-story sur Rocket qui se concrétise par des flashbacks constants assez pénibles (entrecoupent le récit à l'improviste avec une nonchalance étonnante). Trop long, trop boulimique en musiques, avec des flashbacks lourdingues, mais avec un humour plus supportable, une bonne dose de noirceur qui remet un peu de maturité dans une écurie qui en a grandement besoin, et une Nebula qui nous a fait sourire. Et pour les scènes post-générique, la première vous donne un aperçu des potentielles nouvelles aventures des Gardiens (est-ce qu'on a hâte ? Pas vraiment.), et la seconde scène est un simple gag (pour ceux qui ne l'ont pas : le titre du journal, c'est l'épisode de Noël des Gardiens qui est sorti sur Disney+ l'année dernière). Maintenant, vous savez tout, vous pouvez embarquer pour ce dernier "ride" : bon voyage...
Les Gardiens de la Galaxie, héros les plus punk et déjantés de la franchise, cultivent depuis la sortie de leur premier film en 2014 un jardin bien à eux, mélange habile d'humour et d'action survoltée. Au programme : des répliques toujours désopilantes mais aussi une violence inédite à la saga, qui tranche avec l'émotion d'une séparation annoncée. Comme dans les deux précédents volets, la grande force des Gardiens de la Galaxie 3 réside avant tout dans l'alchimie entre ses principaux héros. Le "clan des sept" (et même un peu plus si on intègre des personnages secondaires) n'a rien perdu de pouvoir comique, de son sens de la répartie et de ses citations cinglantes qui font mouche. On aime les voir se chamailler, se chambrer, s'entraider et aussi se complimenter, à leur façon. Chris Pratt reprend avec un plaisir communicatif ce rôle qu'il semble affectionner tout particulièrement