Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Camille Bui
Ici, nulle prise de pouvoir par le regard, mais plutôt un trouble réciproque. Si fascination il y a, elle va à notre part de folie individuelle et collective, cette altérité à nous-mêmes à laquelle nous renvoie inévitablement celui que nous déclarons fou.
Critikat.com
par Adrien Mitterrand
Tenter de réellement considérer le rapport au monde d’un « fou » sans se limiter à une observation scientifique, sans le pointer du doigt, ni se complaire dans l’amusement de l’exercice, est en soi un projet extrêmement ambitieux. Et c’est parce qu’il y parvient que Joris Lachaise signe un film remarquable
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Joris Lachaise est un témoin qui se tient à distance et demeure silencieux, et c’est passionnant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
A Dakar, entre malades, guérisseurs traditionnels, et hôpital psychiatrique “à l'occidentale”, Joris Lachaise interroge la folie, explose nos certitudes et illustre une autre facette de la colonisation.
Positif
par Vincent Thabourey
Outre les magnifiques portraits qui ponctuent "Ce qu'il reste de la folie", ce documentaire questionne la pertinence du traitement occidental au regard des méthodes traditionnelles.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
La mise en scène, d'abord nerveuse, traduit les tumultes intérieurs des patients, puis se stabilise pour interroger les méthodes de soins.
Télérama
par Mathilde Blottière
Le film (est) passionnant quand il se penche sur les convergences entre les traditions des guérisseurs locaux et la médecine moderne (..). Visuellement inspiré, avec des images surexposées qui effacent peu à peu les murs de l'institution, "Ce qu'il reste de la folie" effraie autant qu'il fascine.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Culturopoing.com
par Miriem Méghaïzerou
L’Afrique post-coloniale, ouverte sur la modernité occidentale, aurait-elle refoulé les manifestations traditionnelles de la folie dans les murs de la psychiatrie ? En aurait-elle abrasé les expressions symboliques par un recours à des traitements chimiques, sous l’influence du modèle européen ? Joris Lachaise observe les courants qui innervent une société tributaire de l’apport colonial, tout autant que de ses coutumes séculaires.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Sur le plan sociologique, c’est succinct. En revanche, le travail sur le cadre, la lumière et le montage témoigne d’une indéniable recherche esthétique.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Ce film passionnant se perd hélas dans l’entrelacs des pistes que multiplie l’auteur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Cahiers du Cinéma
Ici, nulle prise de pouvoir par le regard, mais plutôt un trouble réciproque. Si fascination il y a, elle va à notre part de folie individuelle et collective, cette altérité à nous-mêmes à laquelle nous renvoie inévitablement celui que nous déclarons fou.
Critikat.com
Tenter de réellement considérer le rapport au monde d’un « fou » sans se limiter à une observation scientifique, sans le pointer du doigt, ni se complaire dans l’amusement de l’exercice, est en soi un projet extrêmement ambitieux. Et c’est parce qu’il y parvient que Joris Lachaise signe un film remarquable
L'Obs
Joris Lachaise est un témoin qui se tient à distance et demeure silencieux, et c’est passionnant.
Les Fiches du Cinéma
A Dakar, entre malades, guérisseurs traditionnels, et hôpital psychiatrique “à l'occidentale”, Joris Lachaise interroge la folie, explose nos certitudes et illustre une autre facette de la colonisation.
Positif
Outre les magnifiques portraits qui ponctuent "Ce qu'il reste de la folie", ce documentaire questionne la pertinence du traitement occidental au regard des méthodes traditionnelles.
Studio Ciné Live
La mise en scène, d'abord nerveuse, traduit les tumultes intérieurs des patients, puis se stabilise pour interroger les méthodes de soins.
Télérama
Le film (est) passionnant quand il se penche sur les convergences entre les traditions des guérisseurs locaux et la médecine moderne (..). Visuellement inspiré, avec des images surexposées qui effacent peu à peu les murs de l'institution, "Ce qu'il reste de la folie" effraie autant qu'il fascine.
Culturopoing.com
L’Afrique post-coloniale, ouverte sur la modernité occidentale, aurait-elle refoulé les manifestations traditionnelles de la folie dans les murs de la psychiatrie ? En aurait-elle abrasé les expressions symboliques par un recours à des traitements chimiques, sous l’influence du modèle européen ? Joris Lachaise observe les courants qui innervent une société tributaire de l’apport colonial, tout autant que de ses coutumes séculaires.
L'Humanité
Sur le plan sociologique, c’est succinct. En revanche, le travail sur le cadre, la lumière et le montage témoigne d’une indéniable recherche esthétique.
Le Monde
Ce film passionnant se perd hélas dans l’entrelacs des pistes que multiplie l’auteur.