Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Le dernier choc émotionnel de 2017 est islandais ; un diamant brut taillé pour briller bien au-delà de l’année. Une œuvre totale qui restera.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
par Dominique Widemann
Ces sentiers ont déjà été battus par le cinéma. L’intérêt réside ici dans la justesse empathique du regard. Il y aura des troubles et des mises à l’épreuve, des atteintes sensibles, des moments de joie, d’autres où l’on entreverra l’abîme.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Positif
par Yannick Lemarié
C'est d'ailleurs ce mot -délicatesse- qui vient à l'esprit en regardant le film de Gudmundsson : chaque plan en constitue un éloge, notamment lorsque la caméra s'approche des chairs pour mieux en saisir la beauté et la sensualité.
Télérama
par Frédéric Strauss
Cette chronique d’une adolescence en Islande célèbre, au milieu de paysages immenses, un élan vers la vie, vers l’amour, cœur battant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
par Olivier Bombarda
Un portrait délicat de l’adolescence dans un contexte particulier, un minuscule village de pêcheurs reclus au milieu du gigantisme de la nature islandaise.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Le Figaro
par La Rédaction
Malgré de beaux paysages, une chronique un peu longue.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Valentine Verhague
Captant le passage fragile de l’enfance à l’adolescence, ce premier long métrage, bien qu’imparfait, ne laisse pas indifférent.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Le dévoilement des sentiments et des dilemmes afférents se déploie lentement, progressivement, en donnant toute la place au temps et aux atermoiements existentiels du personnage principal. (...) Tout cela fait de Heartstone un teen movie subtil et bienveillant, baigné de belles lumières polaires.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
L'impression de déjà-vu est heureusement contrecarrée par la prestation lumineuse des acteurs principaux.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le réalisateur filme avec grâce et pudeur au plus près des corps les errances sentimentales dans une image inondée de lumière. Mais bégaie en multipliant des séquences de jeunes gens batifolant en sous-vêtements en pleine nature sans provoquer l’émotion.
Première
par Sylvestre Picard
Tout y est, sagement appliqué, et c'est peut-être pour ça qu'on n'accroche pas : parce qu'on a l'impression d'avoir déjà vu ça trop de fois, ailleurs et mieux fait.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
Le dernier choc émotionnel de 2017 est islandais ; un diamant brut taillé pour briller bien au-delà de l’année. Une œuvre totale qui restera.
L'Humanité
Ces sentiers ont déjà été battus par le cinéma. L’intérêt réside ici dans la justesse empathique du regard. Il y aura des troubles et des mises à l’épreuve, des atteintes sensibles, des moments de joie, d’autres où l’on entreverra l’abîme.
Positif
C'est d'ailleurs ce mot -délicatesse- qui vient à l'esprit en regardant le film de Gudmundsson : chaque plan en constitue un éloge, notamment lorsque la caméra s'approche des chairs pour mieux en saisir la beauté et la sensualité.
Télérama
Cette chronique d’une adolescence en Islande célèbre, au milieu de paysages immenses, un élan vers la vie, vers l’amour, cœur battant.
Bande à part
Un portrait délicat de l’adolescence dans un contexte particulier, un minuscule village de pêcheurs reclus au milieu du gigantisme de la nature islandaise.
Le Figaro
Malgré de beaux paysages, une chronique un peu longue.
Les Fiches du Cinéma
Captant le passage fragile de l’enfance à l’adolescence, ce premier long métrage, bien qu’imparfait, ne laisse pas indifférent.
Les Inrockuptibles
Le dévoilement des sentiments et des dilemmes afférents se déploie lentement, progressivement, en donnant toute la place au temps et aux atermoiements existentiels du personnage principal. (...) Tout cela fait de Heartstone un teen movie subtil et bienveillant, baigné de belles lumières polaires.
Studio Ciné Live
L'impression de déjà-vu est heureusement contrecarrée par la prestation lumineuse des acteurs principaux.
Le Journal du Dimanche
Le réalisateur filme avec grâce et pudeur au plus près des corps les errances sentimentales dans une image inondée de lumière. Mais bégaie en multipliant des séquences de jeunes gens batifolant en sous-vêtements en pleine nature sans provoquer l’émotion.
Première
Tout y est, sagement appliqué, et c'est peut-être pour ça qu'on n'accroche pas : parce qu'on a l'impression d'avoir déjà vu ça trop de fois, ailleurs et mieux fait.