Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Transfuge
par Ilan Malka
Exigeant et dépouillé, ce cinéma fascine par son honnêteté et son humilité.
Critikat.com
par Benoît Smith
Derrière le vérisme documentaire, le film conte une autre réalité moins immédiate, à la fois séculaire et perméable au changement, qui fait échapper sa représentation au piège du typique pour touristes.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet
Une démarche authentique dépourvue de jugements dont la richesse tient autant à une véracité palpable qui ne se dément jamais qu’à des interstices plus inaccessibles.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Elle
par Khadija Moussou
Aussi émouvant qu'onirique.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Franceinfo Culture
par Rémy Roche
Dans la beauté magnifique des décors d'un pays qui tremble (pour des raisons de sécurité, le film a été tourné au Tadjikistan, à la frontière Nord) et celle de ses enfants, ici joliment dirigés, qui demain seront peut-être à leur tour "migrants".
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Dominique Widemann
Avec ce premier film, Wolf and Sheep, une jeune réalisatrice afghane compose une chronique villageoise qui n’a rien de paisible. Une œuvre forte.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Jérôme Garcin
(...) ce premier film d’une jeune Afghane de 26 ans, née à Téhéran, est d’une simplicité minérale, d’une (fausse) candeur pastorale. C’est à peine une fiction et plus qu’un documentaire. Disons, une fable. Il ne s’y passe presque rien, et c’est tout un monde d’avant le monde qui surgit à l’écran.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Arnaud Schwartz
Auteur d’un court métrage en 2011, "Vice Versa One", également sélectionné à la Quinzaine des réalisateurs, la réalisatrice installée à Kaboul fait preuve d’une liberté et d’un souffle étourdissants. On souhaite à cette voix singulière de se faire durablement entendre.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Harnachée à sa quête de vérité, Shahrbanoo Sadat recrée les gestes de la vie quotidienne. En prenant garde d’éviter toute forme de démonstration et de sensiblerie, elle évoque la bigamie, les mariages arrangés auxquels les enfants doivent se soumettre.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Libération
par Luc Chessel
Ce qui est bien dans "Wolf and Sheep", c’est la verdeur. Pas seulement celle de ses paysages (...). Pas non plus celle de cette apparition qui rôde dans les alentours, femme-loup légendaire aux reflets virides, (...). Mais d’abord celle de son langage, la crudité des conversations entre les enfants et avec les adultes, la raison du plus sale dans l’invective.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Ariane Allard
(...) "Wolf and Sheep" est rudement prometteur.
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
Une chronique de vie juste, forte et déstabilisante, qui touche au plein cœur de son sujet.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Septième Obsession
par Thomas Aïdan
"Wolf and sheep" est traversé de vents divers, et même si le film s’égare parfois, on est curieux de suivre le parcours de la jeune Shahrbanoo Sadat.
Le Figaro
par La Rédaction
La réalisatrice se souvient de son enfance pour filmer le quotidien d'une petite bergère rejetée par les autres enfants. Mais en voulant témoigner de la réalité de son pays, elle veut trop bien faire et reste à la surface des choses.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Mathieu Macheret
A première vue, "Wolf and Sheep" semble relever d’un néoréalisme rebattu, celui des innombrables « fictions documentées ». Mais très vite, le film prouve qu’il vaut bien mieux que cette étiquette.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Inspiré d’anectodes réelles, “Wolf and Sheep” figure une plongée prenante au cœur d’un pays méconnu.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
L'essentiel, dans ce film aux allures archaïques voire ethnographiques, ne réside pas dans un éventuel réalisme mais dans le rapport émotionnel et onirique de la réalisatrice avec son matériau.
Ouest France
par La Rédaction
Un témoignage précieux, qui aurait sans doute gagné en puissance sans une pseudo-intrigue, un peu nébuleuse, convoquant les mythes et les légendes locaux.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
La réalisatrice dépeint avec justesse la confrontation entre cette jeunesse fougueuse, parfois violente, et ses aînés, tentant de maintenir intact le poids des traditions.
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
Difficile pourtant de s’intéresser à cet avatar d’un world cinema, où la part de fiction est trop conventionnelle tandis que celle du documentaire reste trop imprécise.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Les intentions (parler du port du voile, du mariage arrangé de fillettes, de la menace de groupes armés) sont louables mais on n’échappe pas à l’ennui.
Transfuge
Exigeant et dépouillé, ce cinéma fascine par son honnêteté et son humilité.
Critikat.com
Derrière le vérisme documentaire, le film conte une autre réalité moins immédiate, à la fois séculaire et perméable au changement, qui fait échapper sa représentation au piège du typique pour touristes.
Culturopoing.com
Une démarche authentique dépourvue de jugements dont la richesse tient autant à une véracité palpable qui ne se dément jamais qu’à des interstices plus inaccessibles.
Elle
Aussi émouvant qu'onirique.
Franceinfo Culture
Dans la beauté magnifique des décors d'un pays qui tremble (pour des raisons de sécurité, le film a été tourné au Tadjikistan, à la frontière Nord) et celle de ses enfants, ici joliment dirigés, qui demain seront peut-être à leur tour "migrants".
L'Humanité
Avec ce premier film, Wolf and Sheep, une jeune réalisatrice afghane compose une chronique villageoise qui n’a rien de paisible. Une œuvre forte.
L'Obs
(...) ce premier film d’une jeune Afghane de 26 ans, née à Téhéran, est d’une simplicité minérale, d’une (fausse) candeur pastorale. C’est à peine une fiction et plus qu’un documentaire. Disons, une fable. Il ne s’y passe presque rien, et c’est tout un monde d’avant le monde qui surgit à l’écran.
La Croix
Auteur d’un court métrage en 2011, "Vice Versa One", également sélectionné à la Quinzaine des réalisateurs, la réalisatrice installée à Kaboul fait preuve d’une liberté et d’un souffle étourdissants. On souhaite à cette voix singulière de se faire durablement entendre.
La Voix du Nord
Harnachée à sa quête de vérité, Shahrbanoo Sadat recrée les gestes de la vie quotidienne. En prenant garde d’éviter toute forme de démonstration et de sensiblerie, elle évoque la bigamie, les mariages arrangés auxquels les enfants doivent se soumettre.
Libération
Ce qui est bien dans "Wolf and Sheep", c’est la verdeur. Pas seulement celle de ses paysages (...). Pas non plus celle de cette apparition qui rôde dans les alentours, femme-loup légendaire aux reflets virides, (...). Mais d’abord celle de son langage, la crudité des conversations entre les enfants et avec les adultes, la raison du plus sale dans l’invective.
Positif
(...) "Wolf and Sheep" est rudement prometteur.
aVoir-aLire.com
Une chronique de vie juste, forte et déstabilisante, qui touche au plein cœur de son sujet.
La Septième Obsession
"Wolf and sheep" est traversé de vents divers, et même si le film s’égare parfois, on est curieux de suivre le parcours de la jeune Shahrbanoo Sadat.
Le Figaro
La réalisatrice se souvient de son enfance pour filmer le quotidien d'une petite bergère rejetée par les autres enfants. Mais en voulant témoigner de la réalité de son pays, elle veut trop bien faire et reste à la surface des choses.
Le Monde
A première vue, "Wolf and Sheep" semble relever d’un néoréalisme rebattu, celui des innombrables « fictions documentées ». Mais très vite, le film prouve qu’il vaut bien mieux que cette étiquette.
Les Fiches du Cinéma
Inspiré d’anectodes réelles, “Wolf and Sheep” figure une plongée prenante au cœur d’un pays méconnu.
Les Inrockuptibles
L'essentiel, dans ce film aux allures archaïques voire ethnographiques, ne réside pas dans un éventuel réalisme mais dans le rapport émotionnel et onirique de la réalisatrice avec son matériau.
Ouest France
Un témoignage précieux, qui aurait sans doute gagné en puissance sans une pseudo-intrigue, un peu nébuleuse, convoquant les mythes et les légendes locaux.
Studio Ciné Live
La réalisatrice dépeint avec justesse la confrontation entre cette jeunesse fougueuse, parfois violente, et ses aînés, tentant de maintenir intact le poids des traditions.
Cahiers du Cinéma
Difficile pourtant de s’intéresser à cet avatar d’un world cinema, où la part de fiction est trop conventionnelle tandis que celle du documentaire reste trop imprécise.
Le Journal du Dimanche
Les intentions (parler du port du voile, du mariage arrangé de fillettes, de la menace de groupes armés) sont louables mais on n’échappe pas à l’ennui.