Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Elle
par Françoise Delbecq
Un film aux accents bergmaniens, et d'une beauté à couper le souffle.
L'Humanité
par Dominique Widemann
Après Little Bird, le réalisateur néerlandais Boodewijn Koole opère une traversée des tabous avec maestria.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Jérôme Garcin
A la fin de ce film réalisé avec sensibilité par le Néerlandais Boudewijn Koole ("Little Bird", "Beyond Sleep"), on ne sait plus où s'arrête la banquise et où commence le ciel. Triste et beau à la fois.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Entre tensions entre mère et fille, intimité familiale, présence obsédante d’une neige qui recouvre tout, silence et économie de mots que vient amplifier un univers sonore musical entêtant, le film, dans une veine bergmanienne épurée, égrène sur le rythme lent d’un adagio sa sonate d’hiver. Et le froid de la neige finit par le céder à sa douceur, menant de façon aussi sobre qu’émouvante vers l’immensité d’un paradis blanc.
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Boudewijn Koole signe une partition toute en métaphores, d’une puissante délicatesse.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Vincent Thabourey
Ce huis clos enneigé ne surjoue pas le drame, il l’affronte avec une étrange et cruelle douceur. Sans être d’une folle originalité, ce petit film du nord a bien des qualités.
Sud Ouest
par Sophie Avon
La délicatesse est ici une façon d’être vrai et de donner le meilleur de soi.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Samuel Douhaire
La lenteur contemplative du récit n’empêche toutefois ni la sensualité, ni l’émotion. A l’image des retrouvailles bouleversantes de Roos et de son ancien amant, le temps d’une brève étreinte.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Une mélopée délicatement feutrée pour sublimer la vie, l’amour, la mort.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Olivier Bombarda
Le troisième film du néerlandais de Boudewijn Koole distille les composantes d’une minutie qui ont forgé l’itinéraire même de son auteur : le designer dont l’attention tend à l’intransigeance esthétique, joue des coudes avec le documentariste, proche de la réalité âpre des sentiments, avec un sens du détail quasi bergmanien.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Critikat.com
par Marianne de Cambiaire
En insérant dans le flux même du film les photographies que Roos prend sur le vif, le réalisateur nous donne ainsi accès au regard de son protagoniste et à sa sensibilité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Dans la beauté empoisonnée de ce théâtre de fin de vie, Boudewijn Koole crée des instants de très grande intensité.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Un drame beau et lent, triste et lumineux à la fois (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Renaud Baronian
Un peu long à démarrer, "Sonate pour Roos", qui s’intensifie progressivement, distille une réflexion belle et triste sur la famille, la maladie, la mort, et surtout les rapports mère-fille, le tout dans un cadre enneigé grandiose qui participe à la puissance du film.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Monde
par Mathieu Macheret
Ce drame psychologique balisé, explorant les affres de la relation mère-fille, mais multipliant les procédés d’introspection sans inventivité, reste trop précautionneux et trop lisse pour prétendre à une quelconque complexité dans sa description des caractères humains.
Le Figaro
par La Rédaction
Dans ce troisième long-métrage tourné sur fond de paysages enneigés, le réalisateur néerlandais privilégie l'esthétique au détriment du fond et de l'émotion.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Première
par Christophe Narbonne
Le réalisateur sait faire de belles images (un tunnel de stalactites musicales...) qui font moins sens que décoration.
La critique complète est disponible sur le site Première
Elle
Un film aux accents bergmaniens, et d'une beauté à couper le souffle.
L'Humanité
Après Little Bird, le réalisateur néerlandais Boodewijn Koole opère une traversée des tabous avec maestria.
L'Obs
A la fin de ce film réalisé avec sensibilité par le Néerlandais Boudewijn Koole ("Little Bird", "Beyond Sleep"), on ne sait plus où s'arrête la banquise et où commence le ciel. Triste et beau à la fois.
Le Dauphiné Libéré
Entre tensions entre mère et fille, intimité familiale, présence obsédante d’une neige qui recouvre tout, silence et économie de mots que vient amplifier un univers sonore musical entêtant, le film, dans une veine bergmanienne épurée, égrène sur le rythme lent d’un adagio sa sonate d’hiver. Et le froid de la neige finit par le céder à sa douceur, menant de façon aussi sobre qu’émouvante vers l’immensité d’un paradis blanc.
Les Fiches du Cinéma
Boudewijn Koole signe une partition toute en métaphores, d’une puissante délicatesse.
Positif
Ce huis clos enneigé ne surjoue pas le drame, il l’affronte avec une étrange et cruelle douceur. Sans être d’une folle originalité, ce petit film du nord a bien des qualités.
Sud Ouest
La délicatesse est ici une façon d’être vrai et de donner le meilleur de soi.
Télérama
La lenteur contemplative du récit n’empêche toutefois ni la sensualité, ni l’émotion. A l’image des retrouvailles bouleversantes de Roos et de son ancien amant, le temps d’une brève étreinte.
aVoir-aLire.com
Une mélopée délicatement feutrée pour sublimer la vie, l’amour, la mort.
Bande à part
Le troisième film du néerlandais de Boudewijn Koole distille les composantes d’une minutie qui ont forgé l’itinéraire même de son auteur : le designer dont l’attention tend à l’intransigeance esthétique, joue des coudes avec le documentariste, proche de la réalité âpre des sentiments, avec un sens du détail quasi bergmanien.
Critikat.com
En insérant dans le flux même du film les photographies que Roos prend sur le vif, le réalisateur nous donne ainsi accès au regard de son protagoniste et à sa sensibilité.
Franceinfo Culture
Dans la beauté empoisonnée de ce théâtre de fin de vie, Boudewijn Koole crée des instants de très grande intensité.
Le Journal du Dimanche
Un drame beau et lent, triste et lumineux à la fois (...).
Le Parisien
Un peu long à démarrer, "Sonate pour Roos", qui s’intensifie progressivement, distille une réflexion belle et triste sur la famille, la maladie, la mort, et surtout les rapports mère-fille, le tout dans un cadre enneigé grandiose qui participe à la puissance du film.
Le Monde
Ce drame psychologique balisé, explorant les affres de la relation mère-fille, mais multipliant les procédés d’introspection sans inventivité, reste trop précautionneux et trop lisse pour prétendre à une quelconque complexité dans sa description des caractères humains.
Le Figaro
Dans ce troisième long-métrage tourné sur fond de paysages enneigés, le réalisateur néerlandais privilégie l'esthétique au détriment du fond et de l'émotion.
Première
Le réalisateur sait faire de belles images (un tunnel de stalactites musicales...) qui font moins sens que décoration.