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Votre avis sur Un éléphant, ça trompe énormément ?
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A peine embarqué dans ce film, on s'attache immédiatement aux personnages. Les gags sont excellents ils font rires. Ce film fut le précurseur du coeur des hommes. A voir et à revoir..
Si on peut reprocher au film d'avoir vieillit, que cet humour ne fait plus rire (quoique je trouve toujours certains passages cultes et inégalables) c'est surtout cette belle histoire d'amitié qui fait rêver, bien au dessus de tout. Il fait partie de ces 4 films qui me font fantasmer à une relation similaire avec de vieux amis . Je trouve qu'il va bien avec la suite (Nous irons tous au paradis) et "mes meilleurs copains" formant un beau triptyque sur l'amitié et la crise de la quarantaine. Pour moi, l'opus se clôture, même si ces films n'ont rien à voir les uns avec les autres, "Et si nous vivions ensemble" ou seul Bedos s'y trouve. Le sujet est plus tragique, mais qui sonne pour moi comme une suite et fin, vu l'âge des protagonistes.
Si vous voulez voir une belle histoire d'amitié, ce film sera pour vous un vrai rayon de soleil.Mais je crois qu'il faut avoir vécu un peu pour le comprendre, avoir 40 ans ou plus aide, me semble-t-il.
Si vous voulez voir une belle histoire d'amitié, ce film sera pour vous un vrai rayon de soleil.Mais je crois qu'il faut avoir vécu un peu pour le comprendre, avoir 40 ans ou plus aide, me semble-t-il.
Santu2b
"Un éléphant, ça trompe énormément" est par excellence la comédie française culte des années 1970. Signée Yves Robert dans sa période faste, le film repose sur une association d'éléments remarquablement dosés qui marchent à merveille. ll y a d'abord quatre acteurs parfaits qui avec leurs personnages offrent un véritable festival de névroses : tout d'abord Jean Rochefort l'amoureux transi, Claude Brasseur bagarreur et homosexuel refoulé, Victor Lanoux en machiste coureur qui ne retient jamais la leçon, et enfin Guy Bedos étouffant sous l'influence maternelle. Il y a ensuite une bonne écriture signée Jean-Loup Dabadie et Yves Robert faites de dialogues mordants et de situations parfois irrésistibles. Largement supérieur à d'autres films sur l'amitié masculine, "Un éléphant, ça trompe énormément" reste un véritable bonheur !
un film culte des années 70 avec un quatuor d'acteurs remarquable
et des seconds rôles parfaits.
et quel plaisir de retrouver nos chers disparus sans qui le cinéma
français ne serait pas ce qu'il est.
honnêtement et sans me cacher je suis amoureux de cette décennie
la plus belle dans mes souvenirs.
et des seconds rôles parfaits.
et quel plaisir de retrouver nos chers disparus sans qui le cinéma
français ne serait pas ce qu'il est.
honnêtement et sans me cacher je suis amoureux de cette décennie
la plus belle dans mes souvenirs.
weihnachtsmann
En dehors d’être un film culte des années 70, le film n’est pas seulement une comédie, il a le mérite de traiter de sujets forts comme l’amour ou l’amitié en étant parfois profond. Il est en quelque sorte l’héritier du « cœur des hommes ». Le côté comique évidemment surnage par ses situations ou ses dialogues.
-« Je suis mariée, j’ai des enfants, ça vous paraît peut-être conventionnel....
-oui, ça je dois dire.....!!! »
-« Je suis mariée, j’ai des enfants, ça vous paraît peut-être conventionnel....
-oui, ça je dois dire.....!!! »
A l’occasion du décès de Jean Rochefort, j’ai revu avec beaucoup de plaisir « Un éléphant, ça trompe énormément » que j’avais déjà vu à plusieurs reprises ces 40 dernières années. Ce film sur une bande d’amis aisés, citadins et cavaleurs préfigurait ce que serait « Le Cœur des Hommes » 27 ans plus tard. Le film vieillit très bien grâce à un très bon scénario, de bons dialogues, un casting vraiment top et à quelques scènes mémorables
spoiler:
(le faux aveugle dans le restaurant, la bouche d’aération…)
. Cela donne envie de revoir sa suite sortie l’année suivante « Nous irons tous au paradis » avec le même quatuor masculin. La magie du Cinéma c’est que dans ce film culte, l’actrice Marthe Villalonga campant la mère juive-pied noir dans toute sa splendeur a seulement deux ans de plus que son fils de Cinéma, Guy Bedos !
. Cela donne envie de revoir sa suite sortie l’année suivante « Nous irons tous au paradis » avec le même quatuor masculin. La magie du Cinéma c’est que dans ce film culte, l’actrice Marthe Villalonga campant la mère juive-pied noir dans toute sa splendeur a seulement deux ans de plus que son fils de Cinéma, Guy Bedos !
Un formidable quatuor d'acteurs (Rochefort, Brasseur, Lanoux, Bedos), des dialogues très drôles de Dabadie (sans compter cette voix off délectable), un découpage vif et sûr de Robert, Un éléphant ça trompe énormément, classique de la comédie française des années 1970, continue de faire rire aujourd'hui. Un film qui traite avec une touche légère des situations qui ne le sont pas toujours. Voir ma critique complète sur mon blog : newstrum.wordpress.com
Accompagné de sa suite « Nous irons tous au paradis », c’est le must de la comédie française des 70’s. Jean-Lou Dabadie au scénario et Yves Robert à la mise en scène usent de tous les ressorts comiques possibles : comique de situation, burlesque, comique de mœurs, répliques et dialogues enlevés. Dans le genre film de copains, il tient une place de choix et ne fût pas détrôné par ses successeurs : « Le cœur des hommes » est un rival sérieux, « La vérité si je mens ! » oubli le fond pour la comédie pure, « Les petits mouchoirs » joue la pale copie,… Et çà tient en grande partie à un casting mettant de côté les stars au profit d’un esprit d’équipe. Au moment de la sélection des comédiens Dabadie dit à Robert : « L'idéal serait qu'on puisse faire un film avec des bons acteurs qui ne se prennent pas la tête, des amis avec lesquels on aime manger et rigoler, pas des égoïstes fâcheux qui pinaillent pour grappiller des scènes et écrasent le budget par la folie de leurs cachets. ” Et bing pour Delon et Belmondo, car on sent bien l’ambiance copain durant le film. Et c’est vrai qu’il est délicieux de retrouver Rochefort en mari bourgeois gagné par le démon de midi accompagné par une voix off toujours bien amenée dans une prose précieuse et distanciée indissociable du comédien. Lanoux et sa beauferie légendaire, Bedos en gaucho célibataire sous la coupe de sa mère accompagne Rochefort bien entendu mais un personnage inattendu et osé pour les 70’s joué par Brasseur. Amateur de grosses cylindrées, bagarreur, blagueur grivois ; il réserve une surprise importante le concernant. Les personnages secondaires amènent aussi tous des situations comiques : Villalonga/Duperey/Bourseiller… Un vaudeville ne tournant jamais à la grosse farce. Beau film d’acteurs, rythmé.
Mon blog: tout-un-cinema.blogspot.fr
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Roub E.
Un vrai film de copains, en filmant une banque de quarantenaire dans les années Giscard, Yves Robert signe un film drôle, sincère d’une grande pudeur d’amitié viril. C’est aussi un des très grand rôle de Jean Rochefort en fonctionnaire coincé, qui prend des risques pour sa petite vie rangée pour séduire une mystérieuse femme à la robe rouge. Il est absolument irrésistible dans ce rôle à la fois distingué et maladroit, grand enfant. Les autres acteurs sont également excellent et rendent la bande crédible comme les personnages féminins qui ont bien conscience des travers de ces ados attardés. Malgré le temps qui passe ce film conserve toute sa saveur ce qui souligne sa grande qualité.
Un film d'un charme désuet, hélas plus empreint de désuétude que de charme, même si l'on retrouve avec plaisir une brochette d'acteurs inspirés, certes placés dans des situations éternelles, mais tout cela vieillit quand même plus ou moins bien.
Apparemment on n'a pas le droit de dire du mal du film ici.
spoiler: Difficile de regarder ce film sans être né à cette époque qui nous paraît d'un autre monde (les mentalités, les habits/coiffures, le style de réalisation...). Du coup je regarde cette curiosité historique avec une grande distance dans laquelle je ne trouve même pas les raisons potentielles du succès de l'époque.
spoiler: Difficile de regarder ce film sans être né à cette époque qui nous paraît d'un autre monde (les mentalités, les habits/coiffures, le style de réalisation...). Du coup je regarde cette curiosité historique avec une grande distance dans laquelle je ne trouve même pas les raisons potentielles du succès de l'époque.
pierrre s.
Ca pique! La comédie est un genre qui généralement vieillit assez mal, confirmation ici, où gags, situations et personnages tombent à plat. Plus rien ne fonctionne, et le film en devient presque gênant.
Les critiques spectateurs sont relativement sévères envers ce film. C'est un chef d'oeuvre du genre, la comédie française dans toute son oeuvre. Des rôles bien répartis et bien appropriés, le scénario bien réfléchis et une mise en scène hors pair. Un film à voir absolument. Des caricatures, des personnages exceptionnelles. Un film à voir à plusieurs reprises.
" Un éléphant , ça trompe énormément " sympathique comédie des années 70 .
C'est l'histoire de 4 amis restés de grands enfants à l'approche de la quarantaine avec chacun leurs soucis et leurs problèmes . On a Étienne ( Jean Rochefort ) un heureux père de famille marié à une femme nommer Marthe ( Danièle Delorme ) qui tombe amoureux fou d'une autre femme nommer Charlotte ( Anny Duperey ) . Ensuite il y a Simon ( Guy Bedos ) un médecin qui est étouffer par les intrusions à répétitions de sa mère pied noire ( Marthe Villalonga ) abusive dans sa vie . Daniel ( Claude Brasseur ) un garagiste qui ne parvient plus longtemps à cacher son homosexualité à ses amis . Sans oublier Bouly ( Victor Lanoux ) un séducteur infidèle qui tombe de très haut quand sa femme qui a découvert ses infidélités décide de quitter le domicile conjugal avec meubles et enfants . Chacun va tenter de régler ses soucis mais peut compter sur le soutient et l'amitié sans failles des autres ...
Le réalisateur Yves Robert qui nous avait déja régaler avec sa " guerre des boutons " en 1962 , " Alexandre le bienheureux " en 1968 ou encore son " grand blond avec une chaussure noire " en 1972 qui ont tous été des grands succès en salle revient en grande forme en 1976 avec " un éléphant , ça trompe énormément " . " un éléphant , ça trompe énormément " est une sympathique comédie devenu un classique de la comédie française qui connu un grand succès lors de sa sortie en salle en 1976 ( près de 3 millions d'entrées ) . Yves Robert nous dépeint sur le ton de l'humour l'amitié de 4 quadragénaire avec chacun leurs soucis et leurs problèmes . On a Étienne un heureux père de famille marié à une femme nommer Marthe qui tombe amoureux fou d'une autre femme nommer Charlotte . Ensuite il y a Simon un médecin qui est étouffer par les intrusions à répétitions de sa mère pied noire abusive dans sa vie . Daniel un garagiste qui ne parvient plus longtemps à cacher son homosexualité à ses amis . Sans oublier Bouly un séducteur infidèle qui tombe de très haut quand sa femme décide de quitter le domicile conjugal avec meubles et enfants quand elle découvre ses nombreuses infidélités . On va les voir tenter de régler leurs soucis ( en se soutenant les un les autres ) et en particulier le personnage de Jean Rochefort un homme marié fidèle qui est tomber fou amoureux bien malgré lui d'une autre femme alors qu'il est déjà marié . Il va vouloir céder à l'adultère en tentant de draguer cette femme sans que sa femme ne s'en aperçoivent avec le soutient de ses amis ce qui va donner lieu à une pléiade de scènes cocasses , quiproquos et de moments amusants . Un film remplit de scènes drôles et irrésistibles spoiler: ( Jean Rochefort qui se met à faire du cheval non sans mal pour draguer Anny Duperey , le quiproquo entre Jean Rochefort et sa collègue de boulot , Claude brasseur qui se fait passer pour un aveugle dans une brasserie pour remonter le moral de Victor Lanoux qui vient de se faire plaquer par sa femme , la mère de Guy Bedos qui s'incruste et qui tape un scandale pendant un match de tennis de son fils , Jean Rochefort qui se retrouve en peignoir sur le rebord d'une fenêtre ... )
.
Même si " Un éléphant , ça trompe énormément " n'est pas la comédie la plus hilarante du cinéma français et que sa a un peu viellit on passe quand même un très bon moment devant les déboires irrésistibles de ses 4 quadragénaires .
Le film est porter par une très belle brochettes d'acteurs . Jean Rochefort , Guy Bedos , Claude brasseur et Victor Lanoux sont tous très bon et irrésistibles dans le rôles de ses 4 amis quadragénaire inséparables qui sont rester de grands enfants et qui ont chacun leurs soucis et qui vont se soutenir mutuellement . Ils forment un excellent quatuor irrésistible avec chacun une personnalité et un caractère qui lui est propre qui fait qu'ils ne sont pas toujour d'accord sur tout et qui s'engueule souvent mais qui se réconcilient à chaque fois car lié par une très forte amitié . Sans oublier de sympathique seconds rôles dont Danièle Delorme qui joue la femme de jean Rochefort , Anny Duperey dans le rôle de la femme que Jean Rochefort tente de draguer ou encore Marthe Villalonga irrésistible dans le rôle de la mère abusive de Guy Bedos qui s'incruste sans arrêt dans sa vie .
" Un éléphant , ça trompe énormément " un classique de la comédie française à ne surtout pas louper .
C'est l'histoire de 4 amis restés de grands enfants à l'approche de la quarantaine avec chacun leurs soucis et leurs problèmes . On a Étienne ( Jean Rochefort ) un heureux père de famille marié à une femme nommer Marthe ( Danièle Delorme ) qui tombe amoureux fou d'une autre femme nommer Charlotte ( Anny Duperey ) . Ensuite il y a Simon ( Guy Bedos ) un médecin qui est étouffer par les intrusions à répétitions de sa mère pied noire ( Marthe Villalonga ) abusive dans sa vie . Daniel ( Claude Brasseur ) un garagiste qui ne parvient plus longtemps à cacher son homosexualité à ses amis . Sans oublier Bouly ( Victor Lanoux ) un séducteur infidèle qui tombe de très haut quand sa femme qui a découvert ses infidélités décide de quitter le domicile conjugal avec meubles et enfants . Chacun va tenter de régler ses soucis mais peut compter sur le soutient et l'amitié sans failles des autres ...
Le réalisateur Yves Robert qui nous avait déja régaler avec sa " guerre des boutons " en 1962 , " Alexandre le bienheureux " en 1968 ou encore son " grand blond avec une chaussure noire " en 1972 qui ont tous été des grands succès en salle revient en grande forme en 1976 avec " un éléphant , ça trompe énormément " . " un éléphant , ça trompe énormément " est une sympathique comédie devenu un classique de la comédie française qui connu un grand succès lors de sa sortie en salle en 1976 ( près de 3 millions d'entrées ) . Yves Robert nous dépeint sur le ton de l'humour l'amitié de 4 quadragénaire avec chacun leurs soucis et leurs problèmes . On a Étienne un heureux père de famille marié à une femme nommer Marthe qui tombe amoureux fou d'une autre femme nommer Charlotte . Ensuite il y a Simon un médecin qui est étouffer par les intrusions à répétitions de sa mère pied noire abusive dans sa vie . Daniel un garagiste qui ne parvient plus longtemps à cacher son homosexualité à ses amis . Sans oublier Bouly un séducteur infidèle qui tombe de très haut quand sa femme décide de quitter le domicile conjugal avec meubles et enfants quand elle découvre ses nombreuses infidélités . On va les voir tenter de régler leurs soucis ( en se soutenant les un les autres ) et en particulier le personnage de Jean Rochefort un homme marié fidèle qui est tomber fou amoureux bien malgré lui d'une autre femme alors qu'il est déjà marié . Il va vouloir céder à l'adultère en tentant de draguer cette femme sans que sa femme ne s'en aperçoivent avec le soutient de ses amis ce qui va donner lieu à une pléiade de scènes cocasses , quiproquos et de moments amusants . Un film remplit de scènes drôles et irrésistibles spoiler: ( Jean Rochefort qui se met à faire du cheval non sans mal pour draguer Anny Duperey , le quiproquo entre Jean Rochefort et sa collègue de boulot , Claude brasseur qui se fait passer pour un aveugle dans une brasserie pour remonter le moral de Victor Lanoux qui vient de se faire plaquer par sa femme , la mère de Guy Bedos qui s'incruste et qui tape un scandale pendant un match de tennis de son fils , Jean Rochefort qui se retrouve en peignoir sur le rebord d'une fenêtre ... )
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Même si " Un éléphant , ça trompe énormément " n'est pas la comédie la plus hilarante du cinéma français et que sa a un peu viellit on passe quand même un très bon moment devant les déboires irrésistibles de ses 4 quadragénaires .
Le film est porter par une très belle brochettes d'acteurs . Jean Rochefort , Guy Bedos , Claude brasseur et Victor Lanoux sont tous très bon et irrésistibles dans le rôles de ses 4 amis quadragénaire inséparables qui sont rester de grands enfants et qui ont chacun leurs soucis et qui vont se soutenir mutuellement . Ils forment un excellent quatuor irrésistible avec chacun une personnalité et un caractère qui lui est propre qui fait qu'ils ne sont pas toujour d'accord sur tout et qui s'engueule souvent mais qui se réconcilient à chaque fois car lié par une très forte amitié . Sans oublier de sympathique seconds rôles dont Danièle Delorme qui joue la femme de jean Rochefort , Anny Duperey dans le rôle de la femme que Jean Rochefort tente de draguer ou encore Marthe Villalonga irrésistible dans le rôle de la mère abusive de Guy Bedos qui s'incruste sans arrêt dans sa vie .
" Un éléphant , ça trompe énormément " un classique de la comédie française à ne surtout pas louper .
Un éléphant, ça trompe énormément est une bonne comédie des années 70.
Ce n'est pas la meilleur comédie française, mais c'est plutôt drôle, les personnages sont extrêmement sympathiques (c'est la principale force du film).
Le film bénéficie d'un bon casting : Jean Rochefort, Anny Duperey, Victor Lanoux, Claude Brasseur, Guy Bedos ou encore Marthe Villalongua.
Les situations sont assez cocasses. On rit bien.
C'est bien, quoi
Ce n'est pas la meilleur comédie française, mais c'est plutôt drôle, les personnages sont extrêmement sympathiques (c'est la principale force du film).
Le film bénéficie d'un bon casting : Jean Rochefort, Anny Duperey, Victor Lanoux, Claude Brasseur, Guy Bedos ou encore Marthe Villalongua.
Les situations sont assez cocasses. On rit bien.
C'est bien, quoi
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