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Votre avis sur Un éléphant, ça trompe énormément ?
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Si on rit énormément dans ce film, c'est parce que cela est dû à l'excellent quatuor formé par Claude Brasseur, Victor Lanoux, Guy Bedos et Jean Rochefort. Ajoutons à cela une très bonne réalisation et un bon scénario et cela nous donne un film qu'il faut voir AB-SO-LU-MENT!!!
Les critiques spectateurs sont relativement sévères envers ce film. C'est un chef d'oeuvre du genre, la comédie française dans toute son oeuvre. Des rôles bien répartis et bien appropriés, le scénario bien réfléchis et une mise en scène hors pair. Un film à voir absolument. Des caricatures, des personnages exceptionnelles. Un film à voir à plusieurs reprises.
Comédie tout à fait sympathique. Malgré son âge, elle porte un vent de fraicheur certain. Les aventures de Jean Rochefort et compagnie sont agréables à suivre.
Dans le registre de la comédie française de copains, ce n'est pas pour rien si "Un éléphant, ça trompe énormément" est régulièrement cité dans le haut du panier. En l'espace de quelques scènes cultes (la robe rouge d'Anny Duperey, Jean Rochefort en robe de chambre sur le rebord d'une fenêtre, les disputes entre Guy Bedos et Marthe Villalonga), le film s'est taillée une belle réputation dont on constate encore la qualité aujourd'hui. Outre l'impeccable casting réuni ici (Jean Rochefort, Claude Brasseur, Guy Bedos, Victor Lanoux, Danièle Delorme, Anny Duperey), c'est la qualité des dialogues qui impressionne. Vifs, cocasses, drôles et au service de situations pour le moins savoureuses, ils assurent ici la pérennité du film, réflexion lucide sur l'amitié masculine et l'infidélité des hommes, incapables de résister à une femme qui passe malgré un mariage solide. Un classique dont on ne se lasse pas.
C'est du Yves Robert, c'est bien sympatique, attachant, souvent drôle, et avec un paquet d'idée dans le récit, et aussi, il faut le reconnaitre, dans la mise en scène. On ne peut pas nier que celle-ci ronronne un peu, et que certaines idées sont bien dépassés, voir même viellotes, mais la force avec laquelle Yves Robert consruit son récit, elle, n'a pas pris une ride. Toujours très décontracté, lyrique, personnel et pleine de bons sentiments, l'histoire emmené par interpréte principal, Jean Rochefort, encore une fois très juste et touchant, nous captive et ne nous lasse jamais. C'est de la comédie française comme on aimerait la voire plus souvent, et même uniquement, sous son meilleure jour, franchouillarde comme y'a pas, mais pas besoin d'être bon chauvin pour admettre que cette crise de la quarantaine, et ce vieux briscard de Rochefort affolé et ensorcelé par la magnifique Anne Duperey en robe rouge, nous promène et nous passionne sans problème pendant 1heure et quarantes minutes. Une réussite de plus pour le regretté et rusé Yves Robert.
Redzing
Yves Robert nous fait agréablement suivre les aventures sentimentales d'une bande de copains, et en particulier celle de l'un d'eux, homme rangé fasciné par l'apparition d'une femme mystérieuse. C'est ainsi à un Jean Rochefort très en forme que nous avons à faire, prenant un ton quasi-chevaleresque par moment, et désopilant dans la fameuse scène où il se retrouve en peignoir sur le rebord d'un immeuble. Un classique de la comédie française, qui se regarde avec toujours autant de plaisir.
Un éléphant ça trompe énormément est une belle petite comédie à la française de Yves Robert. A l’affiche du film on retrouve un quatuor d’enfer composé de Jean Rochefort, Claude Brasseur, Guy Bedos et Victor Lanoux. Le film est hilarant on rigole du début à la fin, les personnages sont excellents, il y a d’excellentes scènes… Le film est très divertissant et je le conseil à tous, 14 / 20.
Une des plus grandes comédies voire la comédie phare du cinéma français des années 70 qui rassemble un quatuor d'acteurs mythiques. Cette bande de copains se trouve confrontée à la crise de la quarantaine et aux tentations extra-conjugales que tous abordent d'une manière différente.
Alors certes le rythme est un peu lent, du moins conforme aux standards de l'époque, mais certaines séquences sont délicieuses comme les interventions en voix-off de Jean Rochefort, Christophe Bourseiller et sa passion inaccessible, sans parler de la scène finale !
Un film à voir et à revoir, contrairement à la plupart des remakes qui ont suivi ...
Alors certes le rythme est un peu lent, du moins conforme aux standards de l'époque, mais certaines séquences sont délicieuses comme les interventions en voix-off de Jean Rochefort, Christophe Bourseiller et sa passion inaccessible, sans parler de la scène finale !
Un film à voir et à revoir, contrairement à la plupart des remakes qui ont suivi ...
Cette brillante comédie doit avant tout sa qualité à la finesse de sa narration et à la prestation aussi décalée que drôle de Jean Rochefort. On a aussi une bonne bande de potes qui ont des soucis divers (la libido de Lanoux, la mère de Bedos...) et un bel esprit d'équipe quand il s'agit de s'en payer une tranche. Les femmes sont également hautes en couleurs, avec le magnétisme d'Annie Duperey bien sûr, mais surtout l'envahissante Marthe Villalonga! De la fraicheur, des situations crédibles et une fin en pied de nez contribuent à faire de ce film un classique de la comédie française haut de gamme.
Le film de Robert contient le même schéma des comédies romantiques : un maladroit timide tombe amoureux d'une jeune femme, se trompe en voulant l'inviter en invitant une autre, partage ses expériences avec ses vieux copains, et à la fin, nouveau départ à zéro et une nouvelle conquête en vue. Très classique comme scénario, très peu de séquences burlesques excepté le faux aveugle au restaurant chic, séquence qui amuse mais qui a aucune conséquence pour la suite. Beaucoup de moments sont vraiment dispensables, puisque l'aventure ne se concentre que sur Rochefort et Duperey. Les séquences avec Brasseur, Lanoux et Bedos sont la cause de perte de rythme ( même si on en apprend sur eux ) du film. Ces séquences enrichissent les personnages tout en allongeant la durée ( quoique sur Bourseiller, qui joue très mal, ça se discute ). Il faudrait aussi qu'on m'explique le son de la mer et des mouettes qui se laisse entendre lorsque Rochefort rêvasse. Comédie conventionnelle de la part de Robert au final.
Très déçu. Je m’attendais à une grosse comédie des années 70. Au final, peu de répliques font mouches, cela manque de rythme, le film a bien vieillit.
caro18
Quelques longueurs mais les scènes avec Jean Rochefort sont très drôles.
Une fresque exquise sur l'amitié et le cours de la vie. Le film oscille tendrement entre comédie et tragédie, penchant vers la première pour une fin excellente !
C'est un film d'acteurs et c'est sans doute comme cela qu'il faut l'apprécier (et en fait Rochefort domine tout le monde. Les acteurs jouent bien, à l'exception de Christophe Bourseiller, mauvais come cochon. Pourtant ce film est bancal notamment au niveau du montage. Plusieurs fois nous avons des scènes intéressantes dont on aimerait qu'elles soient développées... et ça coupe pour nous montrer autre chose rendant certaines situations incompréhensibles. Sans doute pour ne pas laisser la seule vedette à Rochefort on a incorporé des scènes hors sujet
spoiler:
(Brasseur en aveugle, une scène qui se voudrait burlesque mais qui ne l'est pas tant que ça, idem pour le numéro de Marthe Villalonga.
Par contre, j'ai trouvé le final assez réussi. spoiler: Quant aux cris d'orfraie de quelques féministes, ça devient exaspérant, si on les écoutait bientôt on aurait plus le droit de draguer.
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Par contre, j'ai trouvé le final assez réussi. spoiler: Quant aux cris d'orfraie de quelques féministes, ça devient exaspérant, si on les écoutait bientôt on aurait plus le droit de draguer.
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Santu2b
"Un éléphant, ça trompe énormément" est par excellence la comédie française culte des années 1970. Signée Yves Robert dans sa période faste, le film repose sur une association d'éléments remarquablement dosés qui marchent à merveille. ll y a d'abord quatre acteurs parfaits qui avec leurs personnages offrent un véritable festival de névroses : tout d'abord Jean Rochefort l'amoureux transi, Claude Brasseur bagarreur et homosexuel refoulé, Victor Lanoux en machiste coureur qui ne retient jamais la leçon, et enfin Guy Bedos étouffant sous l'influence maternelle. Il y a ensuite une bonne écriture signée Jean-Loup Dabadie et Yves Robert faites de dialogues mordants et de situations parfois irrésistibles. Largement supérieur à d'autres films sur l'amitié masculine, "Un éléphant, ça trompe énormément" reste un véritable bonheur !
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