Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Culturopoing.com
par Danielle Lambert
Home nous fait subrepticement passer du teen movie à la tragédie grecque en nous le rappelant au passage: la vie n’est pas un film.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ce conte cruel de la jeunesse d’aujourd’hui sonne absolument juste, en partie parce qu’il est incarné par des comédiens amateurs dont la retenue compense l’horreur (ordinaire) de certaines situations (chargées). Un instantané de l’époque.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Une approche de l’adolescence crue, sincère et empathique.
Paris Match
par Yannick Vely
Au lyrisme du premier et au nihilisme du second, Fien Troch apporte une grande touche de tendresse, un regard aimant qu'elle porte sur les adolescents, ne les condamnant jamais malgré ce qu'ils font.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Une puissante plongée dans les affres de l’adolescence traitée avec le savoir-faire brut du cinéma belge, entre le réalisme cru de Larry Clark et la sensibilité certaine de Sofia et Gia Coppola. A découvrir absolument.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Morgan Pokée
(...) le « Home » du titre suggère moins un retour à la maison qu’un retour à l’innocence de l’enfance, là où la tendresse du monde semble infini.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par François Forestier
La fin manque d’originalité, mais il y a là un talent à suivre, certainement.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Sandrine Marques
Si le propos dérange, les qualités d’écriture du film, sa maîtrise formelle, la précision de l’interprétation, la finesse de la mise en scène, toujours au diapason des personnages, devraient achever de convaincre et de donner envie d’aller voir du côté de ce cinéma, affranchi et personnel.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Les événements du récit sont assez accablants (inceste, tromperie amoureuse, meurtre), mais compensés par la liberté de la mise en scène, qui pousse la notion du jump-cut au-delà des habituels non-raccords. (…) Ce principe de fragmentation confère fraicheur et spontanéité à ce conte cruel de la jeunesse paumée.
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
C’est là, alors que l’on ne s’y attend plus, que le film finit par octroyer une épaisseur à ses personnages, remarquablement incarnés par des non-professionnels, cessant de les regarder comme des créatures de l’époque sans pour autant tomber dans le jugement moral.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par François Léger
Mais malgré la poésie évidente qui se dégage du film, Home fait trop souvent passer la forme (la caméra à l'épaule, le format 4/3 pour renforcer le sentiment d'oppression…) avant le fond pour traduire le mal-être de ses personnages. En résulte une espèce d'artificialité qui finit par parasiter - un peu - le message.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
par Thomas Sotinel
L’irruption d’un fait divers atroce, aux deux tiers de la projection, devrait entraîner vers des réflexions et émotions plus singulières, mais le film reste pris dans son souci d’exactitude documentaire.
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Ce portrait choral d'ados flamands est d'abord porté par une mise en scène nerveuse qui contraste avec la lenteur d'un récit décousu. Puis il se recentre brusquement sur deux personnages et livre des scènes dérangeantes.
Culturopoing.com
Home nous fait subrepticement passer du teen movie à la tragédie grecque en nous le rappelant au passage: la vie n’est pas un film.
L'Humanité
Ce conte cruel de la jeunesse d’aujourd’hui sonne absolument juste, en partie parce qu’il est incarné par des comédiens amateurs dont la retenue compense l’horreur (ordinaire) de certaines situations (chargées). Un instantané de l’époque.
Les Fiches du Cinéma
Une approche de l’adolescence crue, sincère et empathique.
Paris Match
Au lyrisme du premier et au nihilisme du second, Fien Troch apporte une grande touche de tendresse, un regard aimant qu'elle porte sur les adolescents, ne les condamnant jamais malgré ce qu'ils font.
aVoir-aLire.com
Une puissante plongée dans les affres de l’adolescence traitée avec le savoir-faire brut du cinéma belge, entre le réalisme cru de Larry Clark et la sensibilité certaine de Sofia et Gia Coppola. A découvrir absolument.
Critikat.com
(...) le « Home » du titre suggère moins un retour à la maison qu’un retour à l’innocence de l’enfance, là où la tendresse du monde semble infini.
L'Obs
La fin manque d’originalité, mais il y a là un talent à suivre, certainement.
La Septième Obsession
Si le propos dérange, les qualités d’écriture du film, sa maîtrise formelle, la précision de l’interprétation, la finesse de la mise en scène, toujours au diapason des personnages, devraient achever de convaincre et de donner envie d’aller voir du côté de ce cinéma, affranchi et personnel.
Les Inrockuptibles
Les événements du récit sont assez accablants (inceste, tromperie amoureuse, meurtre), mais compensés par la liberté de la mise en scène, qui pousse la notion du jump-cut au-delà des habituels non-raccords. (…) Ce principe de fragmentation confère fraicheur et spontanéité à ce conte cruel de la jeunesse paumée.
Libération
C’est là, alors que l’on ne s’y attend plus, que le film finit par octroyer une épaisseur à ses personnages, remarquablement incarnés par des non-professionnels, cessant de les regarder comme des créatures de l’époque sans pour autant tomber dans le jugement moral.
Première
Mais malgré la poésie évidente qui se dégage du film, Home fait trop souvent passer la forme (la caméra à l'épaule, le format 4/3 pour renforcer le sentiment d'oppression…) avant le fond pour traduire le mal-être de ses personnages. En résulte une espèce d'artificialité qui finit par parasiter - un peu - le message.
Le Monde
L’irruption d’un fait divers atroce, aux deux tiers de la projection, devrait entraîner vers des réflexions et émotions plus singulières, mais le film reste pris dans son souci d’exactitude documentaire.
Studio Ciné Live
Ce portrait choral d'ados flamands est d'abord porté par une mise en scène nerveuse qui contraste avec la lenteur d'un récit décousu. Puis il se recentre brusquement sur deux personnages et livre des scènes dérangeantes.