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Votre avis sur Ghostland ?
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Il joue avec nos nerfs comme le chat le ferait avec une souris, c'est dire à quel point P.Laugier est sans pitié. Car dans ce huit-clos étouffant et éprouvant, il nous balade au gré de ses cauchemars et on adore ça. Le scénario est malin; et si j'ai nettement préféré la première partie, la deuxième qui tient plus du ''Survival'' que de l'épouvante pure est très réussie malgré quelques baisses de rythme. Alors cela tient beaucoup de la réalisation bien sur, mais aussi des 3 actrices qui ont donné de leur personne pour ce film...
Wahou quelle claque ! Le film ne dure pas très longtemps mais la tension s'installe dès les premières minutes .. une première partie de film intéressante puis s'en vient l'excellent twist qui va faire basculer le film dans de l'horreur psychologique très puissant . C'est très réaliste et choquant , la photo est belle et très sombre , la réalisation et l'interprétation est superbe .. bravo aux actrices et même Mylène Farmer qui s'en sort très bien . C'est vraiment bon et encourageant pour le cinéma d'horreur 17/20
A mi-chemin entre horreur et thriller, Ghostland ne révèle ses cartes qu'au bout d'un certain temps, à partir du moment duquel on commence à comprendre la logique du scénario et ses enjeux. Si les premières révélations apportent un changement de perspective et une nouvelle lecture d'une premiere partie étrange (et frustrante), l’écueil principal du film reste le meme. Une violence crue franchement désagréable (exercée sur deux ado et leur mère) qui m'a mis mal à l'aise et m'a donné envie d'en finir le plus vite possible avec cette expérience. Bref, pas vraiment convaincu.
un chef-d'œuvre de Pascal Laugier qui nous fait frissonner et nous accrocher à notre siège pendant tout le film
son casting est génial surtout Mylène Farmer et l'actrice de Beth adolescente
une grande claque du cinéma d'horreur que je ne suis pas prête d'oublier
son casting est génial surtout Mylène Farmer et l'actrice de Beth adolescente
une grande claque du cinéma d'horreur que je ne suis pas prête d'oublier
Excellent thriller pour les amateurs du genre. J'adore la manière d'utiliser la dissociation psychique pour nous embarquer tranquillement dans un fantasme avant de nous replonger brutalement dans une réalité terrifiante. Le sujet de la survie psychologique est rarement aussi bien abordé.
spoiler:
La petite Beth deviendra-t-elle la romancière à succès qu'elle s'est inventée pour fuir une situation effroyable ? En tous cas, elle ne devrait pas manquer d'inspiration.
Quand j'ai su que Ghostland aller sortir sortir j'étais énormément enthousiaste franchement.
Ce film pseudo horreur est génial sérieux j'ai jamais eu aussi peur de ma vie devant un film que Ghostland, j'étais en gousset, j'avais peut du film.
A pars que c un chef d'oeuvre je ne sais pas quoi dire de plus sur ce film aller le voir
5/5
Ce film pseudo horreur est génial sérieux j'ai jamais eu aussi peur de ma vie devant un film que Ghostland, j'étais en gousset, j'avais peut du film.
A pars que c un chef d'oeuvre je ne sais pas quoi dire de plus sur ce film aller le voir
5/5
Mylene Farmer nous offre une très belle prestation entourée de deux jeunes actrices prometteuses! Un scenario d'epouvante ficelé à merveille.
spoiler:
3 étoiles pour ce film auquel il faut bien 2 voire 3 projections pour me faire un avis.
Concrètement le film est insoutenable. De la violence pure et dure. Les limites ont été poussées trop loin à mon goût, pourquoi ? Je n'arrive toujours pas à comprendre le message. C'est gratuit. Ça rend le film malsain, malaisant et derengeant. Je n'arrive pas à comprendre comment un tel projet a pu passer tous les filtres pour arriver sur nos écrans. Il aurait bien valu un-18 ans niveau censure tant il est dégueulasse.
A côté de cela le jeu d'acteur est bon, le scénario ficelé, les effets spéciaux très corrects.
Mylene Farmer joue plutôt bien et son visage de poupée (légèrement botoxée) tient parfaitement dans l'univers du film.
À côté de tous ces points positifs, le sens même du film nous laisse béat d'incertitudes...
Concrètement le film est insoutenable. De la violence pure et dure. Les limites ont été poussées trop loin à mon goût, pourquoi ? Je n'arrive toujours pas à comprendre le message. C'est gratuit. Ça rend le film malsain, malaisant et derengeant. Je n'arrive pas à comprendre comment un tel projet a pu passer tous les filtres pour arriver sur nos écrans. Il aurait bien valu un-18 ans niveau censure tant il est dégueulasse.
A côté de cela le jeu d'acteur est bon, le scénario ficelé, les effets spéciaux très corrects.
Mylene Farmer joue plutôt bien et son visage de poupée (légèrement botoxée) tient parfaitement dans l'univers du film.
À côté de tous ces points positifs, le sens même du film nous laisse béat d'incertitudes...
Au risque de déplaire à beaucoup de monde, je dois dire que ma première expérience avec les films chocs de Pascal Laugier m'a pas mal déçu... Peut-être que c'est moi, mais la tension ne m'a pas prise à la gorge comme je m'y attendais. Le tout est assez plat et le twist principal en milieu de film n'est pas fabuleux, tandis que la fin est trop prévisible. Les méchants, clichés, ne parviennent pas à nous faire sentir en danger. On est juste triste que deux jeunes filles se fassent violer, acte tout simplement ignoble qui aurait très bien pu nous être épargné, même si ces sévices ne sont que suggestifs. Bref, je n'ai pas vu le film tel que je me l'étais imaginé au vu des informations procurées. J'ai fini le visionnage avec une question : ce réalisateur prend-t-il plaisir à filmer deux jeunes filles souffrir ? Martyrs me semble plus intéressant, en espérant qu'il soit différent de ce film...
J'ai été attirée et, il faut le dire, un peu leurrée par la bande annonce qui soulignait avant tout une potentielle histoire de fantôme. Au final encore un de ces films voyeuristes, pour ceux qui ne seraient pas déjà rassasiés de faits divers sordides. Et les clichés du genre sont lourds... Des méchants tres vilains (plus manichéen on ne fait pas), à l'esprit tordu, rendus laids jusqu'à la caricature (surtout l'ogre des goonies), les poupées glauques, la maison complètement surréaliste tellement elle est épouvantable... des violences sexuelles pédophile (merveilleux).
Points positifs : jeux d'acteurs et retournement de situation.
Toutefois pas assez pour en faire un film digne d'intérêt. A éviter, sauf bien sur, pour les adaptes du genre. Aucune réflexions psychologiques, aucune recherche, du voyeurisme, juste du voyeurisme et du mal sain.
Points positifs : jeux d'acteurs et retournement de situation.
Toutefois pas assez pour en faire un film digne d'intérêt. A éviter, sauf bien sur, pour les adaptes du genre. Aucune réflexions psychologiques, aucune recherche, du voyeurisme, juste du voyeurisme et du mal sain.
Après l'excellent mais difficile Martyrs et suite à son expérience (pas forcément bonne) américaine, Pascal Laugier revient avec son quatrième film : Ghostland. Sans atteindre la violence extrême de son Martyrs, Ghostland est un bon film d'horreur qui travaille beaucoup plus son ambiance que sa violence. La réalisation de Laugier est à la fois maîtrisée et esthétique, les actrices sont convaincantes (j'ai trouvé Mylène Farmer à l'aise dans son rôle) et le décor de la maison est vraiment excellent et contribue grandement à l'ambiance générale du film. Même si le scénario peut paraître simpliste, Pascal Laugier y insuffle toute son énergie et son talent pour nous tenir en haleine jusqu'à la fin et nous faire partager ce voyage à la fois horrifique et fascinant.
Il est difficile de trouver les bons superlatifs pour décrire ce chef d'œuvre. Un film coup de poing que l'on suit les mâchoires serrées en encaissant les uppercuts. L'interprétation est brillantissime, l'esthétique est d'une grande classe. Apprêtez vous à un voyage dans les profondeurs, celle de l'âme et de la cruauté la plus folle, le tout juché sur un wagon de montagnes russes. À voir et à revoir.
Sur une idée simple et déjà-vu, Pascal Laugier, sans toutefois renouveler le genre, grâce à un scénario très malin et une mise en scène travaillée, réussit un thriller horrifique et psychologique terriblement efficace.
Ici, on nous présente une famille monoparentale, une mère et ses deux filles, qui emménage dans une maison venant d'un héritage. Dès la première nuit, elles se font attaquer par des tueurs recherchés... Des années plus tard, la mère vit toujours dans cette maison avec l'une de ses filles qui s'enfonce dans une violente paranoïa. L'autre sœur est devenue une romancière à succès. Cette dernière décide d'y retourner pour aider sa sœur...
Le film effraie et met mal-à-l'aise grâce aux moyens classiques (jump scares, méchants sadiques et monstrueux jusque dans leurs aspects, des poupées) mais il promène le spectateur dans des flash-back, dans l'onirisme et le perd dans des réalités différentes. Très rapidement, on se demande ce qui nous est montré, rêves, réalités, passé, présent ? Par plusieurs twists, les pièces du puzzle se révèlent et l'atroce vérité avec...
La mise en scène maîtrisée se met donc totalement au service d'un scénario malin et alambiqué et l'interprétation des deux héroïnes est convaincante. La présence de Mylène Farmer au casting est plus une curiosité qu'un atout majeur, pas qu'elle joue mal mais son rôle n'est finalement que peu présent à l'écran. Le rythme est maîtrisé lui aussi, passé les scènes d'introduction, on est plongé dans ce cauchemar (tortures, viols, meurtres) et on en ressort... Enthousiaste ! Bon film méritant les récompenses qu'il a obtenu.
Ici, on nous présente une famille monoparentale, une mère et ses deux filles, qui emménage dans une maison venant d'un héritage. Dès la première nuit, elles se font attaquer par des tueurs recherchés... Des années plus tard, la mère vit toujours dans cette maison avec l'une de ses filles qui s'enfonce dans une violente paranoïa. L'autre sœur est devenue une romancière à succès. Cette dernière décide d'y retourner pour aider sa sœur...
Le film effraie et met mal-à-l'aise grâce aux moyens classiques (jump scares, méchants sadiques et monstrueux jusque dans leurs aspects, des poupées) mais il promène le spectateur dans des flash-back, dans l'onirisme et le perd dans des réalités différentes. Très rapidement, on se demande ce qui nous est montré, rêves, réalités, passé, présent ? Par plusieurs twists, les pièces du puzzle se révèlent et l'atroce vérité avec...
La mise en scène maîtrisée se met donc totalement au service d'un scénario malin et alambiqué et l'interprétation des deux héroïnes est convaincante. La présence de Mylène Farmer au casting est plus une curiosité qu'un atout majeur, pas qu'elle joue mal mais son rôle n'est finalement que peu présent à l'écran. Le rythme est maîtrisé lui aussi, passé les scènes d'introduction, on est plongé dans ce cauchemar (tortures, viols, meurtres) et on en ressort... Enthousiaste ! Bon film méritant les récompenses qu'il a obtenu.
Admiratif des récits de Lovecraft, ma surprise fut totale au tout début de ce film. La barre était fixée,
spoiler:
je savais que la folie serait au RDV
, je ne pouvais en attendre moins avec une telle entrée en matière. Et puis, doucement, l'ennui s'est installé. À chaque sursaut de musique, ou d'irruption d'un personnage, censés me faire sursauter à mon tour, je me disais "évidemment", sans bouger l'ombre d'un cil. spoiler: Mis à part ce coup de masse dans la porte peut-être.
Au fur et à mesure que le scénario avançait, mon envie de faire autre chose prenait de l'ampleur. Je ne saisissais pas pourquoi spoiler: ces filles s'obstinaient à hurler (belles cordes vocales au passage), alors que je sentais dans les yeux de Beth une vengeance, qui quelque part m'animait aussi
. Rien ne se passait. À part des cris. Des pleurs. spoiler: Être là, spectateur d'un jeu dégoûtant entre un boulimique et une poupée.
Un effet qui se voulait être d'impuissance et qui se transformait plus en frustration. Ce n'est pas le scénario que j'imaginais.
Jusqu'au moment où la folie entre en scène pour de vrai. spoiler: Non celle des deux porcs, défiguré et grimé, Glouton et Luxure, qui bizarrement se trouvent excessivement persistants dans leur rôle banal de slasher; mais plutôt celle de Beth, qui tente de reprendre le dessus, de s'enfuir dans une réalité alternative tout aussi malsaine.
Voilà ce qui mérite de sauver Ghostland. Rester dans une folie protectrice, pendant que les pires horreurs arrivent ? Ou bien affronter ses peurs et se battre, quitte à en mourir, pour faire cesser ces pleurs ? Bien que le scénario ait choisi la voie classique spoiler: du "Happy Ending", si on peut appeler ça comme ça, et a entièrement détruit tout le potentiel du film
; l'exercice de la folie à la Lovecraft est loin d'être simple. Pascal Laugier s'en est approché brièvement. C'est un bon début.
, je ne pouvais en attendre moins avec une telle entrée en matière. Et puis, doucement, l'ennui s'est installé. À chaque sursaut de musique, ou d'irruption d'un personnage, censés me faire sursauter à mon tour, je me disais "évidemment", sans bouger l'ombre d'un cil. spoiler: Mis à part ce coup de masse dans la porte peut-être.
Au fur et à mesure que le scénario avançait, mon envie de faire autre chose prenait de l'ampleur. Je ne saisissais pas pourquoi spoiler: ces filles s'obstinaient à hurler (belles cordes vocales au passage), alors que je sentais dans les yeux de Beth une vengeance, qui quelque part m'animait aussi
. Rien ne se passait. À part des cris. Des pleurs. spoiler: Être là, spectateur d'un jeu dégoûtant entre un boulimique et une poupée.
Un effet qui se voulait être d'impuissance et qui se transformait plus en frustration. Ce n'est pas le scénario que j'imaginais.
Jusqu'au moment où la folie entre en scène pour de vrai. spoiler: Non celle des deux porcs, défiguré et grimé, Glouton et Luxure, qui bizarrement se trouvent excessivement persistants dans leur rôle banal de slasher; mais plutôt celle de Beth, qui tente de reprendre le dessus, de s'enfuir dans une réalité alternative tout aussi malsaine.
Voilà ce qui mérite de sauver Ghostland. Rester dans une folie protectrice, pendant que les pires horreurs arrivent ? Ou bien affronter ses peurs et se battre, quitte à en mourir, pour faire cesser ces pleurs ? Bien que le scénario ait choisi la voie classique spoiler: du "Happy Ending", si on peut appeler ça comme ça, et a entièrement détruit tout le potentiel du film
; l'exercice de la folie à la Lovecraft est loin d'être simple. Pascal Laugier s'en est approché brièvement. C'est un bon début.
Film d'horreur qui aura eu plusieurs récompenses au 25ème festival fantastique de Gérardmer (Grand Prix, Prix du Public et Prix du Jury SYFY), "Ghostland" est tout simplement le troisième chef-d'oeuvre de Pascal Laugier, les deux autres étant "Martyrs" et "The Secret". La mise en scène est d'une redoutable efficacité, l'atmosphère malsaine et éprouvante, le scénario qui est super bien construit comporte énormément de rebondissements (celui qui se situe au milieu de l'intrigue est tout simplement mémorable), tandis que la musique et la bande-son apportent une bonne dose d'angoisse. Quant au casting, il est tout simplement parfait, notamment les comédiennes qui sont totalement investies dans leurs personnages qui sont par ailleurs très bien écrits. "Ghostland" est donc une oeuvre particulièrement marquante et s'impose comme l'un des meilleurs films d'horreur de ces dernières années.
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