Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet
Le tour de force formel et narratif dissimule alors un autoportrait mélancolique et saisissant, basculant progressivement de l’exercice virtuose vers la grande œuvre horrifique dense et retorse. Chapeau bas.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Elle
par La Rédaction
On en tremble, mais on adore !
La critique complète est disponible sur le site Elle
aVoir-aLire.com
par Pierre Vedral
Pascal Laugier se surpasse avec ce qui apparaît être indéniablement une nouvelle date dans l’horreur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Axel Scoffier
Avec comme tête d’affiche Mylène Farmer en mère de deux filles séquestrées par de monstrueux tortionnaires, Ghostland s’inscrit dans la généalogie d’une esthétique horrifique américaine à laquelle il rend hommage (Lovecraft, Carpenter, Rob Zombie…) tout en élaborant, autour d’un scénario malin, un torture porn malsain à souhait.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Inattendu, radical et poétique, "Ghostland" attrape le spectateur à la gorge pour le plonger dans une abîme intime et cauchemardesque, dont il ne ressortira pas indemne.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Ecran Fantastique
par Loris Hantzis
Aussi éreintant que sensible et touchant dans sa peinture d'une adolescence bouleversée par I'anéantissement de la cellule familiale, ce métrage unique et profondément original prouve une nouvelle fois que son auteur compte parmi les plus éminents représentants d'un cinéma de genre audacieux et radical.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Certes, le scénario est du déjà-vu, mais le film se singularise par sa construction virtuose, ses ellipses, et sa manière retorse de souffler le chaud et le froid sur ses héroïnes broyées par des monstres ignobles.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
LCI
par Romain Le Vern
En d'autres termes, c'est du cinéma offensif et rêche, sale et mal élevé qui donne le bâton pour se faire battre et gratte ce qui doit être gratté.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Monde
par Jean-François Rauger
Pascal Laugier renouvelle le genre du film d’horreur en cultivant le doute chez le spectateur.
Le Parisien
par Michel Valentin
« Ghostland » a obtenu trois trophées, dont le Grand Prix, au festival du film fantastique de Gérardmer. C’est plus que mérité !
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Philippe Guedj
C'est tourné en anglais au Canada, certes, mais réalisé par un Français avec des capitaux en partie tricolores : cédez au frisson de ce train fantôme singulier, qui vous laissera sûrement plus de souvenirs qu'une virée à la foire du Trône.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Toujours aussi étrange et vicieux, le cinéma de Pascal Laugier gagne en noirceur avec ce nouvel essai redoutablement construit.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Mad Movies
par Gilles Esposito
(...) il est intéressant de voir "Ghostland" deux fois. À la première vision, on est bien sûr happés par la construction diabolique de son scénario et par sa violence râpeuse et dérangeante. Mais à la seconde, le film s’avère vraiment émouvant, et on se surprend à verser une larme. Aussi amère que soit cette larme.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Positif
par Philippe Rouyer
Car au-delà des effets chocs (les jump scares qui s’enchaînent), "Ghostland" entretient un malaise qui ne se dissipe pas totalement après la projection.
L'Obs
par François Forestier
Pascal Laugier ("Martyrs", 2008) prend un pied d'acier à jouer sur nos nerfs et bénéficie de la présence de Mylène Farmer en scream queen. Il y a là une flamme qui traverse le film, et, si on est dans le bon mood, c'est très réussi.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Alexandre Bustillo
Pascal Laugier synthétise à travers ce "Ghostland" toutes les obsessions de ses précédents films.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
N’en disons pas plus : au bout de cinquante minutes, Pascal Laugier déstructure son récit, revisite habilement les figures imposées (les poupées) et assume une horreur radicale dénuée de second degré. Et rehaussée d’un questionnement ultime sur les douleurs qui peuvent alimenter une œuvre en devenir.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Surpassant son controversé "Martyrs", Pascal Laugier redistribue les cartes d'une façon tellement retorse qu'on est emporté par la puissance du processus.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Maître des films d’épouvante, Pascal Laugier signe un "Ghostland" qui saura vous coller au siège.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Gaël Golhen
On pourra reprocher au film ses (trop) nombreux twists, ses effets parfois faciles et son jusqu’au-boutisme, mais, agréable ou pas, Ghostland est un ride que le grand écran ne procure plus que trop rarement.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
La création s’enfièvre au fil d’un récit sophistiqué qui suit brillamment la logique du cauchemar. Même la présence de Mylène Farmer, dans le rôle de la mère, devient jeu de miroir troublant : la chanteuse apporte dans Ghostland son étrangeté de femme-enfant qui ne pourrait accoucher que de poupées de porcelaine, à son image.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Un huis-clos éprouvant et monstrueux, fidèle au film de genre qu'affectionne le réalisateur de "Martyrs".
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
La construction du film se plaît à jouer des fausses pistes à répétition, avec de constants allers-retours entre passé et présent, pour aboutir à une certaine confusion scénaristique lassante, au lieu de susciter la participation du spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Christophe Carrière
Ce qui est incontestable, c'est le savoir-faire de Pascal Laugier. (...) Le souci, de taille, réside dans le scénario.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Interdit aux moins de 16 ans, ce film malsain, qui ratisse large les recoins les plus glauques, a récolté trois prix à Gérardmer.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Libération
par Anne Diatkine
Univers baroque, poupées flippantes, casting racoleur : le film de Pascal Laugier s’évertue à générer de l’épouvante mais laisse de marbre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Le film accumule toutes les horreurs : crime, viol, pédophilie, violence gratuite, fétichisme, torture psychologique, folie...
Culturopoing.com
Le tour de force formel et narratif dissimule alors un autoportrait mélancolique et saisissant, basculant progressivement de l’exercice virtuose vers la grande œuvre horrifique dense et retorse. Chapeau bas.
Elle
On en tremble, mais on adore !
aVoir-aLire.com
Pascal Laugier se surpasse avec ce qui apparaît être indéniablement une nouvelle date dans l’horreur.
Critikat.com
Avec comme tête d’affiche Mylène Farmer en mère de deux filles séquestrées par de monstrueux tortionnaires, Ghostland s’inscrit dans la généalogie d’une esthétique horrifique américaine à laquelle il rend hommage (Lovecraft, Carpenter, Rob Zombie…) tout en élaborant, autour d’un scénario malin, un torture porn malsain à souhait.
Ecran Large
Inattendu, radical et poétique, "Ghostland" attrape le spectateur à la gorge pour le plonger dans une abîme intime et cauchemardesque, dont il ne ressortira pas indemne.
L'Ecran Fantastique
Aussi éreintant que sensible et touchant dans sa peinture d'une adolescence bouleversée par I'anéantissement de la cellule familiale, ce métrage unique et profondément original prouve une nouvelle fois que son auteur compte parmi les plus éminents représentants d'un cinéma de genre audacieux et radical.
L'Humanité
Certes, le scénario est du déjà-vu, mais le film se singularise par sa construction virtuose, ses ellipses, et sa manière retorse de souffler le chaud et le froid sur ses héroïnes broyées par des monstres ignobles.
LCI
En d'autres termes, c'est du cinéma offensif et rêche, sale et mal élevé qui donne le bâton pour se faire battre et gratte ce qui doit être gratté.
Le Monde
Pascal Laugier renouvelle le genre du film d’horreur en cultivant le doute chez le spectateur.
Le Parisien
« Ghostland » a obtenu trois trophées, dont le Grand Prix, au festival du film fantastique de Gérardmer. C’est plus que mérité !
Le Point
C'est tourné en anglais au Canada, certes, mais réalisé par un Français avec des capitaux en partie tricolores : cédez au frisson de ce train fantôme singulier, qui vous laissera sûrement plus de souvenirs qu'une virée à la foire du Trône.
Les Fiches du Cinéma
Toujours aussi étrange et vicieux, le cinéma de Pascal Laugier gagne en noirceur avec ce nouvel essai redoutablement construit.
Mad Movies
(...) il est intéressant de voir "Ghostland" deux fois. À la première vision, on est bien sûr happés par la construction diabolique de son scénario et par sa violence râpeuse et dérangeante. Mais à la seconde, le film s’avère vraiment émouvant, et on se surprend à verser une larme. Aussi amère que soit cette larme.
Positif
Car au-delà des effets chocs (les jump scares qui s’enchaînent), "Ghostland" entretient un malaise qui ne se dissipe pas totalement après la projection.
L'Obs
Pascal Laugier ("Martyrs", 2008) prend un pied d'acier à jouer sur nos nerfs et bénéficie de la présence de Mylène Farmer en scream queen. Il y a là une flamme qui traverse le film, et, si on est dans le bon mood, c'est très réussi.
La Septième Obsession
Pascal Laugier synthétise à travers ce "Ghostland" toutes les obsessions de ses précédents films.
La Voix du Nord
N’en disons pas plus : au bout de cinquante minutes, Pascal Laugier déstructure son récit, revisite habilement les figures imposées (les poupées) et assume une horreur radicale dénuée de second degré. Et rehaussée d’un questionnement ultime sur les douleurs qui peuvent alimenter une œuvre en devenir.
Les Inrockuptibles
Surpassant son controversé "Martyrs", Pascal Laugier redistribue les cartes d'une façon tellement retorse qu'on est emporté par la puissance du processus.
Paris Match
Maître des films d’épouvante, Pascal Laugier signe un "Ghostland" qui saura vous coller au siège.
Première
On pourra reprocher au film ses (trop) nombreux twists, ses effets parfois faciles et son jusqu’au-boutisme, mais, agréable ou pas, Ghostland est un ride que le grand écran ne procure plus que trop rarement.
Télérama
La création s’enfièvre au fil d’un récit sophistiqué qui suit brillamment la logique du cauchemar. Même la présence de Mylène Farmer, dans le rôle de la mère, devient jeu de miroir troublant : la chanteuse apporte dans Ghostland son étrangeté de femme-enfant qui ne pourrait accoucher que de poupées de porcelaine, à son image.
Voici
Un huis-clos éprouvant et monstrueux, fidèle au film de genre qu'affectionne le réalisateur de "Martyrs".
Franceinfo Culture
La construction du film se plaît à jouer des fausses pistes à répétition, avec de constants allers-retours entre passé et présent, pour aboutir à une certaine confusion scénaristique lassante, au lieu de susciter la participation du spectateur.
L'Express
Ce qui est incontestable, c'est le savoir-faire de Pascal Laugier. (...) Le souci, de taille, réside dans le scénario.
Sud Ouest
Interdit aux moins de 16 ans, ce film malsain, qui ratisse large les recoins les plus glauques, a récolté trois prix à Gérardmer.
Libération
Univers baroque, poupées flippantes, casting racoleur : le film de Pascal Laugier s’évertue à générer de l’épouvante mais laisse de marbre.
Ouest France
Le film accumule toutes les horreurs : crime, viol, pédophilie, violence gratuite, fétichisme, torture psychologique, folie...