Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Positif
par Eithne O'Neill
Ceci est un film fantastique. Ceci est un film réaliste. C'est un film drôle. C'est un film triste. Ceci est un film surréaliste, un film différent, à l'instar de son héroïne Natasha, 55 ans.
20 Minutes
par Caroline Vié
(une) fable fantastique, drôle et cruelle (...).
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Elle
par Anne Diatkine
"Zoologie" raconte une histoire d'amour aussi incroyable que sincère.
L'Express
par Christophe Carrière
Derrière l'étrange postulat du scénario, le film décrit le désarroi russe avec suffisamment de mordant pour subjuguer.
L'Humanité
par Dominique Widemann
Le surnaturel fonctionne d’autant mieux qu’il éprouve les normes. Désir, plaisir et autres jubilations ont leur part.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Pascal Mérigeau
"Zoologie" est une fable d’inspiration fantastique, enracinée dans une société gouvernée par la superstition et l’intolérance, et dont les hommes sont pour l’essentiel absents. Alors, singulier ? Oui, à tout le moins. Farceur ? Sans aucun doute. Convaincant ? Oui, étrangement. Inventif, gonflé, original et porté par une actrice magnifique, Natalya Pavlenkova.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Un récit darwiniste autant que caustique sur l’apparente évolution de la race humaine, qui offrirait enfin aux femmes ce que les hommes leur imposent comme soi-disant outil de domination.
Les Fiches du Cinéma
par Paul Fabreuil
Ivan I. Tverdovsky atteint souvent la force prosaïque du génial Marco Ferreri.
Transfuge
par Damien Aubel
(;..) une fable aussi contemporaine qu'intemporelle.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Incisif et décalé, ce récit insolite est un joli conte surréaliste et une dénonciation subtile des névroses de la société russe.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Maël Mubalegh
Au-delà du symbole et du McGuffin commodes, la queue de Natacha est érigée par le réalisateur en fétiche insurrectionnel qui, en introduisant un trouble dans le genre, permet à Tverdovsky de brouiller intelligemment les cartes.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par Elena Scappaticci
Natalya Pavlenkova, dans le rôle principal, épouse à merveille les étapes de cette mue vers la liberté. (...) Dommage que la force subversive de la fable soit gâchée par un dénouement en demi-teinte. Sans pour autant finir en queue de poisson.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Quelque part entre le drame social et la cocasserie fantas- tique, le mix imaginé par Tverdovsky, jeune réalisateur prometteur passé par le documentaire, apparaît plutôt habile et grinçant.
Studio Ciné Live
par Marion Raynaud
Cet ovni de cinéma explore intelligemment l'ambivalence du rapport à la norme.
Télérama
par Cécile Mury
Certaines séquences sont magistrales, comme cette scène de sexe, dans la cage vide d'un zoo. D'autres sont trop littérales : les passants, puis les danseurs d'une boîte de nuit, s'enfuient devant l'étrangeté de Natacha. On regrette que le film ne maintienne pas jusqu'au bout le degré de cruauté et de folie qu'il vise.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
La société russe, nous dit Tverdovsky, est avant tout une société infantilisante (…). À cet état d’infantilisation générale, le cinéaste oppose la puissance enfantine du conte fantastique. Malheureusement, le film dans sa deuxième partie perd de son mystère, et de malaisant devient malsain.
Le Monde
par Isabelle Regnier
Employée du zoo de la petite ville côtière russe où elle vit avec sa mère, Natasha, la cinquantaine, doit composer avec une queue, longue et pointue, qui lui a poussé dans le bas du dos, et qu’elle dissimule comme elle peut. La honte qu’elle éprouve dans un premier temps ne résiste pas longtemps aux puissances émancipatrices qu’éveille en elle cette animalité nouvellement triomphante.
Positif
Ceci est un film fantastique. Ceci est un film réaliste. C'est un film drôle. C'est un film triste. Ceci est un film surréaliste, un film différent, à l'instar de son héroïne Natasha, 55 ans.
20 Minutes
(une) fable fantastique, drôle et cruelle (...).
Elle
"Zoologie" raconte une histoire d'amour aussi incroyable que sincère.
L'Express
Derrière l'étrange postulat du scénario, le film décrit le désarroi russe avec suffisamment de mordant pour subjuguer.
L'Humanité
Le surnaturel fonctionne d’autant mieux qu’il éprouve les normes. Désir, plaisir et autres jubilations ont leur part.
L'Obs
"Zoologie" est une fable d’inspiration fantastique, enracinée dans une société gouvernée par la superstition et l’intolérance, et dont les hommes sont pour l’essentiel absents. Alors, singulier ? Oui, à tout le moins. Farceur ? Sans aucun doute. Convaincant ? Oui, étrangement. Inventif, gonflé, original et porté par une actrice magnifique, Natalya Pavlenkova.
La Septième Obsession
Un récit darwiniste autant que caustique sur l’apparente évolution de la race humaine, qui offrirait enfin aux femmes ce que les hommes leur imposent comme soi-disant outil de domination.
Les Fiches du Cinéma
Ivan I. Tverdovsky atteint souvent la force prosaïque du génial Marco Ferreri.
Transfuge
(;..) une fable aussi contemporaine qu'intemporelle.
aVoir-aLire.com
Incisif et décalé, ce récit insolite est un joli conte surréaliste et une dénonciation subtile des névroses de la société russe.
Critikat.com
Au-delà du symbole et du McGuffin commodes, la queue de Natacha est érigée par le réalisateur en fétiche insurrectionnel qui, en introduisant un trouble dans le genre, permet à Tverdovsky de brouiller intelligemment les cartes.
Le Figaro
Natalya Pavlenkova, dans le rôle principal, épouse à merveille les étapes de cette mue vers la liberté. (...) Dommage que la force subversive de la fable soit gâchée par un dénouement en demi-teinte. Sans pour autant finir en queue de poisson.
Le Journal du Dimanche
Quelque part entre le drame social et la cocasserie fantas- tique, le mix imaginé par Tverdovsky, jeune réalisateur prometteur passé par le documentaire, apparaît plutôt habile et grinçant.
Studio Ciné Live
Cet ovni de cinéma explore intelligemment l'ambivalence du rapport à la norme.
Télérama
Certaines séquences sont magistrales, comme cette scène de sexe, dans la cage vide d'un zoo. D'autres sont trop littérales : les passants, puis les danseurs d'une boîte de nuit, s'enfuient devant l'étrangeté de Natacha. On regrette que le film ne maintienne pas jusqu'au bout le degré de cruauté et de folie qu'il vise.
Cahiers du Cinéma
La société russe, nous dit Tverdovsky, est avant tout une société infantilisante (…). À cet état d’infantilisation générale, le cinéaste oppose la puissance enfantine du conte fantastique. Malheureusement, le film dans sa deuxième partie perd de son mystère, et de malaisant devient malsain.
Le Monde
Employée du zoo de la petite ville côtière russe où elle vit avec sa mère, Natasha, la cinquantaine, doit composer avec une queue, longue et pointue, qui lui a poussé dans le bas du dos, et qu’elle dissimule comme elle peut. La honte qu’elle éprouve dans un premier temps ne résiste pas longtemps aux puissances émancipatrices qu’éveille en elle cette animalité nouvellement triomphante.