Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
L'Humanité
par Maxime Lerolle
Ali, la chèvre & Ibrahim se montre à la fois joyeux et sarcastique, à l’image du très drôle premier plan : un long plan-séquence en caméra à l’épaule fixe un ours en peluche rose promené dans les rues du Caire sous les regards amusés des passants.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
L’humour et la mélancolie font bon ménage dans ce road-movie où l’amitié et le voyage pansent les blessures que la vie a infligées à ses protagonistes égarés qui partent à la recherche d’eux-mêmes. Le réalisateur signe un premier film émouvant qui se distingue par sa finesse et son originalité. Les deux comédiens y sont formidables.
Télérama
par Cécile Mury
Filmés entre dure réalité et rêverie douce, les comédiens Ali Sobhy et Ahmed Magdy se complètent avec grâce. Ce duo paumé, inspiré, déborde de tendresse et de poésie loufoque, sans jamais forcer le trait. Déguisée en road-movie, une vraie aventure intérieure.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
par Isabelle Danel
Les secrets familiaux, les malédictions réelles ou supposées, et une audace dans la façon de pousser toutes les situations à bout transforment Ali, la chèvre et Ibrahim en une tragicomédie atypique pleine de ruptures de tons et de surprises.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Pierre Guiho
Sherif El Bendary choisit la fable pour peindre les relations conflictuelles qu'il entretient avec Le Caire. En cela, son film témoigne de l'Egypte d’aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par François Forestier
Premier film de Sherif El Bendary, professeur à l’Académie des Arts et du Cinéma du Caire, cette comédie un peu surréaliste panache l’humour, l’absurde et l’émotion. C’est charmant et sympathique. El Bendary tourne actuellement une série sur les Frères musulmans ; on l’attend avec curiosité.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Marie Soyeux
Si le film n’évite pas nombre d’ornières (dialogues faibles et progression cahotante), ses deux héros sont pleins d’intérêt.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par La Rédaction
Ali l'entreprend avec Ibrahim (Ahmed Magdy), un ingénieur du son qui souffre d'acouphènes. Ce duo bancal au fort potentiel burlesque rappelle celui de "La Chèvre" de Francis Veber avec Gérard Depardieu et Pierre Richard.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Positif
par Fabien Baumann
Sherif El Bendari ne réussit pas entièrement son passage au long-métrage. L'intrigue traînaille et le sentiment l'emporte trop souvent sur l'ironie, mais le tableau absurde que le cinéaste dresse de son pays amuse, séduit, réconforte.
aVoir-aLire.com
par Jérémy Gallet
Si les deux protagonistes bifurquent vers des chemins plus caillouteux, ce premier film ne quitte jamais l’autoroute du récit initiatique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une comédie vagabonde et gentiment cocasse, qui se fraie laborieusement sa voie entre conte à l’orientale et chronique sociale.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Malgré ces bonnes intentions, cette comédie dramatique post révolution égyptienne pèche par sa mise en scène trop éparpillée.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Marcos Uzal
Tout ce qui apparaît d’abord comme gentiment bizarre ou libérateur se révèle être lourdement symbolique, réducteur et, pour employer un grand mot, bien tartignole.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Humanité
Ali, la chèvre & Ibrahim se montre à la fois joyeux et sarcastique, à l’image du très drôle premier plan : un long plan-séquence en caméra à l’épaule fixe un ours en peluche rose promené dans les rues du Caire sous les regards amusés des passants.
Le Journal du Dimanche
L’humour et la mélancolie font bon ménage dans ce road-movie où l’amitié et le voyage pansent les blessures que la vie a infligées à ses protagonistes égarés qui partent à la recherche d’eux-mêmes. Le réalisateur signe un premier film émouvant qui se distingue par sa finesse et son originalité. Les deux comédiens y sont formidables.
Télérama
Filmés entre dure réalité et rêverie douce, les comédiens Ali Sobhy et Ahmed Magdy se complètent avec grâce. Ce duo paumé, inspiré, déborde de tendresse et de poésie loufoque, sans jamais forcer le trait. Déguisée en road-movie, une vraie aventure intérieure.
Bande à part
Les secrets familiaux, les malédictions réelles ou supposées, et une audace dans la façon de pousser toutes les situations à bout transforment Ali, la chèvre et Ibrahim en une tragicomédie atypique pleine de ruptures de tons et de surprises.
Culturopoing.com
Sherif El Bendary choisit la fable pour peindre les relations conflictuelles qu'il entretient avec Le Caire. En cela, son film témoigne de l'Egypte d’aujourd'hui.
L'Obs
Premier film de Sherif El Bendary, professeur à l’Académie des Arts et du Cinéma du Caire, cette comédie un peu surréaliste panache l’humour, l’absurde et l’émotion. C’est charmant et sympathique. El Bendary tourne actuellement une série sur les Frères musulmans ; on l’attend avec curiosité.
La Croix
Si le film n’évite pas nombre d’ornières (dialogues faibles et progression cahotante), ses deux héros sont pleins d’intérêt.
Le Figaro
Ali l'entreprend avec Ibrahim (Ahmed Magdy), un ingénieur du son qui souffre d'acouphènes. Ce duo bancal au fort potentiel burlesque rappelle celui de "La Chèvre" de Francis Veber avec Gérard Depardieu et Pierre Richard.
Positif
Sherif El Bendari ne réussit pas entièrement son passage au long-métrage. L'intrigue traînaille et le sentiment l'emporte trop souvent sur l'ironie, mais le tableau absurde que le cinéaste dresse de son pays amuse, séduit, réconforte.
aVoir-aLire.com
Si les deux protagonistes bifurquent vers des chemins plus caillouteux, ce premier film ne quitte jamais l’autoroute du récit initiatique.
Le Dauphiné Libéré
Une comédie vagabonde et gentiment cocasse, qui se fraie laborieusement sa voie entre conte à l’orientale et chronique sociale.
Le Monde
Malgré ces bonnes intentions, cette comédie dramatique post révolution égyptienne pèche par sa mise en scène trop éparpillée.
Libération
Tout ce qui apparaît d’abord comme gentiment bizarre ou libérateur se révèle être lourdement symbolique, réducteur et, pour employer un grand mot, bien tartignole.