Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Première sélection cannoise d’un Japonais à suivre ("Au revoir l’été", "Sayonara") et fan de Rohmer, ce drame moral combine péripéties éprouvantes et réalisme de haute tenue. Les comédiens, dont l’élégant Tadanobu Asano, qui vient de tourner avec Martin Scorsese, sont magistraux.
Culturopoing.com
par Tomomi Suzuki
La structure du récit est complexe, mais subtile. La narration est assez elliptique. (...). Les personnages semblent retenir leur réel ressenti au fond de leur cœur. L’intemporalité des lieux (quartier mi-résidentiel et mi-industriel, rivière, église) donne une dimension universelle au récit.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Prix du jury de la sélection Un certain regard à Cannes, "Harmonium" distille l’étrangeté d’un quotidien bousculé, perturbé jusqu’au trauma.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Eric Libiot
On peut certes reprocher deux ou trois facilités de scénario, mais le maillage dramatique tient le coup et l'émotion naît souvent d'une scène inattendue. La réalisation est sèche et les dérives fantastiques n'en sont que plus surprenantes. A découvrir.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Dominique Widemann
Avec ce quatrième film, "Harmonium", le japonais Koji Fukada explore les tréfonds de l’âme humaine au prisme de la structure familiale. Un thriller psychologique au-delà du bien et du mal.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film dont la lenteur explose devant la fulgurance du drame, posant la question de la violence en la lestant du poids intime de la faute.
Le Monde
par jean-françois rauger
"Harmonium" est remarquable par les choix de mise en scène de Fukada.
Les Fiches du Cinéma
par Valentine Verhague
À travers ce drame familial, Kôji Fukada sonde les affres des relations humaines avec une délicatesse bouleversante.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Une vision radicale et désespérée du monde que Fukuada assume sans hésitation jusqu'à la fin de son récit, avec une cohérence qui glace les sangs.
Ouest France
par La Rédaction
Vengeance, culpabilité et solitude, pour un thriller fascinant.
Positif
par Élise Domenach
Mariko Tsutsui excelle dans l'incarnation du malheur de cette femme de foi protestante brisée, tour à tour retenue, passionnée et délirante, prise dans l'étau de la culpabilité.
Première
par Gérard Delorme
Le titre original, qui signifie "au bord du gouffre", reflète la philosophie du cinéaste qui consiste à s'approcher au plus près de son sujet, en évitant de tomber dedans. Sans l'ombre d'un doute, le résultat donne le vertige.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Le montage manie l'ellipse avec intelligence et parvient à débusquer les émotions au plus profond des êtres. Une réussite.
Transfuge
par Élise Lépine
Cinéaste du détail, Kôji Fukada filme le diable à l'oeuvre dans un huis-clos glaçant, tout en lenteur et en brutalité.
Télérama
par Jacques Morice
Le cinéaste a lui-même écrit cette histoire tarabiscotée, à la violence sourde, révélatrice de rancoeurs effrayantes. La vision qu'il offre de la famille est cinglante à souhait. Mais non dénuée d'empathie pour les solitudes qui la constituent.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Prisonnier de son écriture en deux temps, Fukada semble abandonner ses personnages à l’arbitraire du récit – sa portée s’en trouve brutalement amoindrie. Dommage car celui-ci s’avançait pourtant avec une certaine élégance.
Critikat.com
par Raphaëlle Pireyre
Fukada peine à faire entrer la noirceur pessimiste et destructrice dans le portrait du bonheur familial.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Lent et dense, ce long-métrage séduit par son étrangeté et celle de ses personnages dont, au fil du récit, on parvient à comprendre la logique. Fantomatique, Yakasa, raide comme la mort et tout vêtu de blanc, incarne le retour du passé, avec son lot de secrets et de culpabilité.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Claire Micallef
Ce thriller intimiste très prenant compense la lourdeur de ses événements par la légèreté et la précision du trait.
Libération
par Julien Gester
Malgré quelques lourdeurs, Koji Fukada dépeint de manière feutrée l’arrivée d’un ami ex-taulard dans une famille moins sereine qu’il n’y paraît.
La critique complète est disponible sur le site Libération
VSD
par Bernard Achour
Un invité parasite fait imploser une famille. Flippant.
Le Journal du Dimanche
Première sélection cannoise d’un Japonais à suivre ("Au revoir l’été", "Sayonara") et fan de Rohmer, ce drame moral combine péripéties éprouvantes et réalisme de haute tenue. Les comédiens, dont l’élégant Tadanobu Asano, qui vient de tourner avec Martin Scorsese, sont magistraux.
Culturopoing.com
La structure du récit est complexe, mais subtile. La narration est assez elliptique. (...). Les personnages semblent retenir leur réel ressenti au fond de leur cœur. L’intemporalité des lieux (quartier mi-résidentiel et mi-industriel, rivière, église) donne une dimension universelle au récit.
Franceinfo Culture
Prix du jury de la sélection Un certain regard à Cannes, "Harmonium" distille l’étrangeté d’un quotidien bousculé, perturbé jusqu’au trauma.
L'Express
On peut certes reprocher deux ou trois facilités de scénario, mais le maillage dramatique tient le coup et l'émotion naît souvent d'une scène inattendue. La réalisation est sèche et les dérives fantastiques n'en sont que plus surprenantes. A découvrir.
L'Humanité
Avec ce quatrième film, "Harmonium", le japonais Koji Fukada explore les tréfonds de l’âme humaine au prisme de la structure familiale. Un thriller psychologique au-delà du bien et du mal.
Le Dauphiné Libéré
Un film dont la lenteur explose devant la fulgurance du drame, posant la question de la violence en la lestant du poids intime de la faute.
Le Monde
"Harmonium" est remarquable par les choix de mise en scène de Fukada.
Les Fiches du Cinéma
À travers ce drame familial, Kôji Fukada sonde les affres des relations humaines avec une délicatesse bouleversante.
Les Inrockuptibles
Une vision radicale et désespérée du monde que Fukuada assume sans hésitation jusqu'à la fin de son récit, avec une cohérence qui glace les sangs.
Ouest France
Vengeance, culpabilité et solitude, pour un thriller fascinant.
Positif
Mariko Tsutsui excelle dans l'incarnation du malheur de cette femme de foi protestante brisée, tour à tour retenue, passionnée et délirante, prise dans l'étau de la culpabilité.
Première
Le titre original, qui signifie "au bord du gouffre", reflète la philosophie du cinéaste qui consiste à s'approcher au plus près de son sujet, en évitant de tomber dedans. Sans l'ombre d'un doute, le résultat donne le vertige.
Studio Ciné Live
Le montage manie l'ellipse avec intelligence et parvient à débusquer les émotions au plus profond des êtres. Une réussite.
Transfuge
Cinéaste du détail, Kôji Fukada filme le diable à l'oeuvre dans un huis-clos glaçant, tout en lenteur et en brutalité.
Télérama
Le cinéaste a lui-même écrit cette histoire tarabiscotée, à la violence sourde, révélatrice de rancoeurs effrayantes. La vision qu'il offre de la famille est cinglante à souhait. Mais non dénuée d'empathie pour les solitudes qui la constituent.
Cahiers du Cinéma
Prisonnier de son écriture en deux temps, Fukada semble abandonner ses personnages à l’arbitraire du récit – sa portée s’en trouve brutalement amoindrie. Dommage car celui-ci s’avançait pourtant avec une certaine élégance.
Critikat.com
Fukada peine à faire entrer la noirceur pessimiste et destructrice dans le portrait du bonheur familial.
La Croix
Lent et dense, ce long-métrage séduit par son étrangeté et celle de ses personnages dont, au fil du récit, on parvient à comprendre la logique. Fantomatique, Yakasa, raide comme la mort et tout vêtu de blanc, incarne le retour du passé, avec son lot de secrets et de culpabilité.
La Septième Obsession
Ce thriller intimiste très prenant compense la lourdeur de ses événements par la légèreté et la précision du trait.
Libération
Malgré quelques lourdeurs, Koji Fukada dépeint de manière feutrée l’arrivée d’un ami ex-taulard dans une famille moins sereine qu’il n’y paraît.
VSD
Un invité parasite fait imploser une famille. Flippant.