Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
Bande à part
par Olivier Bombarda
Ce cinéma surnaturel, on le reçoit cinq sur cinq.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Stéphane du Mesnildot
Les Garçons sauvages est nacré comme une perle, blanc comme le sperme et noir comme le sang, étincelant comme un diamant, et traversé d’éclats technicolors sidérants.
Culturopoing.com
par Sophie Yavari
Avec "Les Garçons sauvages", Bertrand Mandico ouvre la voie à un cinéma pulsionnel et onirique, romantique et punk.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Tout en nous racontant une histoire dans le creux de l’oreille, Bertrand Mandico nous enveloppe de somptueuses hallucinations visuelles. Le beau bizarre dans toute sa splendeur.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Un tourbillon de liberté, d’aventure, de poésie et d’érotisme.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marcos Uzal
C’est une fausse histoire de pirates, dont le trésor serait le film. Certes, un trésor de contrefaçons et de bijoux en toc, mais qui brillent d’un éclat enivrant et lascif.
La critique complète est disponible sur le site Libération
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
En guise de premier long-métrage, Bertrand Mandico nous offre une épopée au cœur d’une imagerie aussi gothique que queer. Ce travail sur les corps et les désirs ne plaira pas aux censeurs de Civitas... une raison de plus d’en faire un film culte !
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Cette féerie baroque aux accents décadents révèle un talent tapi depuis presque vingt ans dans l’ombre des courts métrages : Bertrand Mandico, le plus fou et sensuel des nouveaux conteurs, totalement obsédé, archi-cinéphile.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Un premier long-métrage en incessant trompe-l'œil et volutes incandescentes, coup d'essai prometteur d'un auteur repéré depuis longtemps pour ses films courts.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Étienne Marchand
Au-delà d’incarner la réussite éclatante d’un projet à la grande ambition technique, "Les Garçons Sauvages" marque une étape déterminante dans l’évolution d’une filmographie en marge du cinéma français. Un film rêveur et précieux, dont l’embrun hallucinatoire n’est pas près de s’estomper.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Le réalisateur parvient à embarquer le spectateur dans son histoire dense et romanesque, à l’envoûter avec sa poésie érotisante et ses images agissant comme des paroles incantatoires. Une claque.
Le Monde
par Mathieu Macheret
La forme baroque du film n’est, en elle-même, qu’une grande montée de sève : poudroiements, surimpressions, passages instantanés à la couleur, rétroprojections, bricolages visuels… Autant de procédés primitifs, réalisés à même le plateau, qui font revivre la candeur et la poésie illusionniste du cinéma muet.
Mad Movies
par Gilles Esposito
"Les Garçons sauvages" est donc un film transgenre à tous les sens du terme. C'est-à-dire qu'en plus de malaxer les repères sexuels, il malaxe aussi les catégories cinématographiques pour créer un style et un univers qui n'appartient qu'à lui, mais dont chaque spectateur (...) aurait bien tort de se priver.
Paris Match
par Karelle Fitoussi
POUR : Dans un cinéma français de plus en plus frileux, ce véritable champignon hallucinogène, sur fond de Nina Hagen, est une claque esthétique, transgenre, hystérique, d’une liberté rare.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Yann Tobin
Le cinéma ébouriffant de Mandico n'a besoin ni de références, ni d'explications pour déployer sa magie. Simplement d'un peu de disponibilité de notre part. Ne serait-ce que par curiosité, la moindre des choses serait de la lui accorder.
Première
par Eric Vernay
Mais ne pinaillons pas, ce conte pour adultes séduit le plus souvent, singulier malgré un faisceau d’influences bigarrées, littéralement brillant - on se croirait dans une joaillerie - avec pour évident trésor, ses scintillantes actrices.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
La grande force de Bertrand Mandico dont « Les garçons sauvages » est le premier long-métrage, vient de sa maîtrise formelle qui lui permet de bâtir un monde en soi, un monde personnel et pourtant abreuvé de références, un monde féérique où d’Homère à Ovide en passant par Peter Brook ou Cocteau, toute une poésie du corps et du désir déferle somptueusement.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Jacques Morice
Noir et blanc luisant, personnages romanesques, imaginaire foisonnant de fantasmagorie : Les Garçons sauvages s’annonce d’emblée comme différent. Amateurs de collages et d’assemblages, de rêves éveillés et de poésie vénéneuse, ce film est pour vous…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Thomas Choury
De l'inventivité certaine et réjouissante du début il ne reste, à la fin, qu'une esthétique quelque peu précieuse et chichiteuse. Comme si les deux heures de projection n'avaient été qu'une lente fanaison, à rebours du bourgeonnement attendu.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Lino Cassinat
On ne demandait qu'à l'aimer, on a du mal à rentrer dans cette fantasmagorie. Mais la simple existence de ce film si particulier est déjà une source de joie, et il mérite que les plus hardis et les plus rêveurs tentent leur chance, ils pourraient y trouver magnifiquement leur bonheur. Cependant, n'oubliez pas de déposer votre cerveau à l'entrée de la salle, et laissez vous porter sans trop vous poser de questions dans ce somptueux bain de plastique argentique. Sinon, ça va être difficile à vivre.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un délire post-ado rimbaldo-romantique, dans un récit d'aventures nourri de références cinématographiques et cultivant une esthétique baroque du grouillement et de la métamorphose, où se développe un imaginaire branche sur l'air transgressif et transgénérique du temps.
Voici
par Lola Sciamma
Un trip transgenre purement sensoriel, avec des images choc à la beauté poétique et transgressive.
Transfuge
par Jean-Christophe Ferrari
(...) ce tohu-bohu de références n’accouche que d’un exercice de style vain et appliqué.
L'Ecran Fantastique
par Yann Lebecque
(...) un métrage interminable à force de premier degré involontairement burlesque alourdi de répliques aussi stupides que "l'espérance est un bonheur presque égal au bonheur".
Le Figaro
par La Rédaction
Interdit aux moins de 12 ans, ce film dont l'intérêt nous échappe emprunte avec complaisance des esthétiques démodées.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Direction d’acteurs catastrophique, métaphores sexuelles ridicules… Ce film nous a épuisés.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Paris Match
par Fabrice Leclerc
CONTRE : De cette odyssée érotico-onirique où une bande de jeunes voyous sont repris en main avant de se révolter, on retiendra l’énorme vacuité d’un propos emballé dans un noir et blanc tape-à-l’œil.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Bande à part
Ce cinéma surnaturel, on le reçoit cinq sur cinq.
Cahiers du Cinéma
Les Garçons sauvages est nacré comme une perle, blanc comme le sperme et noir comme le sang, étincelant comme un diamant, et traversé d’éclats technicolors sidérants.
Culturopoing.com
Avec "Les Garçons sauvages", Bertrand Mandico ouvre la voie à un cinéma pulsionnel et onirique, romantique et punk.
Les Fiches du Cinéma
Tout en nous racontant une histoire dans le creux de l’oreille, Bertrand Mandico nous enveloppe de somptueuses hallucinations visuelles. Le beau bizarre dans toute sa splendeur.
Les Inrockuptibles
Un tourbillon de liberté, d’aventure, de poésie et d’érotisme.
Libération
C’est une fausse histoire de pirates, dont le trésor serait le film. Certes, un trésor de contrefaçons et de bijoux en toc, mais qui brillent d’un éclat enivrant et lascif.
aVoir-aLire.com
En guise de premier long-métrage, Bertrand Mandico nous offre une épopée au cœur d’une imagerie aussi gothique que queer. Ce travail sur les corps et les désirs ne plaira pas aux censeurs de Civitas... une raison de plus d’en faire un film culte !
L'Humanité
Cette féerie baroque aux accents décadents révèle un talent tapi depuis presque vingt ans dans l’ombre des courts métrages : Bertrand Mandico, le plus fou et sensuel des nouveaux conteurs, totalement obsédé, archi-cinéphile.
L'Obs
Un premier long-métrage en incessant trompe-l'œil et volutes incandescentes, coup d'essai prometteur d'un auteur repéré depuis longtemps pour ses films courts.
La Septième Obsession
Au-delà d’incarner la réussite éclatante d’un projet à la grande ambition technique, "Les Garçons Sauvages" marque une étape déterminante dans l’évolution d’une filmographie en marge du cinéma français. Un film rêveur et précieux, dont l’embrun hallucinatoire n’est pas près de s’estomper.
Le Journal du Dimanche
Le réalisateur parvient à embarquer le spectateur dans son histoire dense et romanesque, à l’envoûter avec sa poésie érotisante et ses images agissant comme des paroles incantatoires. Une claque.
Le Monde
La forme baroque du film n’est, en elle-même, qu’une grande montée de sève : poudroiements, surimpressions, passages instantanés à la couleur, rétroprojections, bricolages visuels… Autant de procédés primitifs, réalisés à même le plateau, qui font revivre la candeur et la poésie illusionniste du cinéma muet.
Mad Movies
"Les Garçons sauvages" est donc un film transgenre à tous les sens du terme. C'est-à-dire qu'en plus de malaxer les repères sexuels, il malaxe aussi les catégories cinématographiques pour créer un style et un univers qui n'appartient qu'à lui, mais dont chaque spectateur (...) aurait bien tort de se priver.
Paris Match
POUR : Dans un cinéma français de plus en plus frileux, ce véritable champignon hallucinogène, sur fond de Nina Hagen, est une claque esthétique, transgenre, hystérique, d’une liberté rare.
Positif
Le cinéma ébouriffant de Mandico n'a besoin ni de références, ni d'explications pour déployer sa magie. Simplement d'un peu de disponibilité de notre part. Ne serait-ce que par curiosité, la moindre des choses serait de la lui accorder.
Première
Mais ne pinaillons pas, ce conte pour adultes séduit le plus souvent, singulier malgré un faisceau d’influences bigarrées, littéralement brillant - on se croirait dans une joaillerie - avec pour évident trésor, ses scintillantes actrices.
Sud Ouest
La grande force de Bertrand Mandico dont « Les garçons sauvages » est le premier long-métrage, vient de sa maîtrise formelle qui lui permet de bâtir un monde en soi, un monde personnel et pourtant abreuvé de références, un monde féérique où d’Homère à Ovide en passant par Peter Brook ou Cocteau, toute une poésie du corps et du désir déferle somptueusement.
Télérama
Noir et blanc luisant, personnages romanesques, imaginaire foisonnant de fantasmagorie : Les Garçons sauvages s’annonce d’emblée comme différent. Amateurs de collages et d’assemblages, de rêves éveillés et de poésie vénéneuse, ce film est pour vous…
Critikat.com
De l'inventivité certaine et réjouissante du début il ne reste, à la fin, qu'une esthétique quelque peu précieuse et chichiteuse. Comme si les deux heures de projection n'avaient été qu'une lente fanaison, à rebours du bourgeonnement attendu.
Ecran Large
On ne demandait qu'à l'aimer, on a du mal à rentrer dans cette fantasmagorie. Mais la simple existence de ce film si particulier est déjà une source de joie, et il mérite que les plus hardis et les plus rêveurs tentent leur chance, ils pourraient y trouver magnifiquement leur bonheur. Cependant, n'oubliez pas de déposer votre cerveau à l'entrée de la salle, et laissez vous porter sans trop vous poser de questions dans ce somptueux bain de plastique argentique. Sinon, ça va être difficile à vivre.
Le Dauphiné Libéré
Un délire post-ado rimbaldo-romantique, dans un récit d'aventures nourri de références cinématographiques et cultivant une esthétique baroque du grouillement et de la métamorphose, où se développe un imaginaire branche sur l'air transgressif et transgénérique du temps.
Voici
Un trip transgenre purement sensoriel, avec des images choc à la beauté poétique et transgressive.
Transfuge
(...) ce tohu-bohu de références n’accouche que d’un exercice de style vain et appliqué.
L'Ecran Fantastique
(...) un métrage interminable à force de premier degré involontairement burlesque alourdi de répliques aussi stupides que "l'espérance est un bonheur presque égal au bonheur".
Le Figaro
Interdit aux moins de 12 ans, ce film dont l'intérêt nous échappe emprunte avec complaisance des esthétiques démodées.
Le Parisien
Direction d’acteurs catastrophique, métaphores sexuelles ridicules… Ce film nous a épuisés.
Paris Match
CONTRE : De cette odyssée érotico-onirique où une bande de jeunes voyous sont repris en main avant de se révolter, on retiendra l’énorme vacuité d’un propos emballé dans un noir et blanc tape-à-l’œil.