Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ce tableau blême d’une Amérique marginale et sans espoir convainc grâce à la méthode documentaire du cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Le cinéma indépendant à son meilleur : âpre, fougueux et bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
En plongeant dans le réel, "Mobile Homes" ouvre l'éventail des possibles et des situations du cinéma américain.
Positif
par William Le Personnic
Le cinéaste évite l’écueil du misérabilisme et traite le film avec une sensibilité rugueuse. "Mobile Homes" est à l’image de cette maison mouvante sur roues, atypique et fragile, toujours sur le point de se renverser mais à l’errance gracieuse.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Ce film indépendant attachant, qui traite en mode road movie le dilemme entre désir de liberté et d’un foyer, est porté par l’interprétation radieuse d’Imogen Poots.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Chacune de ces étapes pourrait faire l’objet d’un film. Vladimir de Fontenay les réunit en un seul. Ce qui peut faire beaucoup.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Christophe Carrière
Ce premier long métrage d'un Français exilé aux Etats-Unis mêle habilement naturalisme et (légers) artifices de mise en scène, donnant un peu de relief à un sujet a priori terre à tere.
Les Fiches du Cinéma
par Romain Tourbillon
Un film de pure mise en scène qui, hélas, fait l’impasse sur ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
Il y a du Winter’s bone dans la manière dont ce film traite d’une famille en souffrance, aussi explosée qu’explosive, sans jamais verser dans le glauque ou le misérabilisme mais en cherchant toujours, et surtout dans les moments les plus noirs, la lumière au bout du tunnel.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jérémie Couston
Version longue du court métrage d’un jeune cinéaste français de 29 ans, ce road movie immobile, aux rebondissements pas toujours crédibles, vaut surtout pour le personnage de mère déboussolée interprété par la Britannique Imogen Poots (repérée dans Knight of cups, de Terrence Malick), avec une belle énergie du désespoir.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Murielle Joudet
Ce road-movie, sélectionné en 2017 à la Quinzaine des réalisateurs, reprend les codes du cinéma de la marginalité, et y adjoint le thème rebattu de la quête d’un foyer. Automatismes et musique omniprésente jusqu’à la saturation finissent d’en faire un exercice de style scolaire et dépassé.
L'Humanité
Ce tableau blême d’une Amérique marginale et sans espoir convainc grâce à la méthode documentaire du cinéaste.
L'Obs
Le cinéma indépendant à son meilleur : âpre, fougueux et bouleversant.
Les Inrockuptibles
En plongeant dans le réel, "Mobile Homes" ouvre l'éventail des possibles et des situations du cinéma américain.
Positif
Le cinéaste évite l’écueil du misérabilisme et traite le film avec une sensibilité rugueuse. "Mobile Homes" est à l’image de cette maison mouvante sur roues, atypique et fragile, toujours sur le point de se renverser mais à l’errance gracieuse.
aVoir-aLire.com
Ce film indépendant attachant, qui traite en mode road movie le dilemme entre désir de liberté et d’un foyer, est porté par l’interprétation radieuse d’Imogen Poots.
Franceinfo Culture
Chacune de ces étapes pourrait faire l’objet d’un film. Vladimir de Fontenay les réunit en un seul. Ce qui peut faire beaucoup.
L'Express
Ce premier long métrage d'un Français exilé aux Etats-Unis mêle habilement naturalisme et (légers) artifices de mise en scène, donnant un peu de relief à un sujet a priori terre à tere.
Les Fiches du Cinéma
Un film de pure mise en scène qui, hélas, fait l’impasse sur ses personnages.
Première
Il y a du Winter’s bone dans la manière dont ce film traite d’une famille en souffrance, aussi explosée qu’explosive, sans jamais verser dans le glauque ou le misérabilisme mais en cherchant toujours, et surtout dans les moments les plus noirs, la lumière au bout du tunnel.
Télérama
Version longue du court métrage d’un jeune cinéaste français de 29 ans, ce road movie immobile, aux rebondissements pas toujours crédibles, vaut surtout pour le personnage de mère déboussolée interprété par la Britannique Imogen Poots (repérée dans Knight of cups, de Terrence Malick), avec une belle énergie du désespoir.
Le Monde
Ce road-movie, sélectionné en 2017 à la Quinzaine des réalisateurs, reprend les codes du cinéma de la marginalité, et y adjoint le thème rebattu de la quête d’un foyer. Automatismes et musique omniprésente jusqu’à la saturation finissent d’en faire un exercice de style scolaire et dépassé.