Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
Au-delà de la dissection réaliste et scrupuleuse des déchirements de la société kirghize qui sous-tend son propos, le film frappe et séduit d’abord par ses échappées lyriques.
L'Humanité
par Dominique Widemann
Ce second long métrage de toute beauté nous emporte au cœur brisé de la société kirghize.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Parisien
par Catherine Balle
Tout en brossant un portrait magnifique d'un homme à l'étroit dans sa vie, « Centaure » parle de l'abandon des traditions, du matérialisme et de la radicalisation de l'islam dans cette région du monde.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un rappel lumineux et désespéré sur la mort des traditions.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Jérémy Piette
Dans la chaleur, de plans larges en plans d’ensemble, Arym Kubat, sans moralisme, laisse affleurer les problématiques sociales et politiques de cet ex-pays soviétique, gagné dans un même temps par l’essor de l’islam et portant fraîchement les stigmates de la guerre d’Afghanistan.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Transfuge
par Léocadie Handke
Avec "Centaure", Aktan Arym Kubat signe une fable lyrique et cocasse sur le Kirghizistan.
Critikat.com
par Thomas Choury
Si "Centaure" reste léger, malgré son schématisme, son foisonnement et son pessimisme, il le doit sans doute à la caractérisation de son personnage-titre.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Julien Rombaux
Face à une société qui vend son âme au diable, le réalisateur filme en artisan avec finesse et profondeur. Pas d’esbrouffe ni effets, mais de l’authenticité et une nostalgie des histoires racontées, des contes et des légendes.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Express
par Eric Libiot
Le film est un témoignage, quasi documentaire vu d'ici, dont on peut reprocher les symboles simplistes, mais qui avance au bon rythme pour toucher juste.
L'Obs
par François Forestier
Arym Kubat capte avec talent la force du paysage, la bulle de temps dans laquelle vit le pays, la force de ces visages sculptés par le labeur et le vent. La poésie émouvante d'un monde ancien qui disparaît.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par La Rédaction
Dans les steppes d’Asie centrale, la traque d’un voleur de pur-sang est le prétexte à un film drôle et poétique sur la perte progressive des traditions dans un pays où argent et islam ont pris le pouvoir.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le cinéaste Aktan Arym Kubat utilise la dimension symbolique pour dépeindre une société dans laquelle la tradition est menacée.
Positif
par Emmanuel Raspiengeas
A la fois continuation du petit univers folklorique de son auteur et stagnation d'un style monocorde, le film charrie les qualités et les défauts habituels à ce type de world cinema.
Première
par Thierry Chèze
Tendresse, jalousie, affrontement entre hier et aujourd’hui, Centaure évolue sur une multitude de registres sans jamais se perdre au fil des (més)aventures vécues par son personnage central, campé avec charisme, malice et émotion par le réalisateur lui-même.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Mais lorsqu’il livre la philosophie de ce voleur de chevaux, son film devient un superbe mélo qui parle de la liberté perdue d’un peuple, dénonce l’enrichissement, le culte du pouvoir et la dictature de la religion. Le héros de Centaure se révèle le sage dans un monde de fous. Et la fable, universelle, charme.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
Au-delà de la dissection réaliste et scrupuleuse des déchirements de la société kirghize qui sous-tend son propos, le film frappe et séduit d’abord par ses échappées lyriques.
L'Humanité
Ce second long métrage de toute beauté nous emporte au cœur brisé de la société kirghize.
Le Parisien
Tout en brossant un portrait magnifique d'un homme à l'étroit dans sa vie, « Centaure » parle de l'abandon des traditions, du matérialisme et de la radicalisation de l'islam dans cette région du monde.
Les Fiches du Cinéma
Un rappel lumineux et désespéré sur la mort des traditions.
Libération
Dans la chaleur, de plans larges en plans d’ensemble, Arym Kubat, sans moralisme, laisse affleurer les problématiques sociales et politiques de cet ex-pays soviétique, gagné dans un même temps par l’essor de l’islam et portant fraîchement les stigmates de la guerre d’Afghanistan.
Transfuge
Avec "Centaure", Aktan Arym Kubat signe une fable lyrique et cocasse sur le Kirghizistan.
Critikat.com
Si "Centaure" reste léger, malgré son schématisme, son foisonnement et son pessimisme, il le doit sans doute à la caractérisation de son personnage-titre.
Culturopoing.com
Face à une société qui vend son âme au diable, le réalisateur filme en artisan avec finesse et profondeur. Pas d’esbrouffe ni effets, mais de l’authenticité et une nostalgie des histoires racontées, des contes et des légendes.
L'Express
Le film est un témoignage, quasi documentaire vu d'ici, dont on peut reprocher les symboles simplistes, mais qui avance au bon rythme pour toucher juste.
L'Obs
Arym Kubat capte avec talent la force du paysage, la bulle de temps dans laquelle vit le pays, la force de ces visages sculptés par le labeur et le vent. La poésie émouvante d'un monde ancien qui disparaît.
La Croix
Dans les steppes d’Asie centrale, la traque d’un voleur de pur-sang est le prétexte à un film drôle et poétique sur la perte progressive des traditions dans un pays où argent et islam ont pris le pouvoir.
Le Monde
Le cinéaste Aktan Arym Kubat utilise la dimension symbolique pour dépeindre une société dans laquelle la tradition est menacée.
Positif
A la fois continuation du petit univers folklorique de son auteur et stagnation d'un style monocorde, le film charrie les qualités et les défauts habituels à ce type de world cinema.
Première
Tendresse, jalousie, affrontement entre hier et aujourd’hui, Centaure évolue sur une multitude de registres sans jamais se perdre au fil des (més)aventures vécues par son personnage central, campé avec charisme, malice et émotion par le réalisateur lui-même.
Télérama
Mais lorsqu’il livre la philosophie de ce voleur de chevaux, son film devient un superbe mélo qui parle de la liberté perdue d’un peuple, dénonce l’enrichissement, le culte du pouvoir et la dictature de la religion. Le héros de Centaure se révèle le sage dans un monde de fous. Et la fable, universelle, charme.