Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Un film qui apparaît à la fois « seul et accompagné » dans le paysage du cinéma français. (…) En cela, il réussit ce qu’il cherche à offrir à ses personnages : faire de sa solitude une bonne compagnie.
Bande à part
par Pierre Charpilloz
Se recentrer en retrouvant le centre vide de la carte, et en embrassant les bourgs, collines et montagnes d’une France dans l’ombre des grands axes, telle est la promesse de Jours de France.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Pierre Guiho
Pour son premier long métrage de fiction, Jérôme Reybaud signe un road movie mélancolique et doux dont le traitement naturaliste rend l'improbable visible.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Avec ce premier film, Jérôme Reybaud déjoue les fausses pistes suggérées par cette ébauche de scénario pour l’étoffer et s’épanouir dans une invitation à la quiétude de la balade improvisée.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Le premier film de Jérôme Reybaud nous emmène sur les routes d'une France qui n'est pas peuplée de gens « sympas ».
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Mathieu Macheret
Un esprit de distinction assumé, qui fait assurément de Jours de France le film le plus délicieusement aristocratique qui soit. Non pas l’aristocratie de caste, mais celle, beaucoup plus spontanée et imprévisible, des affinités électives.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
"Face à notre actualité désenchantante, Reybaud offre un chemin de traverse mélancolique mais superbe. La France est belle et riche de désirs pour qui sait la regarder et la réinventer d’un œil ouvert, curieux, disponible.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
"Jours de France" est un film très ambitieux quand bien même il se pare de la modestie d’un road-movie économe, où chaque situation s’invente presque exclusivement sous la forme du duo, de l’échange entre deux personnes qui deux minutes avant ne se connaissaient pas ou qui ne se sont plus vues ou parlé depuis longtemps.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Transfuge
par Sidy Sakho
Chaque rencontre, chaque Français croisé par Pierre ou Paul parti à sa recherche, donne une nouvelle tonalité au récit. La France arpentée par les personnages et la caméra de Reybaud est davantage que celle du terroir : une ample terre d'accueil pour les petites histoires de ses habitants.
Télérama
par Pierre Murat
Une belle mélancolie plane sur ce premier film, que porte un drôle d'acteur, Pascal Cervo, dont la présence n'est faite que d'absences successives. Où le dialogue, très écrit, frappe à la fois par sa crudité et sa délicatesse. Où la mise en scène est aussi élégante que les propos.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Cet hommage au cinéma de Vecchiali est un drame existentiel intelligent, paradoxalement drôle et cocasse, gorgé de beaux moments de cinéma qui dépassent largement les frontières d’un cinéma communautaire. Une découverte.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Ferhat Abbas
Pour ce premier film, l’on doit reconnaître au réalisateur une certaine humilité dans le filmage, dans le traitement de cette fuite en avant, dont la motivation restera tout au long du film mystérieuse. Qu’est-ce que Paul cherche exactement à fuir ? Une passion qu’il n’éprouve plus ? Ou qu’il ne vivait qu’à sens unique ?
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Vecchiali, auquel il a consacré un documentaire, Jérôme Reybaud trace un road-movie départemental, une errance mélancolique et surannée dans une province touchée par la désertification. Au naturalisme des images et à la monotonie du parcours, il oppose des dialogues très écrits, d’une cocasserie savoureuse.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un road movie au gré des rencontres, des désirs, de la liberté d’aller où le vent vous pousse : un ressort un peu systématique, mais un résultat sensible et délicat.
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Un film que sa mélancolie gracieuse et son errance poétique ne suffisent pas à construire.
Ouest France
par La Rédaction
Tendre et mélancolique.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Reste que ce film aussi monotone qu’interminable, dont les dialogues sonnent faux, agit plus efficacement qu’un somnifère.
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Le film (2h21, quand même) se voudrait une flânerie sensuelle et mélancolique ainsi qu'une ode à la campagne or, et malgré des moments de grâce, il ne fait que s'enfoncer dans un cul-de-sac dramatique.
Cahiers du Cinéma
Un film qui apparaît à la fois « seul et accompagné » dans le paysage du cinéma français. (…) En cela, il réussit ce qu’il cherche à offrir à ses personnages : faire de sa solitude une bonne compagnie.
Bande à part
Se recentrer en retrouvant le centre vide de la carte, et en embrassant les bourgs, collines et montagnes d’une France dans l’ombre des grands axes, telle est la promesse de Jours de France.
Culturopoing.com
Pour son premier long métrage de fiction, Jérôme Reybaud signe un road movie mélancolique et doux dont le traitement naturaliste rend l'improbable visible.
La Septième Obsession
Avec ce premier film, Jérôme Reybaud déjoue les fausses pistes suggérées par cette ébauche de scénario pour l’étoffer et s’épanouir dans une invitation à la quiétude de la balade improvisée.
Le Figaro
Le premier film de Jérôme Reybaud nous emmène sur les routes d'une France qui n'est pas peuplée de gens « sympas ».
Le Monde
Un esprit de distinction assumé, qui fait assurément de Jours de France le film le plus délicieusement aristocratique qui soit. Non pas l’aristocratie de caste, mais celle, beaucoup plus spontanée et imprévisible, des affinités électives.
Les Inrockuptibles
"Face à notre actualité désenchantante, Reybaud offre un chemin de traverse mélancolique mais superbe. La France est belle et riche de désirs pour qui sait la regarder et la réinventer d’un œil ouvert, curieux, disponible.
Libération
"Jours de France" est un film très ambitieux quand bien même il se pare de la modestie d’un road-movie économe, où chaque situation s’invente presque exclusivement sous la forme du duo, de l’échange entre deux personnes qui deux minutes avant ne se connaissaient pas ou qui ne se sont plus vues ou parlé depuis longtemps.
Transfuge
Chaque rencontre, chaque Français croisé par Pierre ou Paul parti à sa recherche, donne une nouvelle tonalité au récit. La France arpentée par les personnages et la caméra de Reybaud est davantage que celle du terroir : une ample terre d'accueil pour les petites histoires de ses habitants.
Télérama
Une belle mélancolie plane sur ce premier film, que porte un drôle d'acteur, Pascal Cervo, dont la présence n'est faite que d'absences successives. Où le dialogue, très écrit, frappe à la fois par sa crudité et sa délicatesse. Où la mise en scène est aussi élégante que les propos.
aVoir-aLire.com
Cet hommage au cinéma de Vecchiali est un drame existentiel intelligent, paradoxalement drôle et cocasse, gorgé de beaux moments de cinéma qui dépassent largement les frontières d’un cinéma communautaire. Une découverte.
Critikat.com
Pour ce premier film, l’on doit reconnaître au réalisateur une certaine humilité dans le filmage, dans le traitement de cette fuite en avant, dont la motivation restera tout au long du film mystérieuse. Qu’est-ce que Paul cherche exactement à fuir ? Une passion qu’il n’éprouve plus ? Ou qu’il ne vivait qu’à sens unique ?
L'Obs
Vecchiali, auquel il a consacré un documentaire, Jérôme Reybaud trace un road-movie départemental, une errance mélancolique et surannée dans une province touchée par la désertification. Au naturalisme des images et à la monotonie du parcours, il oppose des dialogues très écrits, d’une cocasserie savoureuse.
Le Dauphiné Libéré
Un road movie au gré des rencontres, des désirs, de la liberté d’aller où le vent vous pousse : un ressort un peu systématique, mais un résultat sensible et délicat.
Les Fiches du Cinéma
Un film que sa mélancolie gracieuse et son errance poétique ne suffisent pas à construire.
Ouest France
Tendre et mélancolique.
Le Journal du Dimanche
Reste que ce film aussi monotone qu’interminable, dont les dialogues sonnent faux, agit plus efficacement qu’un somnifère.
Studio Ciné Live
Le film (2h21, quand même) se voudrait une flânerie sensuelle et mélancolique ainsi qu'une ode à la campagne or, et malgré des moments de grâce, il ne fait que s'enfoncer dans un cul-de-sac dramatique.