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    Dans la peau du loup
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    21 critiques spectateurs

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    Florence Cazenave
    Florence Cazenave

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 janvier 2024
    J'ai adoré ! Pour passer régulièrement près du lieu de tournage, croyez moi, les Pyrénées espagnoles, l'Aragon c'est vraiment ça ...et encore aujourd'hui. Vous avez, versant espagnol, un maximum de villages abandonnés, et pas très loin de là, un peu plus au sud, un village sous l'eau dont seul le clocher dépasse... cette zone est une vraie merveille.
    Et pour vivre côté français, dans les Hautes Pyrénées ...mais oui ...! il y a des lieux avec des gens tout aussi rustres même de nos jours ...avec de la consanguinité souvent connue ....et de la zoophilie ...âme sensible s'abstenir !
    donc, je n'ai pas trop de mal à imaginer, qu'il y a 100 ans, et côté espagnol, avec une propension pour l'homme a dominer la femme sans états d'âme...ça se passait comme ça...je peux en parler, ma grand mère me racontait les raclées qu'elle recevait tout à fait naturellement de la part de son mari espagnol....
    Certains commentaires m'ont bien fait rire ... faut il vivre dans les Pyrénées pour comprendre la dureté de la montagne, la situation excentrée de certains lieux, les conditions rudes des habitations ou de la vie tout simplement ?
    Mon autre grand mère vivait dans un village de 20 habitants, sans eau chaude, sans sanitaires (la grange servait de toilettes) elle descendait de sa montagne pour le marché, à pieds, et se tapait 15 bornes y a tout juste 35 ans... donc imaginez y a 100 ans !!!! Elle se lavait les cheveux tous les 6 mois... et bien sûr, les odeurs faisaient bien partie de la vie...
    Et oui ! la vie montagnarde des paysans Pyrénéens c'était et c'est encore, pour certains, ça !
    J'ai trouvé que c'était courageux de s'attaquer à un sujet aussi "terre à terre" pour ne pas faire de jeu de mots ...rude, bestial, et oui, les priorités n'étaient pas celles des dandy des grandes villes ;-)
    Je pense même qu'il a été soft car les histoires qu'on raconte dans les villages perdus, sont bien plus dérangeantes que ça ....
    Michel Itsuga
    Michel Itsuga

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 février 2023
    Film magnifique qui dénote radicalement des piètres productions proposées sur Netflix. Ce film nous plonge au fin fond des sublimes Pyrénées aragonaises , au XIXs. On suit la vie d'un ermite trappeur ou plutôt sa survie austère et laborieuse. Le personnage principal m'a rappelé un certain Jeremiah Johnson.
    amelie verly
    amelie verly

    9 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 23 janvier 2023
    Comment peut on vivre avec u n homme aussi primaire etvivre dans une etable à cochons
    Le paysage est beau le reste j'adhère pas
    zouzou thomas
    zouzou thomas

    5 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 février 2022
    Magnifique, très sobre, violent et profond.
    Beaucoup de choses à comprendre sur la position de la femme (sans jeux de mots ) et la dureté de cette existence.
    Vraiment à voir.
    Par contre, même si cela semble lent, il faut suivre.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 18 octobre 2021
    suite à la llecture des critiques je pense que les personnes sensibles et cérébrales le trouveront intéressent, les autres le trouveront ennuyeux et dénué de sens
    Kaori92
    Kaori92

    7 abonnés 97 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 23 août 2021
    Je trouve l'acteur principal très mauvais : il surjoue tellement que ça en devient énervant.
    Il y a un parallèle trop fort entre vivre seul dans la montagne et être un homme préhistorique...
    Les femmes sont diabolisées aussi je trouve : spoiler: la première est montrée comme une "arnaque" livrée par son père à l'homme des cavernes alors qu'elle était enceinte et malade. Quant à la deuxième, c'est une sorcière qui va l'empoisonner alors qu'il prenait soin d'elle (à sa manière...). On ne comprend pas trop pourquoi elle l'empoisonne au lieu de simplement se barrer d'ailleurs...

    On dirait que le scénariste a une dent contre les femmes parce que l'idée là, c'est que le gars était très bien tout seul, et dès lors qu'il ramène sa 1ère femme et la 2ème, ça se gâte pour lui...
    Nada Yahya
    Nada Yahya

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 juillet 2021
    Au début y avait une sorte de curiosité sur ce qui va se passer aprés avoir lu cette annonce de la fille qui va lui changer sa vie , mais aprés sa rencontre avec la premiére la sa commencer a devenir ennuyeux avec ces bruit quand il mange ou ceux de sa respiration oui je comprends que le realisateur veux nous mettre face a la vie d'un homme qui vit seul dans les montagne et que cette solitude ce refleta plus encore sur le faite qu'il ne parle au gens qu'il rencontre parfois juste avec qlq petit mots mais ça reste ennyeux a mourir sans paarler de la fin qui est catastrophique a ce que je vois une boucle d'evenements qui se refait a chaque fois .
    Jdraief36
    Jdraief36

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 avril 2021
    Film ennuyeux, quasiment muet. Histoire paresseuse qui ne commence jamais. Bruitages bien trop présents, je voilais voir un film pas écouter de l’ASMR. Sans parler de la flemmardise des scènes, franchement des scènes de sexe inutiles qui n’apportent rien. Ne perdez pas votre temps, c’est juste un film lent, avec des bruitages exagérés voir insupportables (oui je hais les bruits de bouche) et des scènes de sexe. Voilà le résumé, honnêtement on est loin d’un bon film, si je n’avais pas vu le Choc des titans je dirais sans hésiter que c’est le pire film que j’ai vu de ma vie.
    Agnes L.
    Agnes L.

    165 abonnés 1 629 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 décembre 2020
    Voici une tranche de vie d'un montagnard pyrénéen qui vit quasi en autarcie avec quelques chèvres et un potager. Rustre et peu causant, il vend au village les fourrures des loups qu'il chasse pour acheter quelques pièges. Il paye aussi pour avoir une femme. Son quotidien tourne autour de la satisfaction de ses besoins primaires et cela semble lui suffire.
    La lenteur des scènes ne m'a pas gênée car c'est le quotidien de cet homme qui fait la trame du film. Tourné surtout dans la pénombre des bougies pour accentuer la pénibilité de cette survie dans les montagnes, le réalisateur nous présente un film original, minimaliste et assez fascinant.
    Bicheyrejp
    Bicheyrejp

    12 abonnés 178 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 décembre 2020
    Un sentiment mitigé accompagne la fin. Le héros est un taiseux, difficile de le juger, par contre les paysages sont superbes, elles sont belles nos Pyrénées par toutes saisons et même du côté espagnol. L’histoire nous oblige à repousser ce passé où la femme était pratiquement moins estimée qu’une bête.
    vava
    vava

    2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 novembre 2020
    Je rejoins l'avis d'un autre spectateur sur le dégoût profond que m'a inspiré cet homme, du début à la fin ; les paysages et le minimalisme ne suffisent pas à faire un bon film ; il n'y a pas de trame, pas de récit, pas de tension dramatique, juste des scènes juxtaposées, qui soulèvent plus l'indignation que l'approbation ; non, décidément, je n'ai pas aimé du tout, et pourtant je suis bon public ! Les bruitages exagérés ne servent pas le propos, c'est un peu "too much" !
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 546 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 septembre 2020
    Il est difficile de comprendre ce que voulait le réalisateur avec ce film. Au début vous passez beaucoup de temps avec le personnage principal alors qu'il essaie de survivre aux difficultés de vivre une vie solitaire dans un village abandonné au sommet d'une montagne. Mais même de l'extérieur le gars est assez dégoûtant et vous ne pouvez tout simplement pas vous résoudre à avoir de la sympathie pour lui. Quand il mangeait je sentais continuellement mon estomac se soulever et quand il travaillait il faisait cette respiration sifflante animale qui était également assez écœurante. Quand il décide finalement de prendre une femme et je veux dire prendre une femme du village en bas de la montagne les choses ne se passent pas si bien. Et à partir de là je voulais juste que cela s'arrête. Je n'entrerai même pas dans les scènes de sexe qui étaient clairement plus un viol que quelque chose d'humain. Peut-être que c'est ainsi que l'on s'attend à ce que les hommes soient vus en Espagne qu'ils soient comme les hommes des cavernes macho néandertaliens ?. Je ne sais vraiment pas ou peut-être que c'était juste un mauvais tournage où le réalisateur ne savait pas comment ajouter un peu d'équilibre pour que nous puissions au moins éprouver de la sympathie pour son personnage principal. Mais non le gars était haineux, peu aimable et je ne ressentais aucun lien avec lui. Dans la peau du loup était un film terne et L'Espagne nous a habitué a mieux...
    Georges B
    Georges B

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 janvier 2020
    Fuentes a l'étoffe d'un grand cinéaste. Ce film le prouve....................................................................................
    Alexandre L.
    Alexandre L.

    16 abonnés 382 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 décembre 2019
    Un superbe film qui nous plonge dans la rude vie d'un montagnard. Film intense mais minimaliste (que ce soit au niveau des dialogues, de l'action, ou de l'intrigue), avec un grand soin apporté à la photographie et aux costumes. C'est aussi beau que bestial !
    primoleuque
    primoleuque

    3 abonnés 17 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 mai 2019
    Il n’est pas évident de rentrer dans ce film en fonction de l’état d’esprit dans lequel on le regarde. Au départ, on trouve le côté quasi documentaire très intéressant, notamment à cause des paysages époustouflants qui nous rappellent davantage les Rocheuses aux États-Unis que les Pyrénées. Ceci bien sûr est dû au réflexe de Pavlov qui nous est inculqué par tant de films hollywoodiens sur la vie sauvage dans les grandes vallées reculées des montagnes américano-canadiennes. C’est pourquoi j’ai été agréablement surpris de découvrir que le film ne se passait pas dans une chaîne de montagne américaine mais bien dans un massif que nous partageons avec un pays voisin de l’Europe. A l’inverse, je dois avouer que j’ai vraiment du mal à m’imaginer un tel degré d’isolement dans les Pyrénées quelque soit le côté. L’effet de surprise est donc réussi puisque je me suis presque demandé si ce n’était pas un trucage. Je me suis surpris à penser au film Mission à cause d’une scène métaphorique commune: à un moment donné, en fait trois fois, le personnage principal du film est contraint d’escalader des rochers avec une corde pour arriver à son village désert ; c’était la même chose dans le film Mission où on se rendait compte de l’isolement total de la colonie grâce à cette énorme falaise qu’il fallait gravir. Il n’en fallait pas plus pour illustrer le dénuement total dans lequel vivait cette communauté espagnole jusqu’au XIXe siècle probablement. Pas de chemin, ni de sentier muletier, serait-ce pire qu’au Népal? Cela casse donc l’image d’Épinal que nous avons des Espagnols bénéficiant d’un ensoleillement incomparable et d’une vie agréable sur la terrasse en soirée. Seul survivant d’une ancienne communauté villageoise perché dans la montagne, un homme survit grâce à la chasse au loup et à son sens aiguisé de la survie : on l’entend même grogner comme un ours. J’ai même cru un certain temps qu’il ne savait pas parler ! Netflix case le film dans « 16 avec sexe », c’est un peu exagéré car le film n’a absolument pas cette orientation. En fait, c’est par pure prévention au cas où un mineur regarderait ce film, ce que je trouve fort improbable. Trois scènes pudiques où on voit à peine les fesses de l’homme renvoient certainement une image trop brutale de la sexualité.En fait, le sauvageon a un instinct animal jusque dans sa sexualité, il ne semble pas comprendre ce qu’est la tendresse avec sa femme. Il se reproduit plus qu’il n’aime. Peut-être que les mineurs actuels ignorent comment la sexualité a été subie par les femmes jusqu’à peu. L’affiche du film ne reflète en rien l’intrigue, elle induit en erreur. Mais il est puni car les deux femmes qu’il met enceinte font des fausses couches. On observe ici la vision périmée de la femme espagnole obéissante, vendue par son père et destinée à servir son homme jusqu’à la livraison de sa descendance! Tout semble maudit: les grossesses n’arrivent pas à leur terme, les femmes n’ont toujours pas supporté ce rythme de vie très rude, elles se sentent maltraitées par leur mari, tout le village est en ruine. La fin était quasi inévitable, le spectateur n’y croit plus : il assiste à la fin d’une époque, d’un style de vie et d’une mentalité qui n’avait que faire des sensibleries, de la tendresse et de la douleur. Il fallait survivre ; c’est quasiment comparable à l’esprit que l’on développe pendant les conflits.
    C’est pourquoi le film est un peu long pour arriver à cette démonstration. On a compris assez tôt ce qui va se passer dans un village perché des Pyrénées espagnoles. On aurait pu l’écourter. En même temps, si l’on regarde entre les images, moins qu’entre les paroles, le personnage principal n’est pas si sauvage et dénuée d’émotion que cela ! On dirait aujourd’hui qu’il a du mal à exprimer ses sentiments et se cache derrière les postures classiques que l’on attribue à l’homme et la femme jusqu’au XXe siècle. Il devient compatissant, protecteur et agréable quand son partenaire manifeste du désespoir ou quand il se blesse ou tombe gravement malade. On revient en quelque sorte à l’animalité du personnage qui fait fi de sa dureté apparente quand il doit se porter au secours d’une personne dont on remarque qu’il a finalement beaucoup plus besoin qu’il ne pense. Il sait être attentionné, prévoyant et ne persiste jamais à vouloir imposer à son partenaire cette vie ingrate. Ceci étant, à la fin on est en droit de se demander si l’homme le plus réactionnaire et le plus dépassé n’est pas le père des deux femmes ! Le discours du mari est extraordinairement lucide parfois sarcastique au point de nous faire comprendre que ce n’est pas lui qui réclame une présence humaine à côté de lui dans ce monde de brut, mais un destin auquel on n’échappe pas. L’épilogue du film semble le montrer puisque aucune femme ne restera dans les hauteurs et que la fin du film ramène au début. Une certaine résignation règne jusqu’au bout.
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