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I'm A Rocket Man
279 abonnés
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4,0
Publiée le 12 mai 2017
Téléfilm très sympathique et prenant sur l'addiction à la consommation et aux crédits d'une mère qui est prête à tout pour que son fils réussisse dans la vie !! Le scénario est basique mais divertissant, les acteurs convaincants et j'ai passé une heure et demie très agréable même si j'ai nettement moins aimé la fin qui est plus banale (le personnage de Diego est agaçant et un peu trop cliché et cela ternit un peu le film je trouve !). Un bon divertissement...sans plus !!
La réalisatrice suisse nous a pondu un mauvais scénario et une réalisation quelconque sur un sujet qu'elle n'a vraisemblablement pas connu : la pauvreté lors de son enfance ! Elle a voulu faire du racolage (et de l'audience) avec un sujet sensible : le surendettement, mais elle passe à côté : ce navet est poussif et se disperse dans l'indifférence, en tout cas la mienne. D'ailleurs, les deux principaux comédiens semblent eux-même ne pas croire à leurs rôles. Le seul à avoir une once de crédibilité est Arié Elmaleh. Ne parlons pas de l'accompagnement sonore qui est au diapason (...) de la médiocrité du reste. J'ai été dans le cas de Noé c'est à dire élevé seul par ma mère, et j'ai connu beaucoup de mamans célibataires après mon divorce. Et justement, parce qu'elles avaient charge d'âme, chacune faisait la chasse au gaspi en matière de budget. Quant à leurs enfants, ils sentaient instinctivement que dans certaines situations, un sou c'est un sou. Ils forment alors un bloc très solide avec leur mère et ne s'enfuient pas comme le Noé de cette aventure. Et ne deviennent pas dealers ou hors-la-loi pour ajouter encore aux soucis de celle qui les élève. Pour ma part, issu d'un milieu ouvrier, j'ai, eu accès à un "lycée de gosses de riches", et socialement (et financièrement, ce fut l'enfer ! Mais même si des copains se glorifiaient d'en porter, je n'aurais jamais acheté, ni pu acheter des "Nike" pour ne citer qu'un seul exemple ! Je passe sur le chauffeur de maître qui accompagnait en limousine le fils de Monsieur... Mais ça ne me privait en aucune façon. Et il n'y a pas si longtemps, les aides sociales pour parents isolés étaient inexistantes. Pour un seul enfant, pas même d'allocations familiales. Le surendettement existe, c'est certain, mais j'en ai connu beaucoup qui l'organisent.sciemment. Bref, je n'ai pas compati en regardant ce mélo plan-plan comme j'avais souffert à la lecture de Fantine dans "les Misérables", contrainte pour survivre de vendre ses dents et ses cheveux ! Mais n'est pas Victor Hugo qui veut ! Et ici, c'est du cinéma ! Pas du meilleur... willycopresto
eh bien, moi, j'ai bien aimé ce film, je n'ai vu que le début mais je me réjouis de voir la fin ce soir, ceux qui disent que cette histoire n'est pas vraisemblable ont complètement tort, s'enfoncer dans le surendettement pour permettre à son enfant de fréquenter un lycée prestigieux et lui acheter de quoi se mettre à niveau avec ses camarades , c'est tout à fait crédible, je vous assure, Messieurs et Mesdames , car que ne ferait on pas pour son enfant, surtout si on n'en a qu'un ! j'ai toujours admiré Barbara Schultz en tant qu'actrice, je trouve qu'elle vieillit très bien, mais peut être devrait elle manger plus de chocolat car elle est trop maigre, la pauvre !