Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
31 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
"Chez nous" n'est pas seulement un divertissement réussi, c'est aussi une puissante mise en garde.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un très bon film qui tient de bout en bout, avec suspense et sans caricature.
Closer
par La Rédaction
Un film fort.
Culturopoing.com
par Laura Tuffery
Lucas Belvaux est chabrolien de coeur et c’est en véritable géographe qu’il sonde les âmes autant que les terroirs, ces espaces entremêlés où s’ancrent rancœurs, colères et frustrations, c’est « chez nous » et Chez Nous.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Femme Actuelle
par La Rédaction
Si le film possède une dimension politique, c'est avant tout parce qu'il nous interpelle en dressant le portrait d'une France divisée. Bravo à Emilie Dequenne, formidable.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Alors "Chez nous", brûlot anti-FN ? Le mélange entre fiction et réalité fonctionne. Mais c’est dans la fiction que le film s’en tire encore le mieux. Il en résulte une impression romanesque, au-delà de tout jugement politique, où le cinéma reprend ses droits.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Si aucun film ne peut prétendre modifier les opinions, le cinéma est fait pour donner à s'interroger. En cela, "Chez nous" atteint ses objectifs.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Malgré quelques scènes un peu faiblardes, des situations bancales, cette fiction, si proche de la réalité, est portée par de très bons acteurs (André Dussollier passant de la suavité à la menace, Émilie Dequenne ballottée, Catherine Jacob conforme au modèle, Guillaume Gouix en petite frappe tourmentée).
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film où toute ressemblance avec un parti d’extrême droite n’est pas de pure coïncidence : et même si la démonstration est un peu lourdement chargée, elle donne à réfléchir.
Marianne
par Jean-Claude Jaillette
Tout sonne juste (...).
Télé 2 semaines
par La Rédaction
Un film nuancé et servi par d'excellents comédiens. Passionnant.
Voici
par La Rédaction
Pertinent et audacieux.
Bande à part
par Jo Fishley
Le populisme a ceci de singulier, qu’il s’habille sans monstruosité, et c’est d’abord ce qui frappe dans le film de Lucas Belvaux : la respectabilité et l’amabilité. Il n’y a ni fous furieux, ni idéologues dangereux, mais l’extrême normalité d’une France déboussolée, en crise, se sentant exclue, reléguée, se raccrochant à d’impossibles chimères.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Laura Tuillier
Le film est inégal (…), mais à un parti qui voudrait faire oublier sa nature, il sait opposer le récit documenté d’une mascarade qui camoufle comme elle peut son envers de mépris et de mensonge.
Charlie Hebdo
par Sigolène Vinson
Le film aurait pu être très bon, il est finalement utile.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Le film de Belvaux repose d'abord sur des platitudes, des réflexions de comptoir, au risque de paraître écrit avec paresse. Mais finalement, ce qu'a compris le cinéaste, c'est que l'image d'Epinal du "Français qui se laisse séduire par l'extrême droite", c'est le canon idéal pour modeler sa démonstration.
GQ
par Jacques Braunstein
La morale de l’histoire est claire : derrière le nouveau Front National se cache l’ancien. Ce n’est bien sûr pas faux, mais c’est peut-être moins pertinent que le regard tout en nuances sur le nouveau visage du populisme déployé au début du film.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Express
par Eric Libiot
Le scénario brasse large et délaisse trop souvent le vrai sujet : l'attirance et la répulsion de Pauline pour ce parti qui lui offre une nouvelle vie. Lorsque le film s'y attaque bille en tête, il est convaincant parce qu'il refuse la facilité à outrance.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Les personnages principaux – innocente recrue, idéologue, fidèle soldat à qui nulle rédemption n’est permise – sont écrits et campés avec davantage de finesse et d’acuité. L’œuvre est nécessaire, salutaire. À voir, pour se glacer les sangs !
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Face à une Émilie Dequenne impeccable, André Dussollier et Guillaume Gouix naviguent avec justesse entre différentes zones de gris. En toile de fond, les paysages à la fois beaux et désolés d’une région en souffrance.
Les Fiches du Cinéma
par Chloé Rolland
Comment un parti d’extrême-droite s’achète une respectabilité auprès d’un électorat qu’il ne défendra pas. “Chez nous” en fait le récit à travers le parcours d’une candidate novice. Belvaux retrouve Émilie Dequenne, parfaite pour dépasser les clichés.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Belvaux n'évite pas certains raccourcis et surlignages. Son film a le mérite néanmoins d'essayer de regarder et comprendre un phénomène politique dangereux, au ras de son vécu quotidien.
Libération
par Didier Péron
Le film est à la fois habile à décrire cette tambouille et en même temps, il est trop linéaire, didactique, privé de véritables conflits pour vraiment troubler et ouvrir sur des questions dont on aurait le sentiment que le cinéaste accepte qu’elles le dépassent.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Dominique Martinez
Porté par de bonnes intentions, Lucas Belvaux n’a malheureusement pas réussi à fusionner l’adaptation informelle du roman de Jérôme Leroy et son propre récit social.
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Dans les noirceurs du Nord de Lucas Belvaux, personne ne vous entendra voter...
Télérama
par Louis Guichard
Dans ce film irrégulier, il y a toujours une scène inattendue pour relancer l'intérêt (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Elle
par Anne Diatkine
Le film, trop didactique et linéaire à notre goût, demanderait un débat après sa projection et la résurrection de feu "Les Dossiers de l'écran".
Le Figaro
par Etienne Sorin
Le film politique du début, plutôt crédible et pertinent, laisse place à un romanesque assez maladroit et artificiel. Le personnage de Stanko (Guillaume Gouix), militant identitaire et ancien camarade de Pauline, prend toute la place.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Mathieu Macheret
Cette évocation à peine voilée du Front national et de sa présidente est plombée par une mise en scène sursignifiante.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Trop explicatif par moments, trop elliptique à d'autres, "Chez nous" n'offre pas le relief attendu par l'originalité de son sujet.
VSD
par Bernard Achour
Reste que si le film parvient à ouvrir les yeux ne serait-ce que d’un seul spectateur, il n’aura pas été conçu en vain.
20 Minutes
"Chez nous" n'est pas seulement un divertissement réussi, c'est aussi une puissante mise en garde.
Ouest France
Un très bon film qui tient de bout en bout, avec suspense et sans caricature.
Closer
Un film fort.
Culturopoing.com
Lucas Belvaux est chabrolien de coeur et c’est en véritable géographe qu’il sonde les âmes autant que les terroirs, ces espaces entremêlés où s’ancrent rancœurs, colères et frustrations, c’est « chez nous » et Chez Nous.
Femme Actuelle
Si le film possède une dimension politique, c'est avant tout parce qu'il nous interpelle en dressant le portrait d'une France divisée. Bravo à Emilie Dequenne, formidable.
Franceinfo Culture
Alors "Chez nous", brûlot anti-FN ? Le mélange entre fiction et réalité fonctionne. Mais c’est dans la fiction que le film s’en tire encore le mieux. Il en résulte une impression romanesque, au-delà de tout jugement politique, où le cinéma reprend ses droits.
L'Obs
Si aucun film ne peut prétendre modifier les opinions, le cinéma est fait pour donner à s'interroger. En cela, "Chez nous" atteint ses objectifs.
La Croix
Malgré quelques scènes un peu faiblardes, des situations bancales, cette fiction, si proche de la réalité, est portée par de très bons acteurs (André Dussollier passant de la suavité à la menace, Émilie Dequenne ballottée, Catherine Jacob conforme au modèle, Guillaume Gouix en petite frappe tourmentée).
Le Dauphiné Libéré
Un film où toute ressemblance avec un parti d’extrême droite n’est pas de pure coïncidence : et même si la démonstration est un peu lourdement chargée, elle donne à réfléchir.
Marianne
Tout sonne juste (...).
Télé 2 semaines
Un film nuancé et servi par d'excellents comédiens. Passionnant.
Voici
Pertinent et audacieux.
Bande à part
Le populisme a ceci de singulier, qu’il s’habille sans monstruosité, et c’est d’abord ce qui frappe dans le film de Lucas Belvaux : la respectabilité et l’amabilité. Il n’y a ni fous furieux, ni idéologues dangereux, mais l’extrême normalité d’une France déboussolée, en crise, se sentant exclue, reléguée, se raccrochant à d’impossibles chimères.
Cahiers du Cinéma
Le film est inégal (…), mais à un parti qui voudrait faire oublier sa nature, il sait opposer le récit documenté d’une mascarade qui camoufle comme elle peut son envers de mépris et de mensonge.
Charlie Hebdo
Le film aurait pu être très bon, il est finalement utile.
CinemaTeaser
Le film de Belvaux repose d'abord sur des platitudes, des réflexions de comptoir, au risque de paraître écrit avec paresse. Mais finalement, ce qu'a compris le cinéaste, c'est que l'image d'Epinal du "Français qui se laisse séduire par l'extrême droite", c'est le canon idéal pour modeler sa démonstration.
GQ
La morale de l’histoire est claire : derrière le nouveau Front National se cache l’ancien. Ce n’est bien sûr pas faux, mais c’est peut-être moins pertinent que le regard tout en nuances sur le nouveau visage du populisme déployé au début du film.
L'Express
Le scénario brasse large et délaisse trop souvent le vrai sujet : l'attirance et la répulsion de Pauline pour ce parti qui lui offre une nouvelle vie. Lorsque le film s'y attaque bille en tête, il est convaincant parce qu'il refuse la facilité à outrance.
La Voix du Nord
Les personnages principaux – innocente recrue, idéologue, fidèle soldat à qui nulle rédemption n’est permise – sont écrits et campés avec davantage de finesse et d’acuité. L’œuvre est nécessaire, salutaire. À voir, pour se glacer les sangs !
Le Journal du Dimanche
Face à une Émilie Dequenne impeccable, André Dussollier et Guillaume Gouix naviguent avec justesse entre différentes zones de gris. En toile de fond, les paysages à la fois beaux et désolés d’une région en souffrance.
Les Fiches du Cinéma
Comment un parti d’extrême-droite s’achète une respectabilité auprès d’un électorat qu’il ne défendra pas. “Chez nous” en fait le récit à travers le parcours d’une candidate novice. Belvaux retrouve Émilie Dequenne, parfaite pour dépasser les clichés.
Les Inrockuptibles
Belvaux n'évite pas certains raccourcis et surlignages. Son film a le mérite néanmoins d'essayer de regarder et comprendre un phénomène politique dangereux, au ras de son vécu quotidien.
Libération
Le film est à la fois habile à décrire cette tambouille et en même temps, il est trop linéaire, didactique, privé de véritables conflits pour vraiment troubler et ouvrir sur des questions dont on aurait le sentiment que le cinéaste accepte qu’elles le dépassent.
Positif
Porté par de bonnes intentions, Lucas Belvaux n’a malheureusement pas réussi à fusionner l’adaptation informelle du roman de Jérôme Leroy et son propre récit social.
Rolling Stone
Dans les noirceurs du Nord de Lucas Belvaux, personne ne vous entendra voter...
Télérama
Dans ce film irrégulier, il y a toujours une scène inattendue pour relancer l'intérêt (...).
Elle
Le film, trop didactique et linéaire à notre goût, demanderait un débat après sa projection et la résurrection de feu "Les Dossiers de l'écran".
Le Figaro
Le film politique du début, plutôt crédible et pertinent, laisse place à un romanesque assez maladroit et artificiel. Le personnage de Stanko (Guillaume Gouix), militant identitaire et ancien camarade de Pauline, prend toute la place.
Le Monde
Cette évocation à peine voilée du Front national et de sa présidente est plombée par une mise en scène sursignifiante.
Studio Ciné Live
Trop explicatif par moments, trop elliptique à d'autres, "Chez nous" n'offre pas le relief attendu par l'originalité de son sujet.
VSD
Reste que si le film parvient à ouvrir les yeux ne serait-ce que d’un seul spectateur, il n’aura pas été conçu en vain.