Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Libération
par Luc Chessel
Des plans splendides sur l’immondice généralisée parviennent à ne pas être ridicules tant qu’ils font primer l’effet de choc sur la volonté d’art.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Avec « Black Stone »,Gyeong-Tae Roth fait penser à Apichatpong Weerasethakul ("Oncle Boonmee", Palme d'or en 2010), dans sa formulation poétique d'une thématique spirituelle et écologique. Exigeant, pétri de poésie, "Black Stone" est moins noir qu'il n'y paraît.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par François Forestier
Scènes qui ne s'enchaînent pas (exprès), ligne dramatique vaguement métaphysique, mise en scène minimaliste. Le réalisateur a, paraît-il, signé trois autres films dans la même veine et pratique un ton poétique, qui donne à ses films un air décalé. Encore faut-il y être sensible.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Le film bifurque dans une direction magico-onirico-animiste rappelant Weerasethakul.
Studio Ciné Live
par Audrey Planchet
Tout en poésie, Gyeong-Taeh Roh confronte intelligemment la quête du jeune homme à un regard préoccupant sur l'écologie.
Télérama
par Pierre-Julien Marest
On ne sort pas indemne de ce film furieux qui ne propose, en guise de solution, qu'un possible retour aux origines. Il y a, aussi, cette terrible accusation portée à un père : « Pourquoi m'as-tu fait naître ? Pourquoi m'as-tu sorti de ce tas d'ordures ? » On quitte" Black Stone" la conscience meurtrie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par François Bonini
(…) un film étrange, mélange de tragique et de naïf, qui s’écarte des modes pour offrir un itinéraire intérieur constamment passionnant malgré d’indéniables maladresses scénaristiques.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par François Giraud
"Roh Gyeong-Tae" peine à donner du souffle à ce conte écologique qui s’impose comme une épreuve asphyxiante.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
par Corentin Lê
Pour montrer l'injustice d'un système et la dérive d'un monde, Roh Gyeong-tae grossit les traits et accentue les terribles destins, jusqu'à décrédibiliser son message.
Libération
Des plans splendides sur l’immondice généralisée parviennent à ne pas être ridicules tant qu’ils font primer l’effet de choc sur la volonté d’art.
Franceinfo Culture
Avec « Black Stone »,Gyeong-Tae Roth fait penser à Apichatpong Weerasethakul ("Oncle Boonmee", Palme d'or en 2010), dans sa formulation poétique d'une thématique spirituelle et écologique. Exigeant, pétri de poésie, "Black Stone" est moins noir qu'il n'y paraît.
L'Obs
Scènes qui ne s'enchaînent pas (exprès), ligne dramatique vaguement métaphysique, mise en scène minimaliste. Le réalisateur a, paraît-il, signé trois autres films dans la même veine et pratique un ton poétique, qui donne à ses films un air décalé. Encore faut-il y être sensible.
Les Inrockuptibles
Le film bifurque dans une direction magico-onirico-animiste rappelant Weerasethakul.
Studio Ciné Live
Tout en poésie, Gyeong-Taeh Roh confronte intelligemment la quête du jeune homme à un regard préoccupant sur l'écologie.
Télérama
On ne sort pas indemne de ce film furieux qui ne propose, en guise de solution, qu'un possible retour aux origines. Il y a, aussi, cette terrible accusation portée à un père : « Pourquoi m'as-tu fait naître ? Pourquoi m'as-tu sorti de ce tas d'ordures ? » On quitte" Black Stone" la conscience meurtrie.
aVoir-aLire.com
(…) un film étrange, mélange de tragique et de naïf, qui s’écarte des modes pour offrir un itinéraire intérieur constamment passionnant malgré d’indéniables maladresses scénaristiques.
Critikat.com
"Roh Gyeong-Tae" peine à donner du souffle à ce conte écologique qui s’impose comme une épreuve asphyxiante.
Les Fiches du Cinéma
Pour montrer l'injustice d'un système et la dérive d'un monde, Roh Gyeong-tae grossit les traits et accentue les terribles destins, jusqu'à décrédibiliser son message.