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carpdiem72
9 abonnés
345 critiques
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4,0
Publiée le 24 juin 2020
une film simple , mais qui glisse tout seul . on ce laisse prendre par ce scénario , ici pas de fx , ou de l'action a gogo , mais juste une bonne histoire .
Un bel et sincère hommage aux années 90. Par sa réalisation adéquate d'abord, mais surtout par l'atmosphère retranscrite aux travers de dialogues crédibles d'une jeunesse en proie aux doutes mais aussi à l'insouciance de cette époque... Problématiques toujours présentes aujourd'hui. Si le scénario avait été plus étoffé, nul doute que "90's" serait sorti du lot.
Premier film de Jonah Hill réalisateur et je dois dire que je me suis un peu identifié à cette époque de "90's" ou j'avais à peu prés le mème age que les héros !! Déjà, le personnage principal porte un t-shirt "Street Fighter 2", dort dans des draps du dessin animé "Les tortues Ninja", joue à la Super Nintendo, veut se faire accepter par des jeunes plus agés que lui à l'age de l'adolescence et fume des cigarettes pour se croire plus adulte, c'était tout moi dans cette période là. Ajoutons à cela la musique de l'époque qu'on écoute dans le film comme Nirvana ou le rappeur Nas par exemple, ça rappelle des souvenirs. Les jeunes dans ce long métrage font beaucoup de skateboards, fument des pétards ou boivent beaucoup d'alcools pour avancer dans leurs ages de pubertés, la séquence de fin nous secoue la tète. On peux dire bienvenue à Jonah Hill dans le monde des cinéastes, il dresse un très beau portrait d'une certaine jeunesse Américaine dont il a surement vécu. Les jeunes comédiens sont tous excellents. Une oeuvre a découvrir;
Je ne sais pas qu’elle est la part autobiographique qu’il y a dans 90’s de la part de Jonah Hill et je dirais presque qu’on s’en fout. Ce qu’on ne peut pas lui enlever c’est la sincérité avec laquelle il nous raconte cette histoire d’adolescence et de recherche d’une famille que l’on se choisit. Un passage fait d’expériences, d’erreurs mais qui marquent pour la vie entière. Le côté nostalgie de ses années fonctionne bien d’autant plus qu’il a le bon goût de ne pas être trop appuyé. Les choix artistiques (le cadre, la photo ...) collent parfaitement avec ces années . Alors oui c’est soigné, c’est sincère mais cela ne m’a personnellement pas plus touché que cela, peut être parce que c’est un film trop personnel.
GENERATION PERDUE. La planche à roulettes comme évasion, des rêves dans la tête et le monde à ses pieds. Jonah Hill jugé sur son run et ses racines. Est ce qu'une idée de jeunesse peut faire un film? Est ce q'une étincelle peut allumer un grand feu? Est qu'au milieu de ces endroits on aime l'envers?. Une génération en accélérée avec le minimum syndical.
Je n'ai pas du tout accroché. Pourtant, j'avais lu les avis avant de me lancer et je m'attendais à être subjugué par ce film et par cette ambiance des années 90. Et bien pas du tout...
Peut-être que c'est parce que je n'ai pas de culture "skate" ou bien parce que je n'ai pas grandi dans les années 90. La plupart des scènes sont complètement irréalistes, les acteurs sont plutôt moyens, l'ambiance ne m'a pas plu.
Le film n'a beau durer que 1h15, j'ai eu le temps de m'ennuyer et de décrocher. Si vous n'êtes pas fan de cette culture, passez votre chemin car ce film n'aura aucun intérêt pour vous.
Un petit bijou à voir absolument. Le gamin rayonne, on ne peut que s'attacher à lui pendant ce difficile parcours initiatique pour échapper à son quotidien de m... Et quel acteur ! C'est fort, intense même. Enfin un film avec un montage serré. Pas de gras. Et c'est loin d'être aussi sombre qu'on peut le craindre. Un grand moment de cinéma pour moi. Alors que dans les premières minutes je craignais que ce format 4/3 et la qualité d'image volontairement un peu "amateur" ne soit un caprice de réalisateur gênant, on l'oublie totalement et cela contribue à donner de la réalité au film.
Mid90'S est une oeuvre simple, qui n'essaye pas dans faire trop, qui film une époque et une mentalité lier a cette époque d'une très belle façon. On y voit des jeunes gens qui brûle la vie par les 2 bout, sans penser au lendemain pour la plus part d'entre eux. On sens bien ici que Jonah hill ce film lui même en quelque sorte, il aime cette époque et tous ce qui va avec et nous la fait aimé ou nous y fait revenir de façon brillante, sans artifice superflus, juste l'histoire d'un gamin paumer qui ce trouve une bande d'ais et une nouvelle passion, 2 chose qui vont redonner un sens à sa vie. Il va redevenir heureux et c'est ça le plus important. L'émotion est là, ce film réussit a nous faire sourire quand le petit stevie souri, être en colère quand il est en colère....etc ça montre bien que parfois il en faut peu pour faire un beau film, suffit d'être passionné par ce que l'on veut raconter pour le faire ressentir au spectateur. Un bout de vie pure et réaliste du quotidien d'une bande de skateur dans les années 90, avec leurs haut et leurs bas, filmé avec sensibilité et passion. Une fois le film terminé c'est la nostalgie pour certain qui va dominé et l'envie de revenir dans le temps et ce film le permet. Beau simple et efficace.
On regarde avec tendresse ce jeune ado se chercher une identité et tenter de se faire des amis pour paraître plus cool et s'affranchir d'un grand frère qui a quelques problèmes de comportement... On s'inquiète aussi de le voir sombrer. Une chronique juste et touchante pour un film envoûtant empreint de nostalgie.
Pas d'internet, pas de téléphone, liberté de conscience, rébellion, le monde en terrain libre, avec comme épée de damocles un avenir fermé et étiqueté. Justesse d'une période vécu, Ravivant les souvenirs.
Jonah Hill a voulu nous montrer la folie de la jeunesse qui nous fait rendre nostalgique et qui nous dit qu’on a peut-être été trop sérieux. Dans cette folie et cette envie de tout faire et de découvrir on voit les limites. Celle de savoir où on va. Si on fait ça parce-qu'on a envie de boire de s’amuser ou si c’est la seule chose pour s’évader de la pauvreté américaine. On voit là un beau message à la jeunesse, Stevie qui a envie de tout faire très vite pour paraître cool et qui va être embarqué pas par des mauvaises personnes mais des garçons perdus. Ce film nous surprend par l’âge du garçon qui contraste avec les personnes qui passent en première et qui ont une certaine « expérience » de l’alcool et des fêtes. Ça nous surprend de voir à quel point le garçon est si rapidement amené à fumer. Le skate n'est un signe de liberté de défier les lois aucun sport n’aurait été aussi significatif de la situation des garçons. La façon de filmé en 4 : 3 nous redonne encore une fois ce côté assez artisanal avec une simple petite caméra. C’est un film qui nous montre des ados qui essayent de s’amuser en ska tant dans cette grande route avec un coucher du soleil. Mais il laisse un vrai message sûr pourquoi ils font ça ? Sûrement parce qu’ils n'ont pas d’autre choix que de s’évader.
Un jeune ado (l’acteur est extraordinaire) fait tout pour s’intégrer dans une bande de grands, des skateurs alors qu’à la maison il subit la violence de son frère aîné.
Chronique pré-adolescente couillue, le film navigue entre deux eaux: l'ambition trashouille à la Larry Clark (ados, sexe, drogue, alcool et violence) en version light et la chronique légère, douce amère, d'un parcours initiatique un peu hard pour le genre. Et Jonah Hill parvient à trouver un bel équilibre en rendant attachant un petit personnage qui impressionne. Avec sa galerie de personnages plus vrais que nature, tout droit sortis des 90's, le film est un véritable saut dans le temps dont la véracité force le respect. Divertissant et ambitieux, aérien mais consistant, léger et grave à la fois, c'est un pari réussi qui sort nettement des sentiers battus!
Autant l'avouer de suite, je n'ai jamais aimé le milieu du skate board, ça ne m'a jamais attiré voire même cela m'a repoussé. Donc ici, se retrouver plongé dans cet univers à travers la jeunesse d'un enfant qui est sacrément paumé et au milieu d'autres paumé. Fumeurs, anti-conformistes (quoique par rapport au skate ils sont plus que conformistes), anti-autorité, bagarreurs... Pfff, ça m'a clairement apporté aucune espèce d'empathie et je me suis ennuyé tout le film... Je ne m'attendais pas du tout à ça mais plus à un voyage nostalgique dans le temps. Ici le sujet aurait pu se placer à n'importe quelle époque et perd de là toute sa saveur et l'intérêt de son titre aguicheur.