Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
30 critiques presse
L'Express
par Christophe Carrière
Si le sujet de "90's" est archi-balisé, ce premier long-métrage se démarque par son absence de pathos et d'angélisme. Tout y sonne juste, authentique, avec son lot de discussions à l'emporte-pièce sur le sexe, la famille, le skate, où c'est à qui sortira la meilleure vanne ou aura le dernier mot.
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
C’est un film qui entend se replonger dans une époque bénie […], et célébrer la candeur des derniers feux d’un monde sans internet. Mais c’est surtout un film qui ne se contentera pas d’aligner, pour seul programme, les signes extérieurs de coolitude.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Sylvestre Picard
Cette brève chronique d'apprentissage parvient à saisir avec une justesse inouïe l'instant du passage de l'enfance à l'adolescence.
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
(...) l’un des films d’apprentissage les touchants du cinéma américain.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télérama
par Jacques Morice
Un premier film magnifique, aux accents autobiographiques.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Une chronique fine, sans clichés ni esbroufe branchée.
20 Minutes
par Caroline Vié
La bande-son est ahurissante par la manière dont elle replonge au milieu des années 1990 où se situe le film. Wu Tang, Cypress Hill et Mobb Depp rythment les aventures tragicomiques d’adolescents à l’humour dévastateur. Jonah Hill a vécu cette période et cela se sent.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Jo Fishley
L’acteur Jonah Hill passe derrière la caméra et réveille d’une écriture énergique l’auteur qui est en lui. Entre un Larry Clark cool et un Gus Van Sant apaisé.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Le film aura finalement trouvé son ton, dans une vraie condensation, rendant à leur densité première les moments essentiels où un jeune garçon a transcendé son complexe d’infériorité pour en extraire une véritable poétique de petit homme.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Avec une bande originale jukebox à mi-chemin entre l'indé et l'underground, et une allure très influencée par la scène alternative d'alors (Larry Clark, Gus Van Sant...), le premier film de Jonah Hill sent la zone de confort à plein nez. Ça ne l'empêche pas d'être d'une grande élégance.
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet
Tendre, drôle, sensible, "90’s", accompagne son jeune héros [...] en ne négligeant aucun des passages obligés [...] inhérents à la période, lesquels sont rejoués, revisités avec une délicate singularité.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Le portrait de cette famille, doublé d’un récit d’apprentissage, est émouvant, drôle, sombre, dérangeant, sincère. Un grand premier film.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Elle
par Françoise Delbecq
Un film sobre et poignant.
GQ
par Étienne Menu
La beauté de 90’s tient dans la mélancolie de ses plans, la pudeur et l’impudeur de ses dialogues, la simplicité de son propos [...].
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le film aurait pu être encore plus cru et plus brut (on n’est jamais content), mais Jonah Hill ne tombe jamais dans les panneaux attendus. Un montage audacieux étaie l’appropriation du médium par le cinéaste en herbe, qui en fait son nouveau terrain de jeu.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Entre skate et rap, le portrait d’une jeunesse et d’une génération, avec un petit côté nostalgique qui ajoute au charme de l’ensemble.
Le Figaro
par La Rédaction
90’s, chronique languide sans coup d’éclat, exprime une grande tendresse pour ces garçons aux surnoms pas possibles.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Point
par Philippe Guedj
L'ex-comédien bouffon signe une œuvre solaire et universelle sur l'enfance turbulente, dans le milieu des skaters de LA.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Un premier film sensible sur le passage à l’âge adulte, qui trouve sa justesse dans l’observation méticuleuse de moments de vie.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par William Le Personnic
La violence sociale de Larry Clark mêlée à la finesse de Gus Van Sant, la vision de Jonah Hill quant à elle, se démarque par ce rite initiatique coloré d'une mélancolie authentique.
Première
par Sylvestre Picard
Le premier film réalisé par Jonah Hill capte avec une perfection démente la veille de l’adolescence.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Loin des comédies potaches auxquelles il s’est trop souvent cantonné, le comédien Jonah Hill fait preuve d’un surprenant talent pour son premier long en qualité de réalisateur, et signe une reconstitution des années 90 qui nous fait regretter ce temps où le fish-eye était à la mode.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Thomas Lequeu
S’il n’est pas dénué de certains tics du teen-movie, 90’s trouve toutefois sa singularité dans le regard à la fois fasciné et cruel qu’il pose sur la sortie de l’enfance.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Céline Rouden
Très représentatif de la nouvelle génération du cinéma indépendant américain, ce film alliant naturalisme et réalisation léchée, possède le charme nostalgique des souvenirs d’une enfance trop vite envolée.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Jérôme d’Estais
Si "90’s" touche autant, c’est qu’il tranche dans le gras, sans afêteries, avec un sens aigu de l’espace et du temps, recréant les années 1990 à hauteur d’enfant (...).
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Loin des comédies potaches dans lesquelles il s’est souvent illustré, il signe une jolie chronique vintage sur l’adolescence et son inconscience dans la veine du cinéma de Larry Clark, en moins sulfureux.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Les acteurs, pour la plupart débutants, parviennent souvent à sortir les autres personnages de la banalité grâce au regard bienveillant mais lucide de Jonah Hill.
Libération
par Camille Nevers
"90’s" commence idéalement dans l’élan ivre de possibles de son petit héros, seulement s’essouffle vers le milieu à trop vouloir remplir toutes les cases d’un scénario, ne déplaire à personne.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télé Loisirs
par Marc Arlin
Première réalisation de l'acteur Jonah Hill, ce récit initiatique drôle et sensible est inspiré de son adolescence.
L'Obs
par François Forestier
Récit autobiographique réalisé par Jonah Hill, le film serait sympathique s’il n’était réalisé à la hache : les scènes s’enchaînent mal, la caméra ne sait où se placer, et, malgré quelques scènes amusantes, comme le dépucelage de Stevie, l’ensemble ressemble à un brouillon, ponctué par la musique de Nine Inch Nails.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
L'Express
Si le sujet de "90's" est archi-balisé, ce premier long-métrage se démarque par son absence de pathos et d'angélisme. Tout y sonne juste, authentique, avec son lot de discussions à l'emporte-pièce sur le sexe, la famille, le skate, où c'est à qui sortira la meilleure vanne ou aura le dernier mot.
Les Inrockuptibles
C’est un film qui entend se replonger dans une époque bénie […], et célébrer la candeur des derniers feux d’un monde sans internet. Mais c’est surtout un film qui ne se contentera pas d’aligner, pour seul programme, les signes extérieurs de coolitude.
Ouest France
Cette brève chronique d'apprentissage parvient à saisir avec une justesse inouïe l'instant du passage de l'enfance à l'adolescence.
Rolling Stone
(...) l’un des films d’apprentissage les touchants du cinéma américain.
Télérama
Un premier film magnifique, aux accents autobiographiques.
Voici
Une chronique fine, sans clichés ni esbroufe branchée.
20 Minutes
La bande-son est ahurissante par la manière dont elle replonge au milieu des années 1990 où se situe le film. Wu Tang, Cypress Hill et Mobb Depp rythment les aventures tragicomiques d’adolescents à l’humour dévastateur. Jonah Hill a vécu cette période et cela se sent.
Bande à part
L’acteur Jonah Hill passe derrière la caméra et réveille d’une écriture énergique l’auteur qui est en lui. Entre un Larry Clark cool et un Gus Van Sant apaisé.
Cahiers du Cinéma
Le film aura finalement trouvé son ton, dans une vraie condensation, rendant à leur densité première les moments essentiels où un jeune garçon a transcendé son complexe d’infériorité pour en extraire une véritable poétique de petit homme.
CinemaTeaser
Avec une bande originale jukebox à mi-chemin entre l'indé et l'underground, et une allure très influencée par la scène alternative d'alors (Larry Clark, Gus Van Sant...), le premier film de Jonah Hill sent la zone de confort à plein nez. Ça ne l'empêche pas d'être d'une grande élégance.
Culturopoing.com
Tendre, drôle, sensible, "90’s", accompagne son jeune héros [...] en ne négligeant aucun des passages obligés [...] inhérents à la période, lesquels sont rejoués, revisités avec une délicate singularité.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le portrait de cette famille, doublé d’un récit d’apprentissage, est émouvant, drôle, sombre, dérangeant, sincère. Un grand premier film.
Elle
Un film sobre et poignant.
GQ
La beauté de 90’s tient dans la mélancolie de ses plans, la pudeur et l’impudeur de ses dialogues, la simplicité de son propos [...].
L'Humanité
Le film aurait pu être encore plus cru et plus brut (on n’est jamais content), mais Jonah Hill ne tombe jamais dans les panneaux attendus. Un montage audacieux étaie l’appropriation du médium par le cinéaste en herbe, qui en fait son nouveau terrain de jeu.
Le Dauphiné Libéré
Entre skate et rap, le portrait d’une jeunesse et d’une génération, avec un petit côté nostalgique qui ajoute au charme de l’ensemble.
Le Figaro
90’s, chronique languide sans coup d’éclat, exprime une grande tendresse pour ces garçons aux surnoms pas possibles.
Le Point
L'ex-comédien bouffon signe une œuvre solaire et universelle sur l'enfance turbulente, dans le milieu des skaters de LA.
Les Fiches du Cinéma
Un premier film sensible sur le passage à l’âge adulte, qui trouve sa justesse dans l’observation méticuleuse de moments de vie.
Positif
La violence sociale de Larry Clark mêlée à la finesse de Gus Van Sant, la vision de Jonah Hill quant à elle, se démarque par ce rite initiatique coloré d'une mélancolie authentique.
Première
Le premier film réalisé par Jonah Hill capte avec une perfection démente la veille de l’adolescence.
aVoir-aLire.com
Loin des comédies potaches auxquelles il s’est trop souvent cantonné, le comédien Jonah Hill fait preuve d’un surprenant talent pour son premier long en qualité de réalisateur, et signe une reconstitution des années 90 qui nous fait regretter ce temps où le fish-eye était à la mode.
Critikat.com
S’il n’est pas dénué de certains tics du teen-movie, 90’s trouve toutefois sa singularité dans le regard à la fois fasciné et cruel qu’il pose sur la sortie de l’enfance.
La Croix
Très représentatif de la nouvelle génération du cinéma indépendant américain, ce film alliant naturalisme et réalisation léchée, possède le charme nostalgique des souvenirs d’une enfance trop vite envolée.
La Septième Obsession
Si "90’s" touche autant, c’est qu’il tranche dans le gras, sans afêteries, avec un sens aigu de l’espace et du temps, recréant les années 1990 à hauteur d’enfant (...).
Le Journal du Dimanche
Loin des comédies potaches dans lesquelles il s’est souvent illustré, il signe une jolie chronique vintage sur l’adolescence et son inconscience dans la veine du cinéma de Larry Clark, en moins sulfureux.
Le Monde
Les acteurs, pour la plupart débutants, parviennent souvent à sortir les autres personnages de la banalité grâce au regard bienveillant mais lucide de Jonah Hill.
Libération
"90’s" commence idéalement dans l’élan ivre de possibles de son petit héros, seulement s’essouffle vers le milieu à trop vouloir remplir toutes les cases d’un scénario, ne déplaire à personne.
Télé Loisirs
Première réalisation de l'acteur Jonah Hill, ce récit initiatique drôle et sensible est inspiré de son adolescence.
L'Obs
Récit autobiographique réalisé par Jonah Hill, le film serait sympathique s’il n’était réalisé à la hache : les scènes s’enchaînent mal, la caméra ne sait où se placer, et, malgré quelques scènes amusantes, comme le dépucelage de Stevie, l’ensemble ressemble à un brouillon, ponctué par la musique de Nine Inch Nails.