Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Stéphane Delorme
Deux scènes seulement et le dernier film de Garrel est déjà au-delà de tout ce qu’on a vu récemment. A quoi reconnaît-on un grand cinéaste en quelques plans ? À sa capacité d’imposer une logique abstraite qui n’a rien à voir avec une logique narrative.
L'Humanité
par Dominique Widemann
Observateur à distance choisie des aspirations féminines au désir, Philippe Garrel éclaire de sa lanterne le "continent noir" freudien par la belle limpidité de sa maîtrise.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Mathieu Macheret
L’Amant d’un jour s’inscrit dans la continuité du récent virage négocié par Garrel avec La Jalousie et L’Ombre des femmes, qui dessinent une série de films pointillistes, aussi concis que des nouvelles, brossés dans de splendides lavis en noir et blanc, et consacrés à chaque fois au récit particulier d’un "épisode" amoureux.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Marc Cerisuelo
(...) ces magnifiques et pures lignes de scénario n'auraient sans doute pas valu une heure de peine si elles ne s'étaient pas immédiatement transformées en film de Philippe Garrel - en émotion pure, pas seulement sentimentale, mais physique, simple, quotidienne, sexuelle, parisienne, jeune et musicale.
Bande à part
par Olivier Pélisson
Les visages, les cheveux, les peaux, les corps, les regards, les souffles, les voix. Philippe Garrel célèbre l’humain dans ses moindres recoins, dans ses moindres frémissements. Ceux de l’âme et du cœur. Un défrichage existentiel total, que son œuvre entière expose avec un brio sans cesse renouvelé.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Critikat.com
par Axel Scoffier
"L'Amant d'un jour" tisse un réseau d’échos intérieurs qui subliment des situations d’une certaine banalité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Septième Obsession
par Adrien Valgalier
Une nouvelle fois, Philippe Garrel choisit ce noir et blanc qui lui sied si bien pour filmer la friabilité des couples. Loin de toute pose arty, le noir et blanc chez le cinéaste raconte la précarité affective, la difficulté à se donner entièrement à l’autre et à lui exprimer son amour ou, du moins, la manière dont on voudrait l’aimer.
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Avec rigueur et mélancolie, Garrel poursuit son exploration des souffrances de l’amour. C’est simple, beau et assez profond.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
On pourrait dire que c’est de la routine mais non, point du tout. C’est le sommet de l’art : la simplicité. Philippe Garrel n’a plus rien à prouver, il creuse son art, il est au travail, comme un peintre tous les jours dans son atelier, avec les mêmes pinceaux, les mêmes couleurs, il travaille et progresse, essaie d’être encore meilleur.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marcos Uzal
Légèreté primesautière, vitesse, autodérision : dans "l’Amant d’un jour", le cinéaste filme les états d’âme d’un quinquagénaire confronté au regard amusé de sa maîtresse de 23 ans (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Jacques Morice
Avec les années, l'ancien chantre de l'underground a gagné en concision, en force expressive dans la peinture des sentiments et des visages, distordus par les pleurs, rieurs aussi, sereins et lumineux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Nicolas Schaller
Garrel est fidèle à lui-même, à sa manière. C'est ce qui rend son cinéma, lorsqu'il touche juste comme c'est souvent le cas ici, pur et unique. Fragile et beau.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Après "La Jalousie", Philippe Garrel décrypte un nouveau triangle ambigu. Sans porter de juge- ment, il s’interroge sur la passion amoureuse et la fidélité dans ce drame très beau visuellement (grâce au noir et blanc) qui brille par son interprétation, sa concision et sa lucidité sur les rapports humain
Paris Match
par Yannick Vely
Malgré des maladresses – la tentative de suicide, la fausse-piste des photos érotiques, les seconds rôles masculins au jeu hésitant -, "L’Amant d’un jour" finit par charmer son auditoire, comme l'anti-héros les jeunes femmes.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
L'Express
par Eric Libiot
Garrel habille cette intrigue d'un magnifique noir et blanc, offre un rôle au trop rare Eric Caravaca, mais ne parvient jamais à dépasser le simple stade de l'anecdote sentimentale.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Le professeur Philippe Garrel ressasse ses fiches sur l'amour dans L'Amant d'un jour et livre une bluette où il ne se passe rien.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Catherine Balle
Délicat mais ennuyeux.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Christophe Narbonne
Les histoires d'amour chez Philippe Garrel se ressemblent toutes. On a déjà vu mille fois celle-ci, shootée dans un beau noir et blanc. Reste la grâce d'Esther Garrel.
Première
par Christophe Narbonne
Philippe Garrel ne surprend pas avec cette énième variation autour des affres de l’amour.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
Deux scènes seulement et le dernier film de Garrel est déjà au-delà de tout ce qu’on a vu récemment. A quoi reconnaît-on un grand cinéaste en quelques plans ? À sa capacité d’imposer une logique abstraite qui n’a rien à voir avec une logique narrative.
L'Humanité
Observateur à distance choisie des aspirations féminines au désir, Philippe Garrel éclaire de sa lanterne le "continent noir" freudien par la belle limpidité de sa maîtrise.
Le Monde
L’Amant d’un jour s’inscrit dans la continuité du récent virage négocié par Garrel avec La Jalousie et L’Ombre des femmes, qui dessinent une série de films pointillistes, aussi concis que des nouvelles, brossés dans de splendides lavis en noir et blanc, et consacrés à chaque fois au récit particulier d’un "épisode" amoureux.
Positif
(...) ces magnifiques et pures lignes de scénario n'auraient sans doute pas valu une heure de peine si elles ne s'étaient pas immédiatement transformées en film de Philippe Garrel - en émotion pure, pas seulement sentimentale, mais physique, simple, quotidienne, sexuelle, parisienne, jeune et musicale.
Bande à part
Les visages, les cheveux, les peaux, les corps, les regards, les souffles, les voix. Philippe Garrel célèbre l’humain dans ses moindres recoins, dans ses moindres frémissements. Ceux de l’âme et du cœur. Un défrichage existentiel total, que son œuvre entière expose avec un brio sans cesse renouvelé.
Critikat.com
"L'Amant d'un jour" tisse un réseau d’échos intérieurs qui subliment des situations d’une certaine banalité.
La Septième Obsession
Une nouvelle fois, Philippe Garrel choisit ce noir et blanc qui lui sied si bien pour filmer la friabilité des couples. Loin de toute pose arty, le noir et blanc chez le cinéaste raconte la précarité affective, la difficulté à se donner entièrement à l’autre et à lui exprimer son amour ou, du moins, la manière dont on voudrait l’aimer.
Les Fiches du Cinéma
Avec rigueur et mélancolie, Garrel poursuit son exploration des souffrances de l’amour. C’est simple, beau et assez profond.
Les Inrockuptibles
On pourrait dire que c’est de la routine mais non, point du tout. C’est le sommet de l’art : la simplicité. Philippe Garrel n’a plus rien à prouver, il creuse son art, il est au travail, comme un peintre tous les jours dans son atelier, avec les mêmes pinceaux, les mêmes couleurs, il travaille et progresse, essaie d’être encore meilleur.
Libération
Légèreté primesautière, vitesse, autodérision : dans "l’Amant d’un jour", le cinéaste filme les états d’âme d’un quinquagénaire confronté au regard amusé de sa maîtresse de 23 ans (...).
Télérama
Avec les années, l'ancien chantre de l'underground a gagné en concision, en force expressive dans la peinture des sentiments et des visages, distordus par les pleurs, rieurs aussi, sereins et lumineux.
L'Obs
Garrel est fidèle à lui-même, à sa manière. C'est ce qui rend son cinéma, lorsqu'il touche juste comme c'est souvent le cas ici, pur et unique. Fragile et beau.
Le Journal du Dimanche
Après "La Jalousie", Philippe Garrel décrypte un nouveau triangle ambigu. Sans porter de juge- ment, il s’interroge sur la passion amoureuse et la fidélité dans ce drame très beau visuellement (grâce au noir et blanc) qui brille par son interprétation, sa concision et sa lucidité sur les rapports humain
Paris Match
Malgré des maladresses – la tentative de suicide, la fausse-piste des photos érotiques, les seconds rôles masculins au jeu hésitant -, "L’Amant d’un jour" finit par charmer son auditoire, comme l'anti-héros les jeunes femmes.
L'Express
Garrel habille cette intrigue d'un magnifique noir et blanc, offre un rôle au trop rare Eric Caravaca, mais ne parvient jamais à dépasser le simple stade de l'anecdote sentimentale.
Le Figaro
Le professeur Philippe Garrel ressasse ses fiches sur l'amour dans L'Amant d'un jour et livre une bluette où il ne se passe rien.
Le Parisien
Délicat mais ennuyeux.
Ouest France
Les histoires d'amour chez Philippe Garrel se ressemblent toutes. On a déjà vu mille fois celle-ci, shootée dans un beau noir et blanc. Reste la grâce d'Esther Garrel.
Première
Philippe Garrel ne surprend pas avec cette énième variation autour des affres de l’amour.