AlloCiné
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Votre avis sur The Wall ?
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Le pitch est assez simple : un huis clos dans un désert irakien où un sniper américain affronte un tueur d'élite invisible (caché dans un tas d'ordures). A cela on peut ajouter un troisième protagoniste à l'agonie entre eux-deux. La tension est palpable dès le début, laissant augurer d'un grand film mais celle-ci retombe parfois malgré le format court de cette oeuvre (1 h30). La psychologie des 3 personnages est vaguement abordée mais le réalisateur, Doug Liman, à travers ce tireur d'élite irakien, pose une question simple : "Qu'est-ce que vous faîtes encore ici alors que la guerre est finie?"
Ce huit-clos en plein désert irakien est lent, avec un scénario trop prévisible et une fin très vite expédiée.
Derrière le concept de "The Wall", il y a un propos. Et si le sniper invisible et invincible n'était en réalité qu'un prétexte pour exposer les travers de la guerre en Irak : la stupidité et la vacuité de l'engagement américain, la malhonnêteté de Bush et enfin, le pire, que les Etats-Unis n'avaient rien gagné là-bas ? La mise en scène de Doug Liman est sèche et à tout moment proche de l'action et des émotions qui régissent les comportements (de traque comme de survie) des hommes en temps de guerre. Un long-métrage qui, sous ses airs d'énième film sur la guerre en Irak, tire des arguments de son concept et rappelle l'inanité de tout conflit armé.
film sans intérêt. .. sans scénario avec un anti américanisme à vomir. .certes cela change d american sniper... bref une fin vraiment nul comme tout le reste.
Cinememories
La Mémoire dans la Peau et Edge Of Tomorrow ont Doug Liman comme metteur en scène. Et c’est le scénario de Dwain Worrell qui fut retenu, car les conséquences promettent de conserver la flamme d’un conflit dans la mémoire.
Tout l’enjeu de l’intrigue réside dans cet isolement, ce huis-clos laissant trois soldats au milieu de la désolation. La particularité de celui-ci est dans l’approche réaliste de la fonction de tireur d’élite. Alors qu’American Sniper développait son propos dans la culpabilité et le traumatisme intérieur, celui-ci ne diffère pas pour autant. Le format fait que l’on se concentre davantage sur l’utilité ou non des forces d’intervention. Le feus de se conformer aux grosses productions, essentiellement Hollywoodiennes, se fait sentir à l’image d’une Amérique têtu jusqu’au bout du voyage.
Par ailleurs, le film évoque subtilement les intérêts de l’occident pour les richesses des terres Irakiennes. On ne rentre pas trop dans le sujet, sans pour autant négliger son importance. On aborde la présence des Américains en terre d’occupation subtilement. Aaron Taylor-Johnson (Allen Isaac) et John Cena (Shane Matthews) ne forment pas le duo que l’on attendait, car chacun fait sa part comme le scénario l’impose. Cette division face à la menace invisible du sniper ennemi n’est en réalité qu’une diversion. La morale visée est forte. Le réalisateur préconise ainsi d’axer son développement sur le sergent Isaac, poussé derrière le symbole de résistance qui lui reste, à savoir le fameux mur.
Sa désorientation dans la partie de chat et la souris qu’il mène limite bien les choses. La communication avec soi-même ou son adversaire retient alors toute notre attention. Et la partie de réflexion qui s’engage parallèlement au fil conducteur. C’est donc en écrasant l’émotion que l’on puisse avoir de la guerre que l’on dépeint la vérité. Cet habile scénario aura donc tout d’un thriller exceptionnel.
Bien que l’amorce soit un peu mal amené, on ne regrettera en rien le duel psychologique entre deux nations où l’un aura évidemment le dernier mot. « The Wall » n’aboutit pas forcément à la morale que l’on attendait et se suffit, en nous accompagnant sur la moitié du chemin de la raison. Pas de son patriotique, juste un rappel à l’ordre !
Tout l’enjeu de l’intrigue réside dans cet isolement, ce huis-clos laissant trois soldats au milieu de la désolation. La particularité de celui-ci est dans l’approche réaliste de la fonction de tireur d’élite. Alors qu’American Sniper développait son propos dans la culpabilité et le traumatisme intérieur, celui-ci ne diffère pas pour autant. Le format fait que l’on se concentre davantage sur l’utilité ou non des forces d’intervention. Le feus de se conformer aux grosses productions, essentiellement Hollywoodiennes, se fait sentir à l’image d’une Amérique têtu jusqu’au bout du voyage.
Par ailleurs, le film évoque subtilement les intérêts de l’occident pour les richesses des terres Irakiennes. On ne rentre pas trop dans le sujet, sans pour autant négliger son importance. On aborde la présence des Américains en terre d’occupation subtilement. Aaron Taylor-Johnson (Allen Isaac) et John Cena (Shane Matthews) ne forment pas le duo que l’on attendait, car chacun fait sa part comme le scénario l’impose. Cette division face à la menace invisible du sniper ennemi n’est en réalité qu’une diversion. La morale visée est forte. Le réalisateur préconise ainsi d’axer son développement sur le sergent Isaac, poussé derrière le symbole de résistance qui lui reste, à savoir le fameux mur.
Sa désorientation dans la partie de chat et la souris qu’il mène limite bien les choses. La communication avec soi-même ou son adversaire retient alors toute notre attention. Et la partie de réflexion qui s’engage parallèlement au fil conducteur. C’est donc en écrasant l’émotion que l’on puisse avoir de la guerre que l’on dépeint la vérité. Cet habile scénario aura donc tout d’un thriller exceptionnel.
Bien que l’amorce soit un peu mal amené, on ne regrettera en rien le duel psychologique entre deux nations où l’un aura évidemment le dernier mot. « The Wall » n’aboutit pas forcément à la morale que l’on attendait et se suffit, en nous accompagnant sur la moitié du chemin de la raison. Pas de son patriotique, juste un rappel à l’ordre !
L'affiche laisse à penser que l'on a à faire à un énième film de guerre alors qu'il s'agit en fait d'un thriller captivant et original. Huis clos dans l'immensité du désert, héros maladroit, ennemi qu'on ne voit jamais, juste une voix et des balles venues de nul part qui foudroient des soldats américains comme une punition tombée du ciel. Avec juste ce qu'il faut d'humour et de spectacle. Passé l'acclimatation à l'inattendu c'est intense, captivant, "concernant".
Film efficace montrant un véritable duel entre snipers ennemis, dans un décors minimaliste mais à forte psychologie des deux principaux protagonistes. La tension est élevée avec ce film de guerre inhabituel....
PLR
La mise en situation est assez rapide. Cette problématique posée, on sait qu'on en a pour environ 1h15 autour de ce mur. C'est un peu long dans la mesure où il ne se passe pas grand chose si ce n'est cette observation d'un ennemi somme toute invisible (bien caché, avec pas mal d'incertitudes, mais le recours à la balistique viendra en aide pour quelques déductions). Et lors de ce "face à face" dans lequel le spectateur ne voit réellement qu'une face, celle du soldat américain choisi pour cible, lequel aurait certainement pu être abattu par son adversaire si ce dernier n'avait préféré jouer au "chat et à la souris" (on saura pourquoi à la fin), s'invitent des réflexions dialoguées sur le sens et la justification de tout ça. Comme de plus en plus souvent dans les films de guerre (contemporaine) américains, c'est l'occasion de rebattre un peu les cartes et de laisser place à un autre point de vue que celui généralement officiellement admis par le gendarme du monde. Quoique la critique reste assez superficielle, juste une façon de souligner que tout ça n'est peut-être pas si évident que ça.
voila un film qui brille par son originalité j en sort de la salle encore eblouit par ce scenario a couper le souffle. The Wall se révèle être à la fois un bon film de guerre et de thriller Tout le film se déroule au même endroit, une sorte de huit-clos à ciel ouvert dans le désert irakien, avec un mur en seul décor. voila une exelente surprise. le suspens bat son plein.
la fin est tellement bâclé que ça ne vos absolument pas le coup d'aller voir 1h30 de film qui tourne en rond avec 3 acteus principaux, et tout est prévisible ! vraiment dessus ! je déconseil !!
Planqué derrière un mur on échange des pruneaux. Car trouer la paillasse est notre beau métier. Un combat sans merci qui ne fait pas d'quartier. Aux imbéciles heureux tombés dans le panneau. Les héros sont légions, la connerie s'en abreuve. Loués pour leur courage au service des puissants. Dont les intérêts crasses valent bien un peu de sang. En échange de médailles qu'on cloquera sur leurs veuves. Faut-il pour autant dénier aux cinéastes. Le choix de leurs sujets fut-il motivé. Par une servitude vile, un besoin attisé. De nos envies malsaines et nos passions néfastes. J'ai quant à moi choisi et puis dire sans ambages. Qu'un tel film chez moi ne franchira pas le seuil. Et s'il fallait d'un mot qualifier ce naufrage. Je foncerais aux toilettes en tartiner des feuilles.
Film original du fait que les personnages ne sont pas en grand nombre, mais ils brillent par leur présence. Deux soldats américains alors que selon Bush la guerre en Irak était terminée, sont à la merci d'un sniper qui non seulement est à l'affût mais ne les lâche pas. Au départ, j'ai eu du mal à me faire à l'ambiance car le sniper ne s'était pas manifesté et je me demandais si le dialogue, peu orthodoxe, entre les deux soldats, allait continuer encore longtemps. Puis c'est alors que tout s'est enclenché et que là, tactique, intelligence et surtout essayer de désarçonner le sniper par touts les moyens, même en discutant, en essayant de le mieux le cerner, se sont mis en place. J'avoue que j'espérai un autre final qui nous laissait entrevoir de l'espoir....
Comment les critiques peuvent donner des étoiles à ce navet théâtral, dés la cinquième minute j'avais compris mon erreur et je regrettais de ne pas pouvoir me lever pour quitter la salle à cause des amis que j'avais emmené dans cette galère. C'est plein d'invraisemblances et pénible de suivre le pseudo dialogue entre l'américain et le tueur embusqué. Bref rien dans ce film qui n'est surtout pas digne du grand écran ne m'autorise à mettre une note plus convenable. A oublier de suite
Le film est a petit budget, le scenario a l'air de vouloir montrer la mission d'un tireur d'élite.
Ils sont passé complètement à coté, ce film tient plus du jeu vidéo que de la mission du sniper.
aucune procédure respectée:
les procédures de transmission avec la station directrice
les procédures tactiques pour les approches
aucune autorisation pour quitter sa position
aucun appuis tactique ni médical (ça coute cher un sniper formé)
analyse de la munition rien que avec l'ogive 7,62 laquelle est commune à plusieurs munitions
les deux militaires sont tireurs et observateurs à la fois donc les deux ont les munitions pour l'arme
le sniper Irakien abat deux Bell UH-1 Iroquois avec du 7,62 a 1500 m....
le sniper américain qui devrait avoir ses munitions avec lui, n'utilise pas ses balles traçantes pour renseigner aux pilotes la direction de l'ennemis....
par pitié mettez dans vos budgets de film de vrais consultants pour vos sujets
Ils sont passé complètement à coté, ce film tient plus du jeu vidéo que de la mission du sniper.
aucune procédure respectée:
les procédures de transmission avec la station directrice
les procédures tactiques pour les approches
aucune autorisation pour quitter sa position
aucun appuis tactique ni médical (ça coute cher un sniper formé)
analyse de la munition rien que avec l'ogive 7,62 laquelle est commune à plusieurs munitions
les deux militaires sont tireurs et observateurs à la fois donc les deux ont les munitions pour l'arme
le sniper Irakien abat deux Bell UH-1 Iroquois avec du 7,62 a 1500 m....
le sniper américain qui devrait avoir ses munitions avec lui, n'utilise pas ses balles traçantes pour renseigner aux pilotes la direction de l'ennemis....
par pitié mettez dans vos budgets de film de vrais consultants pour vos sujets
selenie
Après "Edge of Tomorrow" (2015), le réalisateur Doug Liman s'offre un intermède "presque récréatif" avec un petit film de guerre avec seulement 3 protagonistes dans un huis clos en plein air où comment deux snipers américains se font piéger par un sniper irakien. Quasiment en temps réel le scénario repose avant tout sur le jeu du chat et des deux souris blessées en plein milieu d'un désert et sur une question toute bête posée par le sniper irakien : "si la guerre est finie, pourquoi êtes-vous encore ici ?"...
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