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Un exercice de style efficace et rapide. Du spectacle aussi minimal qu'intense -avec en fond de sauce quelques passages bien sentis sur la manipulation et la guerre façon George W. Bush.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
C’est brillant, tendu, et les clichés du film de guerre sont tous concassés. Nous sommes dans l’anti-"American Sniper". Pour une fois, la question se pose avec force : ils faisaient quoi, au juste, les ricains, en Irak ?
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Film de guerre terriblement humain, "The Wall" détonne tout autant qu'il étonne. Une menace aveugle, des soldats aux mœurs dissolues, une absence totale de morale… Ne serait-il pas en fin de compte le film de guerre que 2017 mérite ?
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
"The Wall" est un film brutal, une déconstruction radicale du mythe du héros. L'année passée, Ang Lee offrait, avec Un jour dans la vie de Billy Lynn, une violente charge contre l'inanité de la propagande militaire américaine. A son tour, Doug Liman se révolte en signant cette description au vitriol du conflit irakien.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Si la stratégie diabolique du tueur présente un dénouement trop prévisible, si le besoin de rédemption d’Isaac n’offre aucun intérêt psychologique à l’action, "The Wall" impressionne par sa gestion du temps.
(...) un script de tension psychologique pure où l’action, la violence, et le suspense ont été justement dosés pour rythmer 1h30min de huis-clos à ciel ouvert.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Il suffit de repenser à la manière dont se trouvait filmé le face-à-face entre un soldat et son ennemi de circonstance dans Billy Lynn, pour se dire que The Wall (…) solde de manière décevante les fictions irakiennes.
Un suspense qui joue sur la durée, sur la situation apparemment inextricable, sur les solutions échafaudées pour tenter de survivre : le film s’essaie à avancer, mais a tendance à s’étirer et à faire un peu du surplace.
Doug Liman, le réalisateur du premier volet de la saga Jason Bourne, filme caméra à l’épaule pour une immersion totale avec une idée géniale : le héros noue le dialogue avec le tireur d’élite en embuscade. Hélas on s’ennuie ferme devant ce huis clos à ciel ouvert qui cruellement manque de tension.
Si certains échanges le sortent légèrement de sa torpeur, le spectateur passe la majeure partie du film à compter les briques de ce mur écrasant d'ennui. Contre lequel on a, au choix, envie de se taper la tête ou de s'adosser pour une petite sieste.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Un parti pris qui aurait accouché d’un aimable film de genre s’il ne s’était doublé d’une visée allégorique au mieux maladroite, au pire putassière. Car le cinéaste, habile chef d’orchestre de blockbusters d’action aux motifs hypercontemporains (...), s’essaie ici à la fable politique à gros traits.
20 Minutes
Doug Liman (...) mêle dans ce drame guerrier les deux tendances de sa carrière : suspense haletant et cinéma intimiste.
L'Express
Un exercice de style efficace et rapide. Du spectacle aussi minimal qu'intense -avec en fond de sauce quelques passages bien sentis sur la manipulation et la guerre façon George W. Bush.
L'Obs
C’est brillant, tendu, et les clichés du film de guerre sont tous concassés. Nous sommes dans l’anti-"American Sniper". Pour une fois, la question se pose avec force : ils faisaient quoi, au juste, les ricains, en Irak ?
Le Figaro
Doug Liman met en scène un duel à distance entre un sniper irakien et un soldat américain. Retors et efficace.
Première
Doug Liman fait d'un huis clos en plein désert irakien un thriller statique qui n'oublie pas d'être spectaculaire.
Rolling Stone
Film de guerre terriblement humain, "The Wall" détonne tout autant qu'il étonne. Une menace aveugle, des soldats aux mœurs dissolues, une absence totale de morale… Ne serait-il pas en fin de compte le film de guerre que 2017 mérite ?
Télérama
"The Wall" est un film brutal, une déconstruction radicale du mythe du héros. L'année passée, Ang Lee offrait, avec Un jour dans la vie de Billy Lynn, une violente charge contre l'inanité de la propagande militaire américaine. A son tour, Doug Liman se révolte en signant cette description au vitriol du conflit irakien.
Voici
Un thriller tendu et existentiel.
CinemaTeaser
Un film ramassé et concis, qui tente d’être aussi spectaculaire que pertinent sans jamais vraiment y parvenir.
Les Fiches du Cinéma
Doug Liman signe un duel au soleil tendu, efficace et bien interprété, mais qui manque cruellement d’audace.
Ouest France
Un film de guerre dépouillé, abstrait et théorique, qui n'oublie jamais d'être efficace.
Positif
Si la stratégie diabolique du tueur présente un dénouement trop prévisible, si le besoin de rédemption d’Isaac n’offre aucun intérêt psychologique à l’action, "The Wall" impressionne par sa gestion du temps.
aVoir-aLire.com
(...) un script de tension psychologique pure où l’action, la violence, et le suspense ont été justement dosés pour rythmer 1h30min de huis-clos à ciel ouvert.
Cahiers du Cinéma
Il suffit de repenser à la manière dont se trouvait filmé le face-à-face entre un soldat et son ennemi de circonstance dans Billy Lynn, pour se dire que The Wall (…) solde de manière décevante les fictions irakiennes.
Le Dauphiné Libéré
Un suspense qui joue sur la durée, sur la situation apparemment inextricable, sur les solutions échafaudées pour tenter de survivre : le film s’essaie à avancer, mais a tendance à s’étirer et à faire un peu du surplace.
Le Journal du Dimanche
Doug Liman, le réalisateur du premier volet de la saga Jason Bourne, filme caméra à l’épaule pour une immersion totale avec une idée géniale : le héros noue le dialogue avec le tireur d’élite en embuscade. Hélas on s’ennuie ferme devant ce huis clos à ciel ouvert qui cruellement manque de tension.
Le Parisien
Si certains échanges le sortent légèrement de sa torpeur, le spectateur passe la majeure partie du film à compter les briques de ce mur écrasant d'ennui. Contre lequel on a, au choix, envie de se taper la tête ou de s'adosser pour une petite sieste.
Les Inrockuptibles
Un parti pris qui aurait accouché d’un aimable film de genre s’il ne s’était doublé d’une visée allégorique au mieux maladroite, au pire putassière. Car le cinéaste, habile chef d’orchestre de blockbusters d’action aux motifs hypercontemporains (...), s’essaie ici à la fable politique à gros traits.
Libération
(...) Doug Liman signe un film balourd et quelque peu stéréotypé.