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    Les Proies
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    webscan
    webscan

    7 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 septembre 2017
    Nous nous sommes longtemps ennuyés...
    Décors et casting formidables, mais le scénario passe vraiment à côté de ce qu'il était possible de faire
    Quelle déception !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 26 août 2017
    Minable, vraiment très déçu. Le jeu d'acteur est mauvais, l'histoire sans intérêt ... j'ai perdu 2h de ma vie
    Dom Domi
    Dom Domi

    37 abonnés 303 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 août 2017
    Pas terrible, voilà une expression qui résume le ressenti.
    Un homme blessé entre dans l'univers de femmes ( sensé définir la femme depuis l'enfance jusqu'à l'âge adulte ), et ceci, sous le poids de la religion catholique.
    Il va pervertir ce petite monde-là en apportant de la bestialité masculine et en brisant ce milieu pas si sensible qu'il n'y parait.
    On aurait pu y lire et voir un message fort intéressant.
    Sauf que tout ceci est téléphoné ou télégraphié ( pas de sms à l'époque du film :lol ), comme on voudra. Tout est sur les rails et le train avance très lentement, au point d'endormir le voyageur.
    Bref, on s'ennuie grave et parfois, on en rit, surtout lorsque le soldat tombe dans les escaliers et se réveille avec une jambe en moins, coupée par la scie à bois disponible dans la grange...
    Bref, un ratage complet...
    Je pense que la réalisatrice devrait revoir les films de son père où elle pourrait sans doute trouver matière à faire des films plus subtils et plus élaborés.
    On va dire qu'elle apprend...
    domi...
    chrischambers86
    chrischambers86

    12 557 abonnés 12 255 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 mars 2021
    Remake dècevant du film culte et vènèneux de Don Siegel! Sofia Coppola a du mal à se renouveler car il est bel et bien question d'ennui ici! On se pose d'ailleurs la question de l'utilitè d'un tel remake car le spectateur comprend rapidement qu'il ne se fasse pas grand chose! La temporalitè et le dèroulement de l'action sont sensiblement identiques à la version 1971, mais avec un dènouement expèditif! Comme si la rèalisatrice - qui a une vision bien à elle - n'avait plus rien à proposer! Comme si la fille de Coppola n'avait plus rien à dèvelopper dans le domaine du fait divers ou du fait historique! Certes, le casting d'actrices fait rêver (Kidman, Dunst, Fanning) mais nous laisse carrèment sur notre faim! Eh oui, les immenses Geraldine Page et Elizabeth Hartman ne sont plus là! Reste une mise en scène assez remarquable (prix de la mise en scène à Cannes) et un soin apportè à la lumière! Sinon rien d'original dans ce pensionnat de jeunes filles recluses aux extèrieurs menaçants! De plus Colin Farrell en soldat confèrè blessè ne fait que subir...
    FaRem
    FaRem

    7 787 abonnés 9 019 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 septembre 2017
    Un film étonnant non pas dans le sens surprenant parce qu'il y a des rebondissements, mais plutôt parce que je m'attendais à quelque chose de plus subtil, plus profond et plus fin notamment sur le jeu de séduction qui est très niais et naïf de la part des personnages. J'ai trouvé étrange la façon dont les relations sont traitées ainsi que le développement de l'histoire qui est finalement très simple et surtout vraiment prévisible, mais bizarrement l'ensemble n'est jamais ennuyeux. J'espérais plus d'ambiguïté dans le propos et un contraste plus marqué entre la peur du début qui laisse place au désir d'ailleurs sur ce point aussi, je trouve que c'est mal exploité notamment la "rivalité" qu'il peut y avoir entre elles. Après, c'est peut-être logique et fidèle, car je ne connais pas le roman et n'ai pas non plus vu la première adaptation de Don Siegel. L'avantage du film est qu'il est court du moins pour moi, que la mise en scène est soignée, qu'il est visuellement beau et que les Acteurs s'en sortent bien malgré des rôles pas toujours développés comme il faut donc malgré un scénario minimaliste ainsi qu'un manque d'enjeu et de tension hormis dans le final, c'est un bon film prenant et élégant qui dégage quelque chose d'intéressant.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 065 abonnés 4 111 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 juillet 2022
    « Les proies » de Don Siegel est sorti sur les écrans le 31 mai 1971. Parallèlement, quinze jours avant, la même année, naissait Sofia Coppola. Curieuse et amusante coïncidence. En 46 ans, bien des choses ont changé et notamment la représentation de la femme à l’écran. Aujourd’hui où selon un grand écart idéologique parfois très périlleux, se côtoient un féminisme conquérant souvent tatillon et un soutien par les mêmes personnes à l’expression d’une foi renvoyant la femme à une domination archaïque, difficile pour le rationalisme de trouver sa place. C’est dans ce contexte trouble et troublant que les femmes réalisatrices (les réalisateurs aussi) tentent de se frayer un passage étroit pour faire émerger une créativité qui sera fatalement examinée à cette aune. Sofia Coppola qui a commencé à pratiquer son art en 1999 (« Virgin suicides » ) quand la pression sur le sujet était bien moins forte, n’échappe pas aujourd’hui à la règle. En s’attaquant à un remake des « Proies » de Don Siegel, réalisateur symbolique d’un cinéma (« Dirty Harry » en 1971 ») désormais fortement battu en brèche, la fille du réalisateur du « Parrain » (1972, 1974,1990) et d’« Apocalypse Now » (1979) savait sans conteste où elle mettait les pieds. Elle a d’ailleurs et sans doute à dessein, choisi de ne pas employer le terme de remake pour parler de son film, préférant évoquer une « autre approche » du roman de Thomas P. Cullinan qui avait pourtant lui-même rédigé le scénario du film sorti en 1971. Sur le plan narratif, Sofia Coppola prudente a choisi d’inscrire son propos dans une relative neutralité en l’expurgeant de tout ce qu’il y avait de vraiment subversif et d’original chez Don Siegel. En effet lors de sa sortie, le film avait été jugé transgressif tant dans son évocation de la vacuité de la guerre de Sécession, renvoyant dos à dos le camp nordiste et le camp sudiste pour faire par ricochet s’interroger le spectateur sur la réalité de la guerre au Vietnam qui tournait au fiasco. Idem dans sa présentation de la sexualité où inceste, priapée, saphisme, viol et pédophilie participent à l’aspect baroque et tragique du film. « Pensez donc ! », six femmes d’âges très différents, recluses dans un pensionnat vont s’unir pour châtier plus que sévèrement celui qui croyait les manipuler au nom d’habitudes ancestrales voulant que la femme se soumette sans barguiner à la sexualité de l’homme toujours dans son bon droit, notamment en temps de guerre. Réalisé par Don Siegel et interprété par Clint Eastwood, le film serait par définition misogyne car émanant de deux « machos » patentés. Réputation qui le poursuit encore aujourd’hui malgré ses qualités reconnues. La sexualité de la femme y est pourtant montrée comme pouvant être aussi explosive voire conquérante ou débridée que celle de l’homme. Et le soldat joué par Eastwood se croyant parvenu sur une d’île paradisiaque où sa virilité et son charme triomphants allaient rapidement imposer leur loi, comme le montre très bien l’exposition de ses fantasmes envahissants, va être brutalement stoppé dans son élan pour s’être joué de l’individualité de chacune à coups de mensonges grossiers. Il faudrait dans cette hypothèse voir cette première version plutôt comme une introspection critique voulue par Siegel, Eastwood et leur scénariste, constatant que l’homme exploite toujours la relation avec l’autre sexe à son seul profit et qu’il doit en assumer les conséquences. En quelque sorte une invitation à regarder les choses en face pour ensuite tenter de les faire évoluer. Sofia Coppola n’a pas voulu suivre cette voie désormais inaudible et sans doute dépassée, choisissant une narration certes fidèle au roman mais épurée de sa controverse sexuelle. Elle n’a pourtant pas échappé à celle-ci qui s’est déplacée sur le front racial, lui étant reproché d’avoir escamoté le personnage de l’esclave noire présent de manière signifiante tant dans le roman que dans le film de Siegel mais aussi d’avoir choisi Kirsten Dunst pour le rôle de l’intendante qui dans le roman était biraciale. En ce début de XXIème siècle, on n’est décidément jamais trop prudent. En vérité, le parti pris de la réalisatrice désormais expérimentée est d’ordre esthétique et référentiel. Avec l’aide de son chef opérateur français Philippe Le Sourd, ils semblent avoir tourné leur regard vers le très estimable « Panique à Hanging Rock » (1975) de Peter Weir pour son ambiance éthérée et sa photographie vaporeuse mais aussi par analogie avec l’observation d’un groupe de femmes livrées à elles-mêmes face à une adversité inattendue. En remontant encore dans le temps, certains choix de cadrages (cerclés de noir) pourront faire penser aux films romantiques de David W Griffith avec les sœurs Gish (Dorothy et Lilian). On sait que le grand réalisateur avait lui-même provoqué une très vive polémique en 1915 avec « Naissance d’une nation » qui par sa vision très partisane des enjeux et du déroulement de la Guerre de Sécession montrait le long chemin encore à parcourir. Sofia Coppola propose donc beaucoup de plans décrivant la vie communautaire de ces six femmes qui sous l’égide de leur directrice (Nicole Kidman) tentent de maintenir un semblant d’ordre dans un pays en proie au chaos. L’évolution des rapports d’autorité suite à l’arrivée du soldat (Colin Farrell) est de même finement observée, laissant un peu en retrait un Colin Farrell qui par instant semble prisonnier d’une ruche au sein de laquelle la survie du groupe l’emportera toujours. Comme Don Siegel en son temps, et sans doute même encore davantage, un soin particulier a été apporté à la mise en valeur de l’architecture sudiste si bien intégrée à la nature qui l’entoure. Ainsi les extérieurs ont été tournés sur le terrain de la Madewood Plantation House près de Napoleonville en Louisiane. En résumé, nous sommes bien en présence de deux approches différentes en relation avec les contextes historiques dans lesquels les deux films ont été tournés. Deux films qui s’avèrent relativement complémentaires même si le projet de Sofia Coppola semble moins ambitieux mais aussi plus consensuel témoin du cinéma de son temps. Une belle réussite malgré tout.
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    605 abonnés 1 403 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 septembre 2017
    Ce que je reproche au film, c'est sa bande-annonce qui semble tout montrer et qui dévie considérablement le propos du long-métrage. On s'imagine un groupe de femmes sanguinaires qui jouissent de la douleur d'un homme capturé et torturé jusqu'à la mort alors que l'essence du film est bien plus subtil, complexe et ambiguë. Sofia Coppola signe un thriller d'époque efficace et troublant où le jeu des acteurs semble être le rouage central ainsi qu'un gage de qualité indéniable. En effet, l'interprétation froide de Nicole Kidman, celle plus réservée de Kirsten Dunst, la farouche Elle Fanning et le toujours valeureux Colin Farrell s'agencent parfaitement et créent doutes et suspicions qui ne feront qu'alimenter une fin glaçante. Le rythme est lent et progressif (j'ai cru comprendre que c'est ce qu'on reprochait au film), au contraire ça ne m'a pas du tout gêné car on laisse le temps aux relations de se tisser et à l'ambiguïté de s'installer dans ce huis-clos où le contexte de guerre nourrit la crainte et la méfiance face à l'inconnu. Dans un cadre d'éducation où on tente de préserver l'innocence des jeunes filles tout en les préparant aux rigueurs du dehors, sans oublier l'omniprésence et la force de la religion, l'arrivée imprévue d'un soldat sudiste (en d'autres termes, l'ennemi) vient bouleverser la foi mais aussi les désirs de ce groupe de femmes aux âges divers vivant recluses dans un grand manoir. Des rivalités naissent ainsi que de la jalousie, venant ainsi compléter subtilement la palette d'émotions dont témoigne "Les Proies". La photographie est douce et la musique discrète. Adapté d'un roman et ayant déjà eu une première adaptation cinématographique, ce nouveau long-métrage a su me convaincre par la retenue des acteurs derrière laquelle foisonnent une multitude d'envies refoulées mais aussi par cette atmosphère de moins en moins sereine qui prend place progressivement. Le tout est servi par une mise en scène léchée et par un casting talentueux.
    Yetcha
    Yetcha

    792 abonnés 4 324 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 novembre 2017
    Un remake efficace de Coppola mais qui n'apporte guère de plus-value au film de Don Siegel de 1971. On regarde le film, on l'apprécie sur le moment, et à la fin, on l'oublie et on ne se souvient que du regard de Clint et non celui de Colin.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    985 abonnés 4 917 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 mars 2021
    On ne retrouve pas le côté malsain et manipulateur de l'homme dans cette version. Celui de cantonne au rôle de la victime en quelque sorte et les femmes se liguent pour le faire disparaître.
    Néanmoins une mise en scène élégante et aérée
    Ti Nou
    Ti Nou

    443 abonnés 3 395 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 novembre 2020
    En s’insérant bien malgré lui dans un pensionnat de jeunes filles, le caporal McBurney va briser le fragile équilibre de la communauté féminine. Les tensions qui vont apparaître sont tues, les personnages restant renfermés. Et malheureusement, à force de trop de non-dits, le film ne dit et ne montre plus rien du tout.
    moket
    moket

    469 abonnés 4 239 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 juin 2018
    Bavard mais joliment filmé, plein de délicatesse, bénéficiant d'un casting quatre étoiles, le film aurait mérité un peu plus de tension.
    Vanessa L
    Vanessa L

    263 abonnés 821 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 août 2017
    Je dois dire que j’ai été attirée plus par le casting que par le fait que ce soit un Sofia Coppola. En effet, le trio Nicole Kidman, Kristen Dunst et Colin Farrell était assez attirant. J’avoue que je ne savais pas trop à quoi m’attendre mais on voit bien dès le début qu’il va se passer quelque chose sans que l’on sache vraiment quoi. Toute l’ambiance du film est particulière, elle est pesante, des fois légère, toujours assez sombre quand même. Nicole Kidman est glaçante dans ce film, on n’arrive pas du tout à cerner son personnage. Au final, je n’ai pas du tout été subjuguée par le jeu de Kirsten Dunst que j’ai trouvé assez plat, le manque d’expression peut-être ? Comparé aux autres elle dénote totalement je trouve. Colin Farell a un rôle très intérressant puisque son revirement d’attitude est assez spectaculaire.

    La photographie du film est juste magnifique, les plans, les décors tout est splendide et la façon de filmer n’y est pas pour rien ! On sent la justesse et l’envie de précision ! D’ailleurs, celle-ci donne l’ambiance du film également en plus des personnages qui sont assez intérressant. La guerre n’est pas loin et les jeunes filles vivant dans cette maison ne sont pas rassurées de voir un soldat du camp adverse débarqué chez eux. Finalement, celle-ci finissent par être enchantées d’avoir un homme à la maison ce qui changent toutes leurs attitudes et en particulier celles des plus grandes. Bien entendu les complications arrivent vite à cause des jalousies et le soldat n’y est pas pour rien non plus. On sent que les choses vont se dégrader mais c’est au moment qu’on s’y attend le moins que ça arrive ! Le film est assez court je trouve mais ça suffit amplement surtout qu’on ne peut pas dire qu’il se passe non plus énormément de choses.

    En résumé, Les Proies a une magnifique photographie, un excellent casting et une très bonne réalisation même si l’on ne peut pas dire que le film soit un film où il se passe beaucoup de choses, il est très bien joué et il a un côté assez mystérieux qui fait que l’on se demande ce qui va se passer. La surprise de la fin est vraiment la signature de Sofia Coppola et arrive un peu sans prévenir ! Je ne peux que vous conseillez à aller le voir !
    Freakin  Geek
    Freakin Geek

    235 abonnés 882 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 août 2017
    Si effectivement le prix de la mise en scène est amplement mérité pour Sofia Coppola, on comprend cependant qu’il n’ait par réussi à décrocher d’autres récompenses. A soigner la photo et la composition de chaque plan, la réalisatrice en a oublié de donner de la profondeur à ses personnages lors de l’écriture du scénario. Avec un tel titre, on s’attendait à ce que Les Proies vire vraiment à un moment donné au thriller horrifique mais la tension ne sera jamais aussi forte que ce qu’on était en droit d’espérer et la fin se montre bien trop expéditive après un long moment d’attente pour voir l’histoire décoller. Outre la mise en scène, c’est pour sa distribution faite de valeurs sures et de révélations que Les Proies mérite cependant d’être découvert. [lire la critique complète sur freakingeek.com]
    Santu2b
    Santu2b

    227 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 novembre 2017
    "Les Proies" ; film en costume qui démontre une nouvelle fois la pauvreté du cinéma de Sofia Coppola depuis "Marie Antoinette". En adaptant le roman Thomas P. Culinan, la cinéaste signe un long-métrage d'une vacuité déconcertante. C'est simple : il ne se déroule rien de brillant dans ce long dont le prix de la mise en scène à Cannes s'inscrit déjà comme l'une des surestimations de l'année. Car Coppola semble avoir voulu tout miser sur la photographie éclairée à la bougie mais ce choix fait davantage coquille vide qu'autre chose. Le reste n'est en effet qu'une histoire morne qui enchaîne allègrement les lieux communs, portée par des personnages sous-écrits. Les dialogues n'ont aucun souffle et s'apparentent bien souvent à de la facilité scénaristique. Cette chronique désincarnée au possible donne surtout la confirmation que la cinéaste ne maîtrise aucunement son rythme ; au début c'est trop lent, ensuite c'est saccadé. Mieux vaut revoir la version de Don Siegel avec Clint Estwood. Rarement une heure trente n'aura passée si lentement !
    WutheringHeights
    WutheringHeights

    100 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 août 2017
    Un huis clos chorégraphié de manière virtuose mais qui ne semble pas aller au bout de ses intentions.
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