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    Les Proies
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    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 27 août 2017
    Film au scénario creux avec une fin à peine croyable dans le sens où elle est inexistante. Les jeux d'acteurs sont à la limite de l'amateurisme, il ne se passe rien... Franchement les scénaristes sont partis d'une bonne idée mais ne l'ont juste pas du tout exploiter ce qui créer une frustration de plus. Ne perdez pas votre argent à aller voir ça, ça n'en vaut pas la peine.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 24 août 2017
    D'une médiocrité assommante ! La BA laisse supposer un vrai thriller, avec du rythme et du suspense. Au lieu de ça, c'est une succession de scénettes niaises et lentes avec des actrices aussi enthousiasmantes qu'un tas de feuilles mortes (Kirsten Dunst est épouvantable !).
    riverainpsy
    riverainpsy

    25 abonnés 393 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 novembre 2021
    Sofia Coppola connaît son affaire en terme de photographie, décor , costumes etc... Ok , mais pourquoi ce remake , copie assez plate du pur chef d'oeuvre de Don Siegel ? Nicole Kidman, Kirsten Dunst , Colin Farrell ont du métier ; trop sans doute ici . L'original gardait une tension permanente, était porté par d'excellents interprètes , réellement habités . La réalisatrice répète à l'envie avoir voulu porter un regard féminin sur un film d'hommes et analyser les dynamiques de ce groupe de femmes . Prétention bien inutile car , non , l'original ne se focalise pas sur le point de vue du soldat , bien au contraire , et analyse de façon bien moins expédié les ressorts de cette communauté . Un film dispensable ; il est toujours dangereux de vouloir copier un film parfait .
    Jmartine
    Jmartine

    157 abonnés 657 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 septembre 2017
    Les Proies ont obtenu le prix de la mise en scène au dernier Festival de Cannes. Ce titre n’a rien d’usurpé tant l’esthétisme y est soigné, la photographie de Philippe Le Sourd est sublime…cette maison à colonnades de la Virginie profonde, cette lumière qui filtre à travers les frondaisons, ces chants d’oiseaux, tout concourt à faire de cet environnement, un jardin d’Eden, alors qu’aux alentours le canon gronde. L’histoire reprend un roman de Thomas Cullinan ayant fait l’objet d’une première adaptation par Don Siegel en 1971 avec Clint Eastwood dans le rôle principal…Je ne connaissais ni le roman, ni le film de Don Siegel…mais cette irruption d’un soldat nordiste, blessé, dans cet univers féminin, ancré dans les valeurs du Sud profond, donnait matière à une passionnante étude de mœurs, et à l’exploration de tous les fantasmes…Mais fidèle à son approche esthétique, sa passion pour les costumes, crinolines et rubans est toujours à l’œuvre, le décorum prend le pas sur la tension qui pouvait naître de la rencontre de trois générations de femmes entre rigueur victorienne et tourments du désir, avec la masculinité…La cinéaste escamote la montée de la passion, de ses déchirements, la perversité des jeunes filles entre elles , en précipitant le drame dans une violence gore un peu surprenante…c’est beau, séduisant par moment, mais un peu fade…
    soumiya75
    soumiya75

    6 abonnés 158 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 28 août 2017
    Bof bof on s'ennuie ferme durant quasi tout le film... malgré un casting interessant, je suis déçue ...
    garnierix
    garnierix

    210 abonnés 429 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 août 2017
    Pas loin des tropiques marines sont les moiteurs continentales, la Louisiane, qu’on se représente depuis "Autant en emporte le vent" comme une symphonie de verts, d’arbres géants et de lumière tamisée. On y ajoute un domaine cossu, d’immenses colonnes de style dorique, des robes de soies pastel et une vie religieusement rythmée et policée. On n’a pas besoin de savoir que ça se passe pendant la guerre de sécession, ni même où. Ça pourrait se passer dans un pays de la mythologie grecque. Sofia Coppola a excellé avec ce décor, dont on ne sort jamais. Elle y a mis des femmes –en fait, le domaine est un internat de jeunes filles, ou ce qu’il en reste, dirigées par une matriarche forcément (Nicole Kidman). Et c’est dans cette toile d’araignée qu’atterrit un beau jeune homme blessé (Colin Farrell). On ne comprend pas pourquoi ce n’est pas un homme d’honneur, mais ce n’est pas la faute au scénario, c’est la faute au roman (1966) dont s’inspire le scénario. Quoi qu’il en soit, ce beau jeune homme imparfait déride, attendrit, séduit, fascine, perturbe, envoûte tout le monde, comme le visiteur dans "Théorème" de Pasolini (Terence Stamp il y a 50 ans), sauf qu’il finira par repartir les pieds devant. Chacune finit par se retourner contre une autre et finalement contre lui. Ce film pourrait être un film d’horreur, que d’ailleurs il est pour beaucoup. Nous suivons avec Sofia Coppola toutes ces femmes, en proie à leurs désirs ou à leurs non-désirs (d’où le titre français du film "The Beguiled"), de la plus innocente à la plus frustrée, en passant par la craintive, la résistante. Jusqu’au moment où, l’éducation s’effaçant devant l’instinct (de survie mais pas que), elles se débarrassent, dépossédées ou rassurées, des restes de l’insecte vidé de sa vie. Sofia Coppola a eu le prix de la mise en scène à Cannes pour tout cela, on suppose, mais on s’interroge pour la direction de Colin Farrell, qui joue de façon curieuse et inattendue, sans trop de subtilité, comme chaotique… –bien qu’il soit aussi craquant qu’à ses débuts (exploit inégalé au cinéma). Le cas échéant, on peut se demander, presque avec impatience et fébrilité, comment Clint Eastwood jouait ce rôle dans la première adaptation de ce roman (1971), non seulement pour comparer sa performance, mais aussi à cause de la créativité de l’époque qui était à la fois dans la rupture des tabous sexuels, mais toujours dans le machisme.
    Alexis D.
    Alexis D.

    99 abonnés 873 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 décembre 2017
    Si l’on pouvait se montrer circonspect à voir Sofia Coppola adapter le film le plus troublant et ambigu de la carrière de Don Siegel, à savoir l’excellent "Les Proies", lui-même tiré du roman "The Beguiled" de Thomas Cullinan, la réalisatrice réussit en définitive à dépasser le simple exercice de remake. En dépit d’un canevas respectant assez scolairement le film original, ce nouveau "Les Proies" bénéficie surtout cette fois d’une véritable acuité féminine. Sans surprise, Sofia Coppola dresse un portrait légèrement moins stéréotypé que Siegel des jeunes filles recluses du pensionnat. Casting de prestige aidant (Nicole Kidman, Kirsten Dunst, Elle Fanning, toutes assez stupéfiantes dans leurs faux-semblants), les nuances de caractères d’une protagoniste à l’autre amènent un patchwork tout en ambivalences et clairs-obscurs. Avec sa demeure blanche immaculée perdue au beau milieu d’une nature luxuriante, et en arrière-fond les échos des ultimes combats de la guerre de Sécession, "Les Proies" s’intéresse davantage à l’image d’une pureté en péril qu’à une quelconque page de l’histoire.Qu’importe le contexte : c’est l’irruption du désir sexuel, et la corruption de cet univers fallacieusement puritain qui compte le plus quelque part, "Les Proies" serait une version en costume de "The Neon Demon", avec la même Elle Fanning friponne. Recueilli par une jeune fille du pensionnat, le caporal McBurney, dont ni la position de Yankee ni la qualité de déserteur ne permettent de préserver l’intégrité aux yeux de l’établissement, devient aussitôt le siège de tous les fantasmes (il faut dire que Colin Farrell (sublime dans ce rôle au passage) est très bel homme). Conséquence de l’isolement physique et psychologique inhérent à l’institution, jeunes filles et femmes délaissent brusquement la vertu au profit d’un jeu de séduction pervers. Frivolité à laquelle le soldat se prête bien volontiers, lui aussi terrassé par la concupiscence, cadrée avec soin, sa chaire putride sous le regard de Miss Martha en appelait de toute façon à cette transgression. Pour illustrer la lutte morale intérieure auxquelles se livrent les hôtesses, la cinéaste superpose au paysage plantureux des volutes de fumée à l’horizon. Cette poésie d’une nature viciée, contaminée, correspond pour elle à un retour aux sources : "Virgin Suicides" abordait à de nombreux égards le même sujet, à la différence que le suicide présidait alors à l’acceptation d’un combat contre la pudibonderie. Très picturales sans pour autant tomber dans l’excès contemplatif, les plans vaporeux nimbent toute l’atmosphère d’un voile énigmatique. L’érotisme, ici, se cache derrière les corsets et la fausse pudeur. Alors qui du caporal lubrique, symboliquement victime de castration, ou des jeunes femmes tiraillées par une avidité trop longtemps refoulée, doit être considéré comme coupable ? Si Siegel contrebalançait dans une certaine mesure une misogynie latente par un Clint Eastwood antipathique, ses personnages féminins se voulaient aussi plus clivants. Le réalisateur déclara notamment à leur sujet avoir voulu dépeindre "des femmes capables de tromperie, d’escroquerie, de meurtre, de tout. Derrière leur masque d’innocence se cache autant de scélératesse que vous pourriez en trouver chez un membre de la Mafia." Le manichéisme ne trouve pas non plus davantage de perspective chez Sofia Coppola, qui pose un regard presque affectueux sur chacun et se refuse à faire le procès de quiconque. Une bonne chose. Dommage toutefois que "Les Proies" ne reconduise pas avec plus d’ampleur les équivoques du film original, bien plus perturbant et vénéneux. Au final c'est un très bon thriller, avec beaucoup de drame à la fin avec des pensionnaires qui sont très cruelles envers le caporal (elles finissent par spoiler: le tuer
    ). Préférant l’épure et l’allusion aux excès dérangeants du film original de Don Siegel, Sofia Coppola perd en équivocité ce qu’elle gagne en lyrisme. À défaut de véritables ambiguïtés, ce film reste un très beau portrait croisé de femmes tourmentées par le désir sexuel comme l’Américaine en a le secret
    Nova L
    Nova L

    2 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 août 2017
    Encore une fois beaucoup de publicité pour un film qui ne vous transporte pas, un film qui traîne en longueur, un film mou sans aucune surprise pour ce qui est de la fin, malgré une bonne distribution d' acteurs.il fallait le voir pour juger. C est fait 🙂
    Cinéphilion
    Cinéphilion

    51 abonnés 201 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 novembre 2017
    « Les Proies » entame une énième version de Coppola dans une volonté toujours plus incisive de retrancher les relations féminines à leurs paroxysmes. Au risque d’en décevoir un grand nombre, ce ne sera pas pour autant le meilleur film de la réalisatrice…
    Le lancement débute agréablement selon des inspirations cinématographiques des années 90 : Le titre apparaît en écriture rose ancien sur un plan de forêt, accompagné de couleurs clairs dominées par un rose et bleu pastel.
    Audacieuse comme toujours, Sofia Coppola renouvelle sa pâte féminine au cœur d’une fratrie de sept filles de tous âges, et s’attaque au légendaire huit clos depuis l’intérieur d’un internat catholique.
    Colin Farrell, jouant notre Caporal blessé, n’est autre que notre porte d’entrée à nous, spectateur pour pouvoir pénétrer dans la résidence. Ainsi, commence le récit dès cette arrivée surprise, étouffé par une peur froide de l’extérieur au cœur politique délicat, à l’image d’ « It Comes At Night », vu récemment.
    Dans la construction de l’histoire, Sofia Coppola déconstruit habillement trois sentiments auxquels chaque femme est rattachée : La raison, la foi et le désir. Ces ressentis qui relèvent d’un contrôle éducatif vont être étendus à leur perte et leurs conséquences au profit de rivalités et forte jalousie au sein du foyer. La résultante donne lieu à beaucoup de lenteurs et de silences finement aménagés au gré des tensions, permettant de faire des rares moments d’actions, de violentes fractures psychologiques dans l’institution du huit clos.
    Coupées du monde, les filles sont toutes à la recherche d’un besoin auquel seul le Caporal McBurney, l’homme blessé secouru, peut répondre. Ainsi, avec des âges et des profils de vie divergents, Miss Martha (Nocile Kidman) va rechercher un compagnon de vie, Edwina (Kirsten Dunst) y trouvera un mari, Alicia (Elle Fanning) se satisfera d’un amant tandis qu’Amy (Oona Laurence) et Marie (Addison Riecke) voient en lui un ami sorti de leur ordinaire.
    Contrairement à ses précédentes œuvres, la recherche d’une subtilité est entretenue quoi qu’un peu trop soignée pour être suffisamment objective. En effet, tout est presque donné au spectateur le dispensant d’une réflexion approfondie.
    Bien que la stylisation habituelle et le travail lissé par la réalisatrice ne surprennent pas vraiment, le film se laisse voir notamment grâce au talent d’un quatuor dominant mené par Collin Farrel, Kirsten Dunst, Elle Fanning et une mention particulière pour Nicole Kidman.
    Bilan : Quelques tentatives d’innovations sans trop de risques, le film s’apprécie et se regarde mais face à l’attente stimulée, nombreux seront les malheureux déçus.
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    tom K.
    tom K.

    5 abonnés 123 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 octobre 2017
    Excellent film servie par de brillantes interprétations. L’intérêt n'est pas parfois ce que l'on dit mais aussi ce qu'on ne dit pas. La communication non verbale fait de murmures et de sulfures rend magnifiquement grâce à cette mise en scène bien léchée avec son décor de début d'aube et de crépuscule.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 4 septembre 2017
    Belle bande annonce mais film inintéressant!
    Beaucoup de longueurs, peu d'intrigue au final, un scénario décevant.
    Vraie déception.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 25 août 2017
    Jai beaucoup aimé ce film, mais à noter un GROS regret : la bande annonce est mal faite, on y vois presque tout... Sur ce point c'est une belle déception.
    nicolas t.
    nicolas t.

    56 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 août 2017
    Joli film un peu lisse. tout est propret et manque de perversité.
    donne envie de voir l'original avec Eastwood.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 11 septembre 2017
    Avec son casting alléchant, "Les Proies" s'annonçait comme un film intéressant à la fois thriller psychologique et fable historique au coeur d'une Amérique dévastée par la Guerre civile entre Confédérés et Unionistes. Les décors très beaux, l'ambiance volontairement pesante et les longs silences créent une atmosphère presque mystique où le caporal John McBurney vient se perdre à la fois proie et prédateur... Si le film est un peu long à se mettre en place dans ce huis-clos, le rythme devient plus intéressant lorsque le mercenaire blessé commence à remarcher... Mais ensuite, alors que l'on s'attend à des retournements de situation le film garde un rythme de croisière jusqu'à la fin sans réel rebondissement. On sait ce qui va se passer, ça se passe. Et voilà... Un film qui malgré ses bonnes promesses s'est révélé un peu ennuyeux sur la fin.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 27 août 2017
    Une ambiance, un casting et mise en scène prometteuses ... en attente tout le film : quil se passe qqch mais rien. Fin "bâclée"
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