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    Les Proies
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    lionelb30
    lionelb30

    409 abonnés 2 524 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 août 2017
    A part le debut et la fin correct, tout le reste du film est tres lent , le jeu d'acteur trop theatral et qui ne degage pas d'emotion , ce qui fait que l'on n'arrive pas a entrer et meme a croire a cette histoire.
    À Crocs D’Écrans
    À Crocs D’Écrans

    172 abonnés 991 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 août 2017
    Ce n'est pas forcément le genre de film qu'on préfère à la base, mais on veut rester ouverts, et puis les goûts évoluent en vieillissant, donc on ne sait jamais ! Ce film avait presque réussi à nous convaincre, le casting nous offre d'excellentes prestations (on n'en attendait pas moins de Colin Farrell, Kirsten Dunst ou Elle Fanning) et le scénario de base promettait des surprises et des retournements intelligents. Oui, c'est un style assez contemplatif, alors qu'il ne dure qu'1h33, on a l'impression que beaucoup de plans servent de remplissage, on s'attarde sur le jardin, sur une carafe ou autres éléments décoratifs. Malgré ça, étrangement ce film se montre à nos yeux assez captivant, grâce à une ambiance réussie, une tension palpable, des regards qui en disent long. La tournure que prend l'histoire nous a d'autant plus déçus, se terminant très rapidement, bêtement, trop facilement, c'est glauque mais sans intérêt et sans malice. Bref, nous n'en retiendrons pas grand-chose.
    Benjamin A
    Benjamin A

    32 abonnés 93 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 août 2017
    La première moitié du film nous met sous tension bien que quelques longueurs trainent ici et là mais la seconde moitié du film (après "l'élément perturbateur") est juste horrible, la fin est désastreuse.

    Tous les acteurs jouent bien sauf Elle Fanning qui fait du Elle Fanning. On se demande si elle ne s'est pas trompé d'époque.

    Film sans intérêt, inutile de gaspiller vos sous dedans...

    Le cadrage est un peu foireux des fois et la lumière sur les plans en extérieur n'est vraiment pas top.

    Bof, bof, bof...
    Pierre-Alexandre M
    Pierre-Alexandre M

    39 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 août 2017
    Alors oui, Sophia Coppola est une grande réalisatrice, dans la lignée de son arbre généalogique. Oui, Lost in Translation et Virgin Suicides sont des classiques de leur genre. Mais ce Les Proies n'est pas à la hauteur de son tres excitant casting. En effet, si vous avez vu la version de 1971, ne vous attendez pas à voir autre chose que l'exact même scénario. Alors oui, Fanning rayonne de perversité, Kidman en maîtresse de maison est tres juste tandis que Kirsten Dunst, comme dans l'ensemble des films de SC, nous prouve une fois de plus que telle un caméléon elle est capable de se glisser dans la peau de tout personnage avec élégance et justesse. Farrell comme toujours est lui convainquant, sans être transcendant. Outre le scénario platonique, les performances artistiques ainsi que les robes ainsi que le cadre du huis-clos que ce film nous offre sont agréables, mais pas suffisant pour en faire un film coppolien. Dommage.
    Adelme d'Otrante
    Adelme d'Otrante

    159 abonnés 1 055 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 septembre 2017
    Le dernier plan du film de Sofia Coppola est superbe mais il ne fera pas oublier les 2000 autres qui le précèdent. La réalisatrice a changé, auparavant elle filmait l'ennui comme personne et nous faisait oublier sa filiation, dorénavant c'est son cinéma qui devient ennuyeux. A aucun moment je n'ai accroché à cette vaine histoire , on est particulièrement content quand les lumières se rallument.
    Cinememories
    Cinememories

    456 abonnés 1 438 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 août 2017
    Comparé au roman de Thomas Cullinan, ce remake de Sofia Coppola laisse un arrière-goût d’inachevé. Faute de quoi, elle sacrifie énormément de détails afin de simplifier une lecture qui s’avère, au final, bâclée et inintéressante… Déjà en 1971, Don Siegel, porté par son acteur fétiche Clint Eastwood, offre une vision féministe qui possède tous les droits pour s’affirmer, surtout en temps de guerre. Ce que nous propose Coppola est une lecture du point de vue des femmes. Il n’est pas étonnant que l’on passe à la trappe des passages clés de la précédente adaptation, qui lui font sa force et son charisme.

    Après « Virgin Suicides », « Lost In Translation » et « Marie-Antoinette », pour ne citer que les plus grands succès, elle nous offre une étude travaillée sur les rapports homme-femme durant la guerre de Sécession. L’inconnu fait partie des thèmes récurrents chez la fille de Francis Ford et on le retrouve ici. Le caporal John McBurney (Colin Farrell) remplit la condition et il est accueilli chez l’ennemi du Sud. Il compense le fossé de charisme face à Clint en s’appliquant sur la justesse de ce personnage manipulateur. Il colle parfaitement au rôle, installant de l’ambiguïté et la crainte d’un danger imminent, mais l’on n’insiste évidemment pas sur le point de vue masculin, comme évoqué un peu plus tôt. On survole alors les divergences politiques pour ne laisser place qu’à l’étude humaine, confrontant les personnages à leurs limites. Ils y découvrent l’envie, la jalousie, la haine, un schéma bien connu cependant mal exploité.

    Les belles blondes ont toujours eu un impact majeur sur sa carrière comme sur celles de ses actrices, pour la plupart récurrentes dans sa filmographie. On retrouve ainsi sept femmes dont les fantasmes diffèrent, bien que l’intention de séduire reste commune à toutes. Miss Martha (Nicole Kidman) n’aura pas de background qui lui insuffle tant de caractère et c’est bien dommage. On ôte à Edwina (Kirsten Dunst) la présence à l’écran que l’on aurait souhaité, et sur une récurrence justifiée. Il en va de même pour Alicia (Elle Fanning) dont la remarque reste identique, alors que l’on ne met pas assez en valeur son physique ou son jeu fourbe et sournois. Citons alors la plus intéressante de toutes, Amy (Oona Laurence), la cadette du pensionnat. Elle inspire le respect et l’innocence, d’où l’introduction sobre et neutre à son égard. Bien qu’elle vienne à dériver sur ses derniers pas aux côtés du yankee, la jeune fille semble être la seule à trouver sa place dans l’élan de narration de Coppola. Mais dans ces airs de renouveau, on en vient à repenser au délicieux « Virgin Suicides », dont l’adaptation lui apporte un brin de mise en scène dont on connait bien les secrets. On y trouve autant d’individus qui suscitent le danger, mais c’est en passant au collectif que l’on nous prend à revers. Et bien que cela arrive brusquement, on prend la peine d’observer ce danger qui fleurit à vue d’œil.

    Concernant la mise en scène, elle sublime chaque plan. La photographie aide pour convaincre, mais les séquences où certains reprocheront des longueurs doivent accepter la poésie de Coppola. Il s’agit de son style unique, multipliant les gros plans afin qu’ils appuient ses propos. Elle prolonge les cadres pour exprimer une idée ou une action bien précise, comme le temps qui passe et dont on se lasse rapidement. Remarquons qu’il n’y a qu’une seule grille et qu’une porte qui intéressent le spectateur. Or, il n’y a que son contenu qui profite aux personnages, devenant ainsi des lieux de perversion, de tension et de mélancolie. L’érotisme et l’horreur sont injustement passés à la trappe et ellipsés. On désamorce immédiatement une tension qui aurait prodiguer un suspense fascinant. A la place, on use de la violence, mais tout l’art de ce genre de récit réside dans l’utilisation des discours. Coppola inverse souvent les tendances et elle ne dément pas, négligeant ses propres limites auxquelles s’adaptent ses principes. Avec autant de personnages, le bavardage ne tarde pas mais l’on perd de la qualité en compréhension en retour. Il est possible qu’osciller entre plusieurs intentions néfastes pour le seul homme admis soit préméditées afin de justifier le changement de prédateur, or on s’y perd, probablement dû à un manque de dualité entre les femmes, sous-exploitées…

    L’association des actrices ne fonctionne pas. Les relations qui se forgent se font tardivement, et nous relevons plus d’individualité que d’une véritable cohésion, ce qui serait plus pertinent. Hélas, la réalisatrice en a décidé autrement. Cette décision maladroite se confirme lorsque les scènes incluant la sensualité perdent de sa splendeur et sagesse. Et il en va de même pour le travail sonore qui oppressait souvent, ce que l’on retrouve à peine ici. Préférant un genre plutôt épuré, on a opté pour des pas lourds ou des grondements de canons au loin afin de contextualiser le drame qui se profilent aussi bien à l’extérieur qu’à l’intérieur du pensionnat. Mais rien ne vient perturber notre lecture, déjà rendue pénible du fait que l’on perd des transitions nécessaires. On ne développe pas suffisamment la psychologie des pensionnaires, à l’exceptions de quelques-unes, encore une fois sans surprise. Cela peut entrainer des réactions sur des facilités scénaristiques prises. Il arrive que ce soit le cas mais pas toujours et ce choix, en l’occurrence artistique et poétique, ne convainc pas malgré la bonne intention. On insiste malheureusement sur une démarche trop monolithique pour qu’elle atteigne un certain sens moral à la vue d’une « chute » restrictive et sans saveur.

    Il n’est donc pas surprenant que « Les Proies » de Coppola déçoit sur plusieurs niveaux d’écritures, bien qu’elle se rattrape sur ses talents de mise en scène. Mais il en fallait bien plus pour concevoir une relecture digne du roman, ou au moins de l’adaptation de Siegel. Là où Siegel a habilement exploité l’ensemble de ses outils, la réalisatrice a voulu compenser le manque de développement par les émotions. Or, la formule de réinterprétation ne fuse pas comme il se doit et le résultat est à déplorer. Pourtant, on y trouve un potentiel qui aurait pu aboutir à quelque chose de plus puissant, sensoriel et émotionnel. Au final, on en ressort l’esprit vide, avec un jugement ambigu sur ce qui vient d’être exprimé. On se pose davantage de question sur le pourquoi de la réalisation que sur le fond de l’intrigue, là où la réflexion doit prendre place !
    Nicothrash
    Nicothrash

    323 abonnés 2 988 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 10 septembre 2017
    Première sortie de piste pour Sofia Coppola avec cet insipide remake de "The Beguiled" de Don Siegel. En s'entourant d'un tel casting, la miss a dû se dire que ça suffirait à satisfaire son spectateur mais dès le début, on sent que ça risque d'être long ... Et ça ne manque pas, c'est le néant total durant plus d'une heure, il ne se passe absolument rien, ni émotion, ni tension, ni quoi que ce soit d'autre, c'est d'un ennui rarement vu jusque là, tout y est d'une platitude extrême avec une mention pour la mise en scène ou plutôt la non-mise en scène ... Seul point positif, la photographie, hormis ça il n'y a pas grand chose à sauver ici et surtout pas le final, aussi plat que le reste et vite expédié. Pas bien compris le projet pour le coup ...
    Carlos Stins
    Carlos Stins

    70 abonnés 657 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 septembre 2017
    J’attendais beaucoup "Les proies", le nouveau film de Sofia Coppola qui m'a laissé sur ma faim malgré de bonnes idées. On peut s’arrêter en premier lieu la mise en scène brillante de Coppola qui lui a valu une récompense tout à fait mérité à Cannes. La photographie est parfaite et Coppola a choisi un cadre plus resserré, ce qui rend l'image plus petite qu'à l'accoutumé sur l'écran de cinéma, donnant ainsi un sentiment d’enfermement qui se lie parfaitement au thème du film. Je suis en revanche plus réservé sur l'écriture du film notamment la construction de l'intrigue que j'ai trouvé déséquilibré, le retournement arrivant trop tard et dont les conséquences ne sont pas assez développées. Mais ma plus grosse déception s'avère être étonnamment l’interprétation. Le casting quatre étoiles du film fait l'effet d'un pétard mouillé avec une Kristen Dunst fantomatique, Nicole Kidman qui parodie presque son jeu et ne fait pas évoluer son personnage, Elle Fanning étonnamment assez fade et Colin Farrell qui ne s'en sort pas si mal mais dont le personnage est trop sous écrit. Ce défaut est d'ailleurs valable pour l'ensemble du casting ce qui est vraiment dommage car ce sont tous de très bons acteurs. Je ne considère personnellement pas "Les proies" comme un échec mais plutôt comme une petite déception, un film assez inégal pas à la hauteur de qu'est capable de faire une Coppola quand celle-ci est plus inspirée.
    tixou0
    tixou0

    662 abonnés 1 978 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 8 septembre 2017
    Au beau milieu de la Guerre de Sécession (2 ans de conflit fratricide déjà, 2 ans à venir), dans un domaine de Virginie devenu école pour jeunes filles bien nées, vivant en autarcie (on entend la canonnade au loin, le ciel céruléen est obscurci par des fumées, mais les combats restent en dehors des grilles de l'institution où demeurent la propriétaire des lieux, un des professeurs et cinq pensionnaires ados, continuant les cours, activités domestiques, prières en commun et soirées musicales). Jusqu'au jour où la plus jeune élève, qui est allée cueillir des champignons, trouve au pied d'un arbre un caporal de l'Union, blessé... et, brave coeur, le ramène dans la thébaïde strictement féminine. Ce remake du film (1971) de Siegel (avec Clint Eastwood) a obtenu le Prix de la Mise en scène au dernier Cannes..... On en reste pantois(e), tant la réalisation est plate ! Où l'on constatera, une nouvelle fois, que Mlle SC sait à merveille capitaliser sur son illustre patronyme, pour abuser ici un jury de festival... illustre, s'il en est. Elle "réussit" à faire d'une histoire complexe et vénéneuse (le titre français ne renseigne pas sur le noeud de l'affaire, le titre d'origine, si : "The Beguiled" veut dire "le Séduit", "Le Floué"...) une historiette pâlichonne et simpliste, filmée sans imagination !
    Les seules choses à louer dans ce (trompeur) "Les Proies" : la photo, superbe (par le Français Philippe Le Sourd), et (dans une certaine mesure) le Dublinois Colin Farrell (la vraie "proie").
    peter W.
    peter W.

    40 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 octobre 2017
    Au vu du casting le film est décevant. Il me semble en plus que l'ambiance dans l'original était plus crépusculaire. En tout cas la réalisatrice n'arrive jamais vraiment à maintenir la tension. il faut se contenter d'un bon travail sur les décors, les costumes et la photographie.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 septembre 2017
    Oh mon dieu ce film peut se résumé ultra vite :
    -y'as un soldat
    -y'as des filles
    -y'as des gents qui s'ennuient
    -y'as de la tension sexuelles
    Et c'est génial ! C'est génial parce que tous le jeu des acteurs se passe dans leur yeux. Il y a des regards marquants. Celui de Nicole Kidman à la fin spoiler: ( quand le soldat mange les champignons )
    m'a marqué. La lumière est magnifique et les cadres dont superbes. Très bon film à voir absolument !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 24 août 2017
    Une ambiance lugubre et austère... Cet esprit de famille et ce contraste de rivalités entre jeunes filles et femmes et assez troublants. Des bonnes actrices et Colin farrell très bon dans son rôle. malgre cette lenteur et une action qui se fait attendre c'était plutôt pas mal.
    knuweb
    knuweb

    2 abonnés 24 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 25 août 2017
    Encore un remake raté, préférez le film original de Don Siegel. C'est une version édulcoré et ennuyeuse de ce classique, qui n'apporte rien et surtout désamorce toute l'ambiguïté originale.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 8 septembre 2017
    Grosse déception pour ce film au casting XXL... C'est fou de se dire qu'un remake manque d'écriture. Et qu'une réalisatrice avec un tel CV loupe autant le coche. Et pourtant c'est le cas. Je n'ai cru en rien. Tout m'a semblé artificiel. Les scènes s'enchaînent sans que mon intérêt se soit élevé d'une rangée de fauteuil. A oublier.
    Galactus
    Galactus

    7 abonnés 353 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 septembre 2017
    Les images et le cadre du film sont vraiment très beaux, les actrices et acteurs très bons, mais c'est un peu mollasson et cela se finit vite. A voir vite fait pour le jeu des personnages. Je ne peux pas comparer avec le film original, je ne m'en rappelle plus...

    Je complète ma critique : j'ai pu revoir le film original avec Clint Eastwood. Et là, y a pas photo. Le nouveau ne lui arrive pas à la cheville, mais alors pas du tout.
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