Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
33 critiques presse
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Un huis clos magnifique, emmené par une distribution au top !
20 Minutes
par Caroline Vié
Une direction d’actrices impeccable séduit le spectateur pris au piège de chasseresses implacables aux allures angéliques.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Closer
par La Rédaction
Si ce remake du film éponyme de 1971 est fidèle, Sofia Coppola y insuffle une nouvelle tension grâce à un casting d'actrices 5 étoiles : Nicole Kidman, Kirsten Dunst et Elle Fanning.
Elle
par Françoise Delbecq
Avec "Les Proies", huis clos historique et féminin primé à Cannes, Sofia Coppola a retrouvé ses fondamentaux pour notre plus grand plaisir
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Sofia Coppola, avec ce goût très léché du décor qui fait sa marque, met ingénieusement en résonance la beauté des apparences avec les zones sombres des pulsions intimes, mêlant la douceur et la cruauté dans un film où le suc empoisonné du désir dégage un entêtant et vénéneux parfum de mort.
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Derrière la caméra, la réalisatrice américaine prend sa revanche, assiste à la mise à mort. Son prix de la mise en scène à Cannes ne lui sera certes pas discuté tant le film est virtuose, sensuel et terrifiant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Catherine Balle
Dans des décors magnifiquement filmés, Sofia Coppola nous plonge dans un thriller sensuel où la tension monte progressivement. En se moquant avec finesse des stratagèmes mis en oeuvre par ses héroïnes en crinoline, elle signe des dialogues et des séquences pleines d'ironie.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Sofia Coppola fait – à juste titre – une confiance aveugle à ses actrices. Celles-ci ont délibérément quitté le camp du premier degré pour s’illustrer dans un registre de jeu plus parodique, d’une drôlerie perfide.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Cara Dupont-Monod
Sofia Coppola signe un manifeste dont l'élégance double l'effet corrosif.
Public
par Florence Roman
Le casting du film est un bonheur, mêlant plusieurs générations d'actrices et le message du film est résolument girl power.
Télérama
par Louis Guichard
Il serait abusif de prétendre que le film de Sofia Coppola est meilleur. Mais le grand plaisir procuré par "Les Proies" 2017 tient à des retrouvailles avec une cinéaste remarquablement fidèle à ses obsessions et à son style.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Certes, Colin Farrell n'est pas Clint Eastwood, mais en créant une atmosphère étouffante, éclairée à la bougie, pleine d'une chaleur moite, Sofia Coppola réussit sa version à elle en y greffant toutes ses obsessions.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Sofia Coppola repart de Cannes avec le prix de la mise en scène pour son film le moins audacieux mais le plus carré.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Le décorum travaillé ne dessert pas le film, mais peut prendre le dessus d’un sujet fort, en le mettant au second plan.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Arnaud Schwartz
Au final, ce sixième long métrage de la fille de Francis Ford Coppola laisse l’impression d’un exercice de style à demi réussi.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Adrien Valgalier
Tout en regards dirigés, coins de l’œil, allusions et répliques à double sens, la cinéaste décrit avec beaucoup de dérision, mais sans appuyer la signification, cette façon que chacune a de se mettre en lumière auprès du militaire.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
On aurait aimé davantage de tension sexuelle, de danger et d’ambiguïté, moins de bavardages. Reste le discours féministe.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Sofia Coppola analyse avec finesse les tourments du désir féminin durant la guerre de Sécession.
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
"Les Proies", avec son casting de luxe et ses décors envoûtants, est le film où Sofia Coppola semble prendre le plus de distance.
Marianne
par La Rédaction
Si le film frôle parfois l'exercice de style, il ne laisse pas indifférent.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
C'est charmant, joli et bien joué (...). Et finalement ça reste léger comme un Agatha Christie. Sofia Coppola a déjà fait beaucoup mieux.
Positif
par Jean-Loup Bourget
Ce choix visuel fonctionne assez bien lorsque la blancheur s'oppose au rouge sang et quand la photo de Philippe Le Sourd compose des plans d'intérieur dignes d'Hammershøi ; on peut déplorer qu'il ait conduit à supprimer le récit du personnage de l'esclave noire et que Le Sourd abuse des éclairages floutés à la David Hamilton.
Première
par Guillaume Bonne
Pour la première fois, surtout, Sofia Coppola n’a pas fait un film de jeune fille, mais un film de femme. Elle a l’âge pour ça, bien sûr, mais cette évolution vient noircir son petit bout de lorgnette, sa manière, en passe de se transformer en œuvre, en exploration, en perspective.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Nathalie Dassa
Collin Farrell ne dégage pas le charisme de Clint Eastwood qui incarnait un personnage plus violent et cynique. La tension sexuelle et les rivalités, qui chargeaient l'atmosphère, sont aussi reléguées en arrière plan au profit d'une dose d'humour sournois qui offre une approche plus subtile.
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
À défaut de véritables ambiguïtés, reste un beau portrait croisé de femmes tourmentées par le désir comme l’Américaine en a le secret.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Adrien Dénouette
(...) trop hygiénique, le style Sofia Coppola paraît tresser un cordon sanitaire autour du sujet, et se bouche le nez devant ce que ses poupées pourraient avoir d'un peu sale (...).
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Eric Libiot
Si Coppola réussit à rendre vénéneuses certaines scènes de séduction, elle ne parvient pas à jouer la perversité des rapports humains, thème central de l'intrigue.
Libération
par Jérémy Piette
(...) Coppola n’a pas plus spécialement hésité à slalomer ici au gré de son sempiternel étalonnage doucereux des conflits. Sa griffe, plus à son aise dans ces premiers films où elle s’en tenait à ces environnements de luxueuses jeunesses anémiées, n’ajoute rien à ce tableau lustré qu’elle s’est empressée de mettre sous verre avant d’y imprimer quelque relief.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télé 7 Jours
par J. B.
Sofia Coppola adapte le roman de Thomas P. Cullinan en privilégiant le point de vue des femmes, mais sans approfondir les personnages.
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
Le film se révèle une entreprise absurde de censure. (…) Ce récurage maniaque rend le remake plus réactionnaire que ses modèles et réduit la fable malade à une succession lénifiante de plans abandonnés à la chef décoratrice (…). Fuyez ce désastre et revoyez plutôt le joyau noir de Siegel.
Ecran Large
par Simon Riaux
Film creux, incapable de retranscrire la perversité du texte qu'il adapte ou de dupliquer l'audace du film dont il est le remake, "Les Proies" est la proposition la plus faible et désincarnée de Sofia Coppola.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
GQ
par Toma Clarac
Il y a quelque chose d’extrêmement léger dans le film de Sofia Coppola. Un côté coquille vide qui est peut-être sa marque de fabrique ultime, mais qui ne fonctionne que si la vacuité est le sujet même du film. Du coup, les principaux enjeux posés par l’histoire sont expédiés, ce qui donne à l’ensemble un goût furieusement anecdotique.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Obs
par Nicolas Schaller
Le personnage de Farrell est sous-écrit, les rares rebondissements sont expédiés, les pointes d'ironie flirtent volontiers avec le grotesque.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Femme Actuelle
Un huis clos magnifique, emmené par une distribution au top !
20 Minutes
Une direction d’actrices impeccable séduit le spectateur pris au piège de chasseresses implacables aux allures angéliques.
Closer
Si ce remake du film éponyme de 1971 est fidèle, Sofia Coppola y insuffle une nouvelle tension grâce à un casting d'actrices 5 étoiles : Nicole Kidman, Kirsten Dunst et Elle Fanning.
Elle
Avec "Les Proies", huis clos historique et féminin primé à Cannes, Sofia Coppola a retrouvé ses fondamentaux pour notre plus grand plaisir
Le Dauphiné Libéré
Sofia Coppola, avec ce goût très léché du décor qui fait sa marque, met ingénieusement en résonance la beauté des apparences avec les zones sombres des pulsions intimes, mêlant la douceur et la cruauté dans un film où le suc empoisonné du désir dégage un entêtant et vénéneux parfum de mort.
Le Figaro
Derrière la caméra, la réalisatrice américaine prend sa revanche, assiste à la mise à mort. Son prix de la mise en scène à Cannes ne lui sera certes pas discuté tant le film est virtuose, sensuel et terrifiant.
Le Parisien
Dans des décors magnifiquement filmés, Sofia Coppola nous plonge dans un thriller sensuel où la tension monte progressivement. En se moquant avec finesse des stratagèmes mis en oeuvre par ses héroïnes en crinoline, elle signe des dialogues et des séquences pleines d'ironie.
Les Inrockuptibles
Sofia Coppola fait – à juste titre – une confiance aveugle à ses actrices. Celles-ci ont délibérément quitté le camp du premier degré pour s’illustrer dans un registre de jeu plus parodique, d’une drôlerie perfide.
Marianne
Sofia Coppola signe un manifeste dont l'élégance double l'effet corrosif.
Public
Le casting du film est un bonheur, mêlant plusieurs générations d'actrices et le message du film est résolument girl power.
Télérama
Il serait abusif de prétendre que le film de Sofia Coppola est meilleur. Mais le grand plaisir procuré par "Les Proies" 2017 tient à des retrouvailles avec une cinéaste remarquablement fidèle à ses obsessions et à son style.
Voici
Certes, Colin Farrell n'est pas Clint Eastwood, mais en créant une atmosphère étouffante, éclairée à la bougie, pleine d'une chaleur moite, Sofia Coppola réussit sa version à elle en y greffant toutes ses obsessions.
CinemaTeaser
Sofia Coppola repart de Cannes avec le prix de la mise en scène pour son film le moins audacieux mais le plus carré.
Franceinfo Culture
Le décorum travaillé ne dessert pas le film, mais peut prendre le dessus d’un sujet fort, en le mettant au second plan.
La Croix
Au final, ce sixième long métrage de la fille de Francis Ford Coppola laisse l’impression d’un exercice de style à demi réussi.
La Septième Obsession
Tout en regards dirigés, coins de l’œil, allusions et répliques à double sens, la cinéaste décrit avec beaucoup de dérision, mais sans appuyer la signification, cette façon que chacune a de se mettre en lumière auprès du militaire.
Le Journal du Dimanche
On aurait aimé davantage de tension sexuelle, de danger et d’ambiguïté, moins de bavardages. Reste le discours féministe.
Le Monde
Sofia Coppola analyse avec finesse les tourments du désir féminin durant la guerre de Sécession.
Les Fiches du Cinéma
"Les Proies", avec son casting de luxe et ses décors envoûtants, est le film où Sofia Coppola semble prendre le plus de distance.
Marianne
Si le film frôle parfois l'exercice de style, il ne laisse pas indifférent.
Ouest France
C'est charmant, joli et bien joué (...). Et finalement ça reste léger comme un Agatha Christie. Sofia Coppola a déjà fait beaucoup mieux.
Positif
Ce choix visuel fonctionne assez bien lorsque la blancheur s'oppose au rouge sang et quand la photo de Philippe Le Sourd compose des plans d'intérieur dignes d'Hammershøi ; on peut déplorer qu'il ait conduit à supprimer le récit du personnage de l'esclave noire et que Le Sourd abuse des éclairages floutés à la David Hamilton.
Première
Pour la première fois, surtout, Sofia Coppola n’a pas fait un film de jeune fille, mais un film de femme. Elle a l’âge pour ça, bien sûr, mais cette évolution vient noircir son petit bout de lorgnette, sa manière, en passe de se transformer en œuvre, en exploration, en perspective.
Transfuge
Collin Farrell ne dégage pas le charisme de Clint Eastwood qui incarnait un personnage plus violent et cynique. La tension sexuelle et les rivalités, qui chargeaient l'atmosphère, sont aussi reléguées en arrière plan au profit d'une dose d'humour sournois qui offre une approche plus subtile.
aVoir-aLire.com
À défaut de véritables ambiguïtés, reste un beau portrait croisé de femmes tourmentées par le désir comme l’Américaine en a le secret.
Critikat.com
(...) trop hygiénique, le style Sofia Coppola paraît tresser un cordon sanitaire autour du sujet, et se bouche le nez devant ce que ses poupées pourraient avoir d'un peu sale (...).
L'Express
Si Coppola réussit à rendre vénéneuses certaines scènes de séduction, elle ne parvient pas à jouer la perversité des rapports humains, thème central de l'intrigue.
Libération
(...) Coppola n’a pas plus spécialement hésité à slalomer ici au gré de son sempiternel étalonnage doucereux des conflits. Sa griffe, plus à son aise dans ces premiers films où elle s’en tenait à ces environnements de luxueuses jeunesses anémiées, n’ajoute rien à ce tableau lustré qu’elle s’est empressée de mettre sous verre avant d’y imprimer quelque relief.
Télé 7 Jours
Sofia Coppola adapte le roman de Thomas P. Cullinan en privilégiant le point de vue des femmes, mais sans approfondir les personnages.
Cahiers du Cinéma
Le film se révèle une entreprise absurde de censure. (…) Ce récurage maniaque rend le remake plus réactionnaire que ses modèles et réduit la fable malade à une succession lénifiante de plans abandonnés à la chef décoratrice (…). Fuyez ce désastre et revoyez plutôt le joyau noir de Siegel.
Ecran Large
Film creux, incapable de retranscrire la perversité du texte qu'il adapte ou de dupliquer l'audace du film dont il est le remake, "Les Proies" est la proposition la plus faible et désincarnée de Sofia Coppola.
GQ
Il y a quelque chose d’extrêmement léger dans le film de Sofia Coppola. Un côté coquille vide qui est peut-être sa marque de fabrique ultime, mais qui ne fonctionne que si la vacuité est le sujet même du film. Du coup, les principaux enjeux posés par l’histoire sont expédiés, ce qui donne à l’ensemble un goût furieusement anecdotique.
L'Obs
Le personnage de Farrell est sous-écrit, les rares rebondissements sont expédiés, les pointes d'ironie flirtent volontiers avec le grotesque.